Los Angeles était vraiment une ville où chacun pouvait faire sa place pour peu qu’il s’en donne les moyens. Paula était du genre à aider les autres à obtenir cette gloire et cette célébrité, en échange d’une simple gratitude. Evidemment, la sicilienne se souvenait parfaitement de celui qui avait fait de même pour elle, la lançant sur le chemin de la notoriété. De chanteuse et actrice, elle était devenue productrice et ne manquait pas de dénicher de nouveau talent qui eux même s’ignoraient. C’était le cas pour le beau brésilien à qui elle avait demandé un petit service ce soir. Arturo lui devait sa carrière et il en était bien conscient aussi, lorsqu’elle lui demanda d’accompagner une de ses amies à un vernissage, il accepta de bon cœur. Veuve depuis quelques mois, la pauvre Kathleen Novak se sentait totalement perdue et sortir au bras d’un beau jeune homme ne pouvait que la revigorer un peu. Elle ne souhaitait pas le chevaucher toute la nuit mais juste passer un peu de temps avec un homme qu’on lui envierait le temps d’une soirée.

Les derniers arrangements faits, Paula alla se préparer pour la soirée et après plusieurs heures à se faire dorloter dans son salon de beauté habituel, elle enfila sa robe rouge qui en montrait bien plus que la décence le voudrait. (robe) Toujours très people, la belle brune débarqua en limousine au vernissage, forçant le crépitement des appareils photos des journalistes attendant son arrivée. Sa robe et sa notoriété suffisait à elles seules à occulter le jeune peintre qui l’accompagnait et dont c’était le vernissage. Tout comme bon nombre d’artistes, il devait sa carrière à Paula et ce vernissage en était le point culminant, l’événement qui le lancerait une bonne fois. Sa bienfaitrice avait invité le gratin du monde de l’art et rien que de l’avoir elle à son bras, suffisait pour lui apporter la reconnaissance dont il avait besoin dans ce monde très fermé. Tout naturellement, elle offrit quelques interviews en compagnie de l’artiste, l’encensant auprès de la presse. Une fois cela terminé, elle entra dans la galerie où son arrivée fut plus que remarquée à nouveau. Il faut dire que tout le monde la connaissait et c’est donc tout naturellement qu’elle présenta le peintre à ses invités, restant à chaque fois quelques minutes pour qu’il puisse parler de ses œuvres.

Finalement, elle aperçut Arturo et Kathleen et se dirigea vers eux. Il n’y avait pas à dire, elle avait eu l’œil lorsqu’elle avait proposé au brésilien de se lancer dans le mannequinat. Son corps était celui d’un véritable apollon et sa belle gueule venait compléter un tableau des plus aguichants. Tout naturellement, elle présenta l’artiste au couple, sachant très bien que la veuve était une grande fan de ses peintures.

« Kathleen, Arturo, c’est un plaisir de vous voir ce soir. Je vous présente Frans Klein. C’est lui qui a peint les toiles que vous pouvez admirer. »

Faisant un petit clin d’œil à Arturo, elle s’écarta un petit peu pour laisser le blond tout frêle saluer les deux convives de sa bienfaitrice. Immédiatement, la vieille blonde l’assaillit de questions sur ses œuvres, arguant que ses tableaux lui parlaient au plus profond de son âme. Devant tant d’intérêt, le jeune peintre ne manqua pas d’expliquer en détails ses sources d’inspiration. Sans même s’en rendre compte, ils laissèrent Arturo et Paula sur le côté pour parcourir la galerie et parler des œuvres exposées. La sicilienne ne manqua pas de sourire, sachant très bien que c’était ce qu’il y avait de mieux pour la veuve. Elle se tourna alors vers Arturo et l’embrassa sur la joue afin de compléter ses salutations précédentes.

