Sujet: We live like rock stars (ft. Damon) Jeu 12 Mai - 22:24
We live like rock stars
Après la mort de ses parents alors qu'elle était âgée de seulement dix petites années, Autumn fût recueillie par son oncle, un ancien flic ripoux qui avait lui aussi servi la cause de la famille Corleone pendant près de deux longues décennies. La famille Levseïev toute entière trempait dans la mafia et avait juré allégeance au clan Corleone depuis plusieurs générations déjà. Une tradition qui se transmet de génération en génération, les enfants apprennent très tôt à se débrouiller par leurs propres moyens et Autumn n'avait pas dérogé à la règle, loin de là... Dès l'âge de huit ans elle fût confrontée au grand chef, Monsieur Corleone en personne... Elle n'en menait pas bien large à l'époque et se contentait le plus souvent de s'efforcer de faire bonne figure afin de ne pas desservir les intérêts de ses parents. C'est à cette époque qu'elle avait fait la rencontre de Damon pour la première fois. Un jeune garçon de deux ans son cadet qui allait devenir dans plusieurs années le chef de la mafia locale à son tour. Elle ne se rendait pas vraiment compte qu'elle était en train de faire copain-copain avec son futur boss. S'en rendait-il compte lui de son coté?
C'était il y a plus de vingt ans et bien des choses s'étaient passées depuis ce temps... Damon était devenu son boss comme prévu, de son coté Autumn avait du composer avec la mort de ses parents et fût recueillie par son oncle pour les huit années qui s'en suivirent. Aujourd'hui, Autumn est une jeune femme épanouie qui s'efforce de faire honneur à ses parents en se démenant jour et nuit pour que la réputation familiale ne soit point entachée. Ce jour-ci, elle avait contacté Damon afin de lui signaler que sa commande était arrivée. Nombreux sont ceux qui passent par elle afin de se faire livrer des marchandises de provenances douteuses. Sa boutique sert accessoirement de point-relais spécialisé dans l'illégal en quelques sortes. Il devait être aux alentours de vingt-deux heures lorsqu'elle s'apprêta à fermer sa boutique, elle commença alors par faire les comptes de la journée lorsque soudain elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir. Zut... J'ai encore oublié de fermer la porte... Elle quitta l'arrière salle et regagna la salle principale de sa boutique afin d'aller s'entretenir avec son dernier client de la soirée. Elle n'eut aucun mal à reconnaître Damon et elle se dirigea vers lui afin de lui faire la bise. J'ai bien cru que tu ne viendrais pas.
Côté coeur : Ecartes les cuisses et je te ferais sentir mon coeur...
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Sujet: Re: We live like rock stars (ft. Damon) Sam 14 Mai - 11:06
Autumn & Damon A Fucking Nightmare or Not…mise en page par .Stay Away
Je lisais les journaux tranquillement alors que mon esprit vagabondait sur les diverses affaire… Le patron d’un bar qui refusait de payer le montant du racket que j’avais fixé… Mais voilà, ils finissaient tous par payer à un moment ou un autre. Parfois, il suffit que je me rende sur place et d’autre fois il faut que je sois plus violent et plus persuasif… Et ce patron de bar il avait fallu que je lui envoi deux gros bras pour qu’il paye… et encore, ce n’était que quand il avait les rotules en bouillie et qu’ils commençaient à attaquer ses doigts au marteau qu’il a accepté de payer. Je soupire doucement en regardant la rubrique des faits divers de mon journal tout en essayant de me fixer sur les choses que j’avais à faire dans la journée… La berline qui me transportait roulait dans les rues de la cité des anges, ma ville ! Je finis par replier le journal et je tourne la tête vers la vitre teintée et je lâche un long bâillement avant de soupirer. Avant, à l’époque bénie de la guerre des mafias, je n’aurais pas pu sortir comme ça sans subir deux ou trois attaques par jours… les irlandais, les napolitains, les colombiens… ils voulaient tous ma mort et ils avaient tous finit par bouffer les pissenlits par la racine. Je soupire doucement en me disant qu’au fond j’y avais gagné de la tranquillité et un train de vie génial mais ma vie y avait perdu en risque et en passion… J’étais un tueur à gages, il ne fallait pas l’oublier et de ce fait, j’aimais le terrain et l’action, donner des ordres rendait souvent très con et je m’y refusais clairement. Ce fut à ce moment bien précis que je reçu un sms de la belle Autumn qui m’annonçait que ma commande était arrivée. J’esquisse un petit sourire amusé et je finis par ranger mon téléphone pour me rendre à cette réunion très important que j’avais, histoire d’organiser le braquage d’un fourgon blindé… C’était sans importance bien entendu parce que je n’avais pas besoin de cet argent, mais cela me donnait un shoot d’adrénaline ! Je soupire doucement avant de quitter la réunion une heure plus tard, vers 22 heures, et j’ordonne à mon chauffeur de me conduire à la boutique d’antiquités le Hidden Treasure. C’est con mais une fois dedans, je reste un long moment à regarder la boutique dans la voiture. Je soupire en repensant à mon enfance… La famille Levseïev avait toujours été fidèle à ma famille et mon père tenait les parents d’Autumn en très haute estime et la demoiselle était sans aucun doute ma plus vieille amie, celle qui m’avait connu le plus petit et je soupire doucement. Mes parents et mon frère étaient morts, tout autant que les parents de la jeune femme et entrer dans ce magasin ravivait tout un tas de souvenirs. Moi qu’on disait souvent sans cœur, quand je rentrais ici je me rendais compte que mon cœur battait toujours et c’était rassurant. Je finis par entrer dans la boutique dans le petit carillon bien caractéristique et je me pince les lèvres doucement avant de poser mon regard froid sur la jeune femme et je lui adresse un petit sourire tout mignon. Je lui fais la bise en posant une main affectueuse sur son épaule et je la regarde doucement.