« Tu es toujours aussi beau. On peut dire que j’ai eu l’œil en te proposant ce shooting. J’espère que Kathleen n’a pas été trop fatigante ? Son mari et elle allaient souvent à des vernissages et depuis sa mort, elle restait cloitrer chez elle. Je te remercie pour ton aide en tout cas. Je sais que ton agenda est très chargé et c’est très gentil d’avoir pris du temps pour moi. »

Retirant deux coupes de champagne du plateau d’un serveur passant à côté d’eux, Paula en tendit une au beau brésilien. Avec un grand sourire, elle leva son verre pour porter un toast avec lui.

« A cette soirée ! J’espère qu’il ne faudra plus autant de temps avant qu’on se revoit. Ca serait quand même gentil de venir me voir de temps en temps. »

Les compliments du brésilien ne manquèrent pas de la faire sourire. Il faut dire que cette robe mettait parfaitement ses formes en valeur et c’était exactement pour cela qu’elle l’avait choisie. Depuis son plus jeune âge, Paula savait très bien que ses fesses étaient l’un de ses atouts principaux et que les hommes en étaient fous. C’était d’ailleurs devenu une arme de séduction particulièrement efficace si bien que malgré les années, elle avait persisté à garder la forme en s’adonnant à de la gym quotidiennement pour garder sa silhouette et la fermeté de son cul. Bien sûr, le résultat de ce travail permettait qu’à quarante-et-un ans, elle puisse enfiler ce genre de robe particulièrement osée. Quoiqu’il en soit, les compliments des jeunes hommes ne pouvaient que la ravir et particulièrement ceux d’Arturo qu’elle avait toujours trouvé à son goût. Evidemment, en tant que femme du monde et productrice, elle ne pouvait pas se permettre de se faire monter par le premier playboy venu. Si lors de sa carrière, les danseurs et autres défilaient dans sa loge, elle avait fixé une seule règle lorsqu’elle était devenue productrice et découvreuse de talent, celle de ne pas coucher avec des débutants à la carrière peu certaine.

Cette simple règle avait souvent été un véritable calvaire pour ses hormones qui réclamaient leur dose de luxure, plus particulièrement dans les cas comme celui d’Arturo, où le jeune homme en question ressemblait à un étalon qu’on avait envie de croquer. Pourtant, elle était parvenue à résister et cela ne rendait les mots du brésilien que plus intéressant. La plupart de ses poulains jouaient la carte du charme avec elle et il fallait admettre que sans cette volonté de fer, la plupart aurait pu aisément la prendre sauvagement sur la moquette mais au final, Paula se disait également que c’était cette retenue qui forçait le respect et qui lui permettait aujourd’hui d’avoir un réseau très étendu d’artistes qui se plieraient en quatre pour elle. La preuve en était les paroles d’Arturo qui semblait tout à fait disposé à lui rendre service quand elle le voudrait. Bien sûr, il fallait aussi apprendre à ne pas abuser des bonnes choses et parvenir à offrir de la compagnie à des riches et puissants, tout en favorisant les carrières des jeunes débutants, c’était aussi un travail d’orfèvre.

En tout cas, il était évident vu les regards ostensibles qu’il lançait à sa robe que ce qu’il voyait lui plaisait grandement. Cela aurait même pu en devenir gênant si les autres convives n’étaient pas tous occupés à boire les paroles du jeune Frans, dont la confiance en lui venait de prendre du galon. Elle écouta les excuses du beau brun en souriant, lui caressant le bras pour le rassurer avant de lui répondre amicalement.

« Ne t’inquiètes pas, je comprends parfaitement que tu es occupé. Je vais tout de même te répéter ce que m’a dit un vieil ami. Il faut travailler dur pour réussir mais ne jamais oublier ceux qui nous ont soutenu lorsqu’on arpentait le chemin de la gloire. Prend donc parfois du temps pour toi et tes amis sinon, tu ne tiendras jamais le coup. Et tu me vois venir à ton appartement, une vieille femme comme moi chez un bel homme comme toi, les gens s’imaginerait immédiatement des choses. En plus, n’oublies pas que je suis au courant de beaucoup de choses et ton emploi du temps en fait partie. C’est mon boulot de tout savoir, n’oublies pas. »

Toute sourire, elle glissa son bras autour du sien et marcha avec lui quelques pas afin de s’écarter un peu du reste des invités. Ils se retrouvèrent ben vite dans une autre partie de la galerie où les toiles semblaient représenter les parties d’un corps. On pouvait y voir une bouche, un œil, une main, une cuisse et même des fesses. Il s’agissait en réalité de la partie intitulée « Fantasmagorie » de l’exposition de Frans. A la vue de ces tableaux, on pouvait aisément deviner que la femme dessinée avait capturé le cœur de l’artiste et que chaque partie de son corps l’obsédait au point de devoir le retranscrire sur une toile. Paula continua à marcher et s’arrêta devant un tableau représentant un œil.

« Tu sais que Frans a peint tout cela sans même que sa muse ne pose pour lui ? Cela explique les différences entre la réalité et la représentation parfaite qu’il s’imagine. Regarde autour de toi, si je te dis que cette femme, tu l’as rencontrée dans la galerie, est-ce que tu arriverais à la reconnaître simplement avec ces toiles ? »

Si Paula avait décidé de prendre Frans sous son aile et de l’aider à percer, c’était essentiellement à cause de ces toiles. En effet, il n’avait que seize ans lorsqu’il a croisé pour la première fois sa bienfaitrice et charmé au premier regard, il avait dessiné ces tableaux. Le jeune artiste s’était installé devant l’hôtel où séjournait la sicilienne à New-York et durant presque une semaine, il guettait ses passages et dessinait son corps glissant sous ses yeux. Ce n’est qu’au bout d’une semaine que Paula se douta de quelques choses, le jeune garçon luttant pour saisir la finesse de ses traits en l’observant avec insistance. Cette rencontre marqua le début du changement de vie de Frans, tout comme elle avait changé la vie de beaucoup de jeunes avant lui. Toujours accrochée au bras d’Arturo, Paula ne put s’empêcher de sourire alors qu’il regardait les toiles pour découvrir qui se cachait derrière.

« Si tu trouves, tu pourras admirer le modèle de près. »

Paula était de bonne humeur et les paroles gentilles d’Arturo ne manquèrent pas de la rendre encore plus joyeuse. Bien qu’elle pouvait être une vraie peste avec ceux qui ruinaient son travail ou simplement leur talent. Dans le cas du beau brésilien, le plaisir qu’il prenait dans son travail se ressentait dans ses photos et cela plaisait énormément aux clients, d’où son succès fulgurant. La sicilienne se souvenait encore du fougueux étalon qu’elle avait rencontré chez Karen et qui se demandait encore quoi faire de sa vie. Des années plus tard, on pouvait dire que son chemin était tout tracé. Tout sourire à l’évocation des sentiments que son poulain avait envers elle, Paula ne manqua pas d’y répondre chaleureusement, serrant un peu plus son bras en le regardant.

« C’est très gentil. Sache que c’est réciproque, n’hésites pas à m’appeler si tu as le moindre souci. Je serai toujours là pour toi. En plus, tu es mon petit chouchou ! »

Joueuse, elle taquina Arturo en lui attrapant le menton, un large sourire sur les lèvres alors qu’ils pénétraient dans une nouvelle salle. Les peintures exposées parlèrent immédiatement au brésilien et s’il lui semblait déjà avoir vu ce regard, c’était sans doute car il était posé sur lui à ce moment même. Après quelques instants de réflexion, prenant son air pensif, il se tourna vers Paula qui avait momentanément quitté son bras. Sa réponse se fit plus interrogative que confiante et s’amusant de son étonnement, la belle brune tourna sur elle-même avant de prendre une pose sexy, juste à côté de la toile représentant ses fesses.