Ouai désolé… j’étais pris par es affaires… Je ne serais pas long… Tu vas bien ?
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Jeu 12 Mai - 22:24
Je lisais les journaux tranquillement alors que mon esprit vagabondait sur les diverses affaire… Le patron d’un bar qui refusait de payer le montant du racket que j’avais fixé… Mais voilà, ils finissaient tous par payer à un moment ou un autre. Parfois, il suffit que je me rende sur place et d’autre fois il faut que je sois plus violent et plus persuasif… Et ce patron de bar il avait fallu que je lui envoi deux gros bras pour qu’il paye… et encore, ce n’était que quand il avait les rotules en bouillie et qu’ils commençaient à attaquer ses doigts au marteau qu’il a accepté de payer. Je soupire doucement en regardant la rubrique des faits divers de mon journal tout en essayant de me fixer sur les choses que j’avais à faire dans la journée… La berline qui me transportait roulait dans les rues de la cité des anges, ma ville ! Je finis par replier le journal et je tourne la tête vers la vitre teintée et je lâche un long bâillement avant de soupirer. Avant, à l’époque bénie de la guerre des mafias, je n’aurais pas pu sortir comme ça sans subir deux ou trois attaques par jours… les irlandais, les napolitains, les colombiens… ils voulaient tous ma mort et ils avaient tous finit par bouffer les pissenlits par la racine. Je soupire doucement en me disant qu’au fond j’y avais gagné de la tranquillité et un train de vie génial mais ma vie y avait perdu en risque et en passion… J’étais un tueur à gages, il ne fallait pas l’oublier et de ce fait, j’aimais le terrain et l’action, donner des ordres rendait souvent très con et je m’y refusais clairement. Ce fut à ce moment bien précis que je reçu un sms de la belle Autumn qui m’annonçait que ma commande était arrivée. J’esquisse un petit sourire amusé et je finis par ranger mon téléphone pour me rendre à cette réunion très important que j’avais, histoire d’organiser le braquage d’un fourgon blindé… C’était sans importance bien entendu parce que je n’avais pas besoin de cet argent, mais cela me donnait un shoot d’adrénaline ! Je soupire doucement avant de quitter la réunion une heure plus tard, vers 22 heures, et j’ordonne à mon chauffeur de me conduire à la boutique d’antiquités le Hidden Treasure. C’est con mais une fois dedans, je reste un long moment à regarder la boutique dans la voiture. Je soupire en repensant à mon enfance… La famille Levseïev avait toujours été fidèle à ma famille et mon père tenait les parents d’Autumn en très haute estime et la demoiselle était sans aucun doute ma plus vieille amie, celle qui m’avait connu le plus petit et je soupire doucement. Mes parents et mon frère étaient morts, tout autant que les parents de la jeune femme et entrer dans ce magasin ravivait tout un tas de souvenirs. Moi qu’on disait souvent sans cœur, quand je rentrais ici je me rendais compte que mon cœur battait toujours et c’était rassurant. Je finis par entrer dans la boutique dans le petit carillon bien caractéristique et je me pince les lèvres doucement avant de poser mon regard froid sur la jeune femme et je lui adresse un petit sourire tout mignon. Je lui fais la bise en posant une main affectueuse sur son épaule et je la regarde doucement. 