« En effet, c’est moi sur ces toiles. Impressionnant n’est-ce pas ? Tu imagines qu’il les a peint juste en me regardant passer devant lui ? C’est pas mal n’est-ce pas ? Quoique je trouve mon cul un peu gros par rapport à la réalité tu en penses quoi ? »

Tournant le dos à Arturo pour se pencher un peu et exposer ainsi son fessier, juste à côté de la toile représentant ses fesses, Paula jeta un regard interrogateur au brésilien. C’est clair que sur l’œuvre de Frans, le postérieur de la sicilienne était totalement dénudé et cela démontrait son imagination vu qu’en vrai, il n’avait jamais eu le privilège de cette vue. Toute sourire et remuant un peu sa croupe pour forcer la réponse du beau brun, elle finit par se redresser en entendant des bruits de pas venir dans leur direction. Un couple d’invités les avait suivi en se demandant ce qu’il pouvait bien y avoir dans cette autre salle de la galerie. Immédiatement, Paula se remit au bras d’Arturo faisant mine d’admirer la peinture de ses fesses. Ils se saluèrent amicalement, l’homme étant en fait un collectionneur de renom à qui Paula avait déjà présenté de nombreux artistes talentueux dont les œuvres ornaient sa collection. La brune pressa son jeune cavalier vers une autre toile, s’amusant d’entendre l’homme vanter la beauté du modèle et surtout ses incroyables formes.

Bien sûr, sa cavalière ne manqua pas de jouer l’offusquée, forçant le pauvre bougre à revoir sa copie et la complimenter à son tour. Malgré cela, il la laissa quelques instants pour venir voir Paula, lui annonçant qu’il voulait acheter la toile représentant son fessier pour sa collection personnelle. La quadragénaire resta sérieuse malgré l’étrangeté de la situation et ne manqua pas de lui répondre avec le sourire.

« Ces toiles ne sont à priori pas à vendre mais vous pouvez toujours voir cela avec Frans. Peut-être qu’il sera d’accord pour vous la céder. »

Enthousiaste à cette idée, il repartit en compagnie de la jeune femme pour aller trouver l’artiste. Une fois qu’ils furent partis, Paula ne put s’empêcher de rigoler et essaya quelques larmes avant qu’elles ne ruinent son maquillage.

« Tu imagines s’il achète cette toile. Il aura mes fesses en permanence devant les yeux. J’en connais une qui ne risque pas d’être très contente. »

La sicilienne aimait taquiner Arturo et le voir être gêné à sa remarque ne manqua pas de la faire sourire. Les hommes étaient finalement tous assez semblables et dès qu’on les complimentait un peu, il ne savait pas trop comment réagir. Il faut dire qu’au final, ce genre de choses était plus l’apanage des femmes habituellement mais bon, il fallait admettre que Paula avait un petit faible pour le brésilien dès le départ de sa carrière et s’il n’avait pas percé, elle en aurait certainement fait son casse-croute. Quoiqu’il en soit, ils étaient aujourd’hui amis après toutes ces années et il était en droit de savoir qu’il était un des rares dont elle avait suivi la carrière et parfois même un peu aidé dans l’ombre. En même temps, peu de personnes connaissaient le véritable pouvoir de la quadragénaire et les ramifications qu’elle avait réussi à créer autour de sa personne en rendant des services aux plus puissants. Evidemment, faire partie de la famille Corleone aidait également beaucoup à ouvrir les portes.

« Evidemment que tu es mon chouchou ! Tu te souviens de la campagne pour Coca-Cola que tu as faite l’année passée ? J’ai poussé pour que cela soit toi et vu le succès, le producteur m’a remercié un million de fois. Je garde toujours un œil sur toi. »

En même temps, il était l’un des premiers que Paula avait lancé et sa carrière triomphale ne faisait que donner plus de crédit aux choix de la brune. Ils continuèrent leur discussion et pour la première fois, Arturo s’avança sur un chemin glissant en complimentant le fessier de la sicilienne. Il ne put s’empêcher de rougir et lui frappa doucement l’épaule en rigolant.

« Tu me fais rougir ! »

Et évidemment, lorsqu’il continua en évoquant la possibilité d’acheter le tableau représentant son cul, Paula ne manqua pas de rigoler afin de cacher sa gêne. Il n’y avait pas à dire, il savait comment l’émoustiller ce beau gosse. A l’entendre, elle aurait juré qu’il voulait la baiser sur le champ et son clin d’œil entendu ne manqua pas d’accentuer cette idée dans l’esprit de la brune. Elle sera un peu plus son corps contre le bras d’Arturo, continuant à marcher entre les toiles représentants son corps sous toutes ses formes. Elle tenta tant bien que mal de chasser cette idée perverse qui commençait à remplir son esprit mais bon, chaque parole semblait la ramener à l’inéluctable envie de se faire posséder par ce bel étalon brésilien.

« Je suis sûr que toutes les femmes sont à tes pieds alors ne perds pas ton temps avec une vieille comme moi. Mais ça me fait très plaisir quand même venant d’un bel homme comme toi. »

Le couple continua à marcher jusqu’à une autre salle bien plus petite où se trouvait les œuvres exposés habituellement dans la galerie et stocker à part lors de vernissage. Il fallait bien qu’en dehors des expositions, le propriétaire des lieux reste ouvert et par conséquent, il demandait à chaque artiste de lui laisser une toile après leur passage afin de faire vivre sa galerie. Dans le cas de Frans, c’était sûrement l’une des toiles principales que Giuseppe demanderait vu que sa notoriété n’en était qu’à ses débuts. Quoiqu’il en soit, Paula avait bien d’autres choses en tête suite aux paroles d’Arturo. La brune se faisait peut-être des films mais bon, il était clair dans son esprit que le brésilien ne semblait pas indifférent à ses charmes. Excitée à cette idée, chaque pas à son bras lui faisait perdre un peu plus de son self-control et voyait son esprit imaginer des choses. Dans cette salle désertée par les invités et totalement à l’abri des regards, la sicilienne s’arrêta face à une toile représentant une femme dénudée. Elle se plaça devant Arturo et prit ses mains pour qu’il l’enlace doucement. Silencieuse dans un premier temps, Paula colla son fessier contre le beau brésilien, bougeant légèrement son bassin pour stimuler sa virilité cachée dans son pantalon. Finalement, elle brisa le silence en tournant le visage légèrement vers lui et en lui murmurant quelques mots.

« Qu’est-ce que tu ferais si une femme s’offrait ainsi devant toi ? »

L’ambiguïté de ses mots était voulue et il restait maintenant à Arturo de voir s’il voyait cela comme un avis artistique sur la toile en face d’eux ou s’il s’agissait d’un appel du pied pour lui dire qu’elle était prête à franchir la limite de la convenance avec lui, ici et maintenant.

Si le lieu n’était pas vraiment adapté à ce genre de chose, Paula ne semblait pas trop s’en soucier. Exposant son cul au regard d’Arturo, elle espérait bien que le spectacle lui plaisait. Peu d’hommes, pour ne pas dire aucun, n’avait encore rejeté une telle proposition et le brésilien ne semblait pas vouloir ouvrir cette perspective. Ses paroles salaces ne firent qu’exciter davantage la sicilienne qui tortilla des fesses pour l’attirer dans son piège. Mon dieu comme elle avait envie qu’il lui bouffe le cul et la chatte avant de la prendre bestialement et rien que cette pensée suffit à la faire mouiller comme une salope. Par-dessus son épaule, elle pouvait voir son étalon sud-américain sortir sa grosse verge et comme ses photos l’avaient laissés supposer, il en avait une énorme, bien longue et bien épaisse, le genre de queue devant laquelle on ne peut que baver en attendant qu’elle vous donne le plaisir espérer.

« Mmmm, c’est un joli morceau que tu as là ! Pas étonnant qu’on te demande toujours pour les shootings en sous-vêtements. »

Du coin de l’œil, tortillant toujours ses fesses sous le nez du brésilien, il put apprécier son regard pervers qui désirait son cul plus que tout. Au contact de sa main, Paula frissonna d’envie, avant de pousser un petit cri de surprise lorsque la claque s’abattit sur son postérieur rebondi. Lui qui était d’un naturel si poli et aimable montrait désormais une facette de sa personnalité qui ne manquait pas de piment. Fort heureusement, c’était exactement ce que la sicilienne attendait de ses amants et maintenant marquée de la main d’Arturo, elle n’attendait plus que sa langue entre ses fesses pour poursuivre sur cette agréable route. Elle sourit aux paroles du brésilien, bien contente que son étalon soit assez confiant en son endurance pour lui promettre une soirée très remplie. Après, il restait à voir s’il tiendrait longtemps entre les reins de cette experte en sodomie. Ronronnant comme une chatte en chaleur, Paula s’amusa à pousser ses fesses contre l’épaisse verge qui se collait à elle.

Finalement, un petit sourire lui vint aux lèvres lorsqu’elle sentit le gland brûlant se poser contre sa petite corolle plissée, comme pour lui faire comprendre que bientôt, elle devrait s’ouvrir sous son passage. Paula se cambra un peu plus, se demandant quand Arturo finirait par lui bouffer le cul mais à sa grande surprise, son étalon la prit complètement au dépourvu en s’enfonçant d’un trait dans sa rondelle de chair. En un instant, tout le corps de Paula se raidit sous l’effet de la douleur. Cette énorme queue se frayait un passage jusqu’au fond de son rectum, lui arrachant un cri de douleur qu’elle retint autant que possible en mettant sa main devant sa bouche. Crispée contre le mur, elle fit son possible pour accepter cette colonne de chair imposante qui avait explosé son anus d’une seule poussée. Bien qu’habituée à la sodomie, elle ne s’attendait certainement pas à ça et pour le coup, elle dut faire preuve de beaucoup de self-control pour parvenir à détendre son orifice violé afin d’atténuer la douleur. Ce petit salopard prenait son pied visiblement et il ne tarda pas à la saisir par les hanches pour débuter un mouvement de va et vient. C’est donc d’une voix haletante et reflétant la douleur ressentie qu’elle répondit à son amant du soir.

« Mmmmm … Je savais que tu voulais mon cul mais pas à ce point … Tu aurais pu lubrifier un peu … Putain qu’elle est grosse ! Tu me déchires le cul ! »

Crachant dans sa main, elle alla lubrifier un peu le bord de son anus et la tige y coulissant afin d’atténuer la douleur. Ce simple geste calma grandement les choses et permit à Paula de commencer à apprécier les coups de rein de son étalon. Doucement, elle commença à gémir de plaisir au même rythme qu’Arturo. Les yeux fermés, la douleur diminuant lentement au fur et à mesure que son plaisir montait, la quadragénaire soupirait à chaque fois que l’épaisse verge brésilienne lui remplissait le rectum. Son entraînement à la sodomie lui permit de détendre rapidement sa petite corolle pour accueillir un monstre pareil car une jeunette n’aurait certainement pas été capable d’accepter un calibre comme ça. Arturo lui arracha encore un cri lorsque sa main s’abattit sur sa croupe à nouveau, rougissant sa fesse rebondie. Il ne lui fallut pas longtemps pour se laisser aller à ses pulsions de mâle en rut et d’enculer durement la brune qui gémissait de plus en plus. Sentir cette grosse queue coulisser dans son anus était un véritable plaisir et c’est donc cambré et offerte qu’elle accepta les coups de butoir puissants de son amant.

Petit à petit, elle accompagna les coups de rein en poussant sa croupe vers l’arrière. Les couilles lourdes et pleines d’Arturo frappant sèchement contre sa chatte ruisselante, la salle commençait à se remplir d’un bruit obscène d’accouplement bestial et de gémissements qui ne laissaient nullement place à une mauvaise interprétation des choses. Cherchant à exciter encore plus son étalon, elle posa sa joue contre le mur, regardant par-dessus son épaule, et posa ses mains sur ses fesses pour les écarter largement et accueillir la totalité de cette grosse queue dans son petit trou. La vue devait être particulièrement excitante pour celui qui avait lorgné sur son cul durant des années.

« Défonce mon cul ! Putain !!!! Aaaaah !!! C’est bon !!!! Continue !!!! Plus fort !!!! »