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#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Tony c'est le genre de mec auquel on goûte une fois et ou on est certaine d'avoir envie de remettre ça par la suite. Il est la perfection. Canon, charismatique, corps de rêve. Je vais finir par devoir remercier mon père à cette allure, ça lui ferait les pieds de savoir que sa fille chérie se tape son pseudo espion. J'pense pouvoir lui faire un minimum confiance, et puis, après ça, pourquoi irait-il s'amuser à raconter ce qu sa gamine pas sage fait quand elle est chez elle. Ça me regarde, point. Il me fait sourire, je ne répond rien, je me contente de profiter de sa queue qui devient hargneuse, indélicate, qui se glisse et me culbute sans pincette. Ce n'est plus le temps pour la douceur et mon cœur loupe un battement alors que mon corps plaqué au sien, je le sens se vider dans mon cul après s'y être ancré en profondeur. Me tortillant violemment, ses bras s'assurant ainsi que je ne m'échappe pas durant notre halte de plaisir, je laisse à mon tour une vague de plaisir me ravager, l'orgasme s'insinuant sous ma peau. L'étroi fourreau se contractant vivement contre sa que bandée, je ferme les yeux, me cambrant alors que mon bassin pousse de lui même contre celui du beau brun pour le sentir une dernière fois. Sentir sa tige étirer pour un dernier vas et viens brutal, l'antre qu'il s'était approprié pour la soirée. Souffle court, mon cœur manque un battement quand je finis par pousser un long soupire de bien être. Râles étouffés contre nos lèvres respectives, ma langue part à la recherche de la sienne dans une danse endiablée. Mes cheveux enroulés autour de son poignet maintienne ma tête en arrière et je ne cherche pas à me défaire, je profite consciemment, ondulant de dernières secondes contre lui, allant à la recherche de la dernière parcelle de plaisir que sa queue avait à m'offrir avant de couper court au baiser pour le fixer. Respiration saccadée, je me pince les lèvres. « Oui, tu n'es pas mal non plus dans le genre divin.. » ses bras musclés tout autour de moi, il finit par se relâcher et j'en fais de même alors qu'il ne tarde pas à se retirer de mon cul, me faisant lâcher un dernier couinement alors que je sens chaque centimètre se retirer. Retombant à mes côtés, je m'allonge précautionneusement sur le dos avant de tourner la tête vers lui. Jambes repliées sur le matelas, mains sur mon ventre, je joue avec mon piercing au nombril. Presque un automatisme. « C'est officiel, le repas doit vraiment être froid maintenant ! » rigolant légèrement, je me tourne et vient plaquer mes lèvres sur les siennes avant de me redresser sur les fesses dans une grimace et je ne peux contenir mon serrage de dents passablement rieur. « Bordel, laisse tomber, je vais avoir besoin de sac de congélation ! » oui, sous le cul, vous savez ? Amusée, je me laisse retomber sur le dos dans un bref et nouveau rire.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

La perfection asbolue, il y avait un moment que je n'avais pris mon pieds comme ça. Il était tout ce qu'une nana pouvait aimer. Aussi bestial que fougueuse, aussi tendre que langoureux. Des mélanges exquis qui me poussent à gémir toujours plus. Il s'enfonce dans des allées et venues lascives, se faisant engouffrer à chaque fois plus profondément. Je le sens passer, clairement, mais j'adore ça et sa réponse à ma provocation me fait sourire, mordillant ma lèvre. « Humm.. t'as pas idée à quel point.. j'aime ça... » le souffle court, je répond à son baiser un long moment avant que mon front ne se pose contre le sien. Une main contre sa joue, je laisse mon pouce longer ses lèvres alors que ses râles virils me parviennent aux oreilles. Sa tige est à l'étroit dans mon cul mais je sais qu'il aime ça. Bien dur dans mon trou, il y va toujours aussi lentement, la brûlure cédant lentement pour laisser sa verge se faire sa place sans trop de douleur. Dilaté tout autour de lui, ses doigts contre mes tétons tendus sous le plaisir, je ferme les yeux dans des petits cris de plaisir qui se font toujours plus intense. J'essaye de me détendre, de ne plus penser à rien si ce n'est à sa queue bandée qui me déchire avec ardeur. Je sens qu'il contient un minimum ses coups pour ne pas me faire crier plus que de raison et entre nous je préfère couiner de plaisir que de douleur. C'est quand même de loin beaucoup plus agréable. Ses bourses tapant contre l'entrée de mon vagin à chaque mouvement, une décharge électrique vient irradier mon bas ventre et grâce à la position, j'en profite pour me pencher légèrement, ma main passant entre nous et je viens chercher ses couilles que mes doigts s'amuse à titiller des que la distance se réduit. Plus ça va et plus je le sens prendre ses aises dans mon derrière. Je vais avoir mal au cul demain mais c'est un détail. Ondulant contre sa main qui me doigte ou me caresse, les vagues de chaleur qui me ravagent sont violentes. Le plaisir grimp en flèche et alors que je commence à m'habituer à son rythme, il se met soudainement à s'amuser à sortir pour revenir au plus profond de moi. Faisant durer ce petit jeu à plusieurs reprises, les gémissements qui quittent ma bouche se font plus bruyants, plus violents, alors que je soutiens son regard. Ma main jusque là sur sa joue finit par se glisser dans sa nuque. « Putain... encore ! T'arrêtes pas ! » je suis pas loin et l'excitation est tellement forte que je ne suis pas certaine de te tenir encore longtemps. Il me rend dingue. Une folie jouissive qui se propage en moi avec une ardeur venue de nul part. C'est tellement bon. Il me prend le cul avec fougue, me le limant sans remord mais gardant toujours cette pointe de douceur et je peux dire que mon trou a totalement apprivoisé son dard. Mes doigts venant finalement se poser contre mes fesses, je les lui écartent afin de lui faciliter encore plus la tâche. Son bras passe autour de moi, se calant sous mes seins, et je peux les sentir frôler sa peau ce qui a pour effet de me faire frissonner brusquement. Encore quelques coups de boutoir et je sais très bien qu'il va me mener à nouveau à son point de non retour.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Depuis qu'il a déboulé ici, notre petite vie tranquille a été légèrement modifié. Maintenant se promener à poil est prohibé sous peine de voir le mâle se tendre de... crispation évidemment. Comment ça je mens ? Bien sûr. Qui pourrait empêcher Vicky ou moi de nous balader en petite tenue sous ses yeux ? Absolument rien, pas même ce qui devrait se résumer à de la pudeur ou que sais-je. Trémousser mon petit cul devant lui chaque jour a été un passe temps favoris. Le sentir grogner intérieurement sous la scène, un second et enfin... le moment de consécration. Je ne dirais pas avoir prémédité l'acte mais je ne le regrette absolument pas. Je n'arrive pas à vouloir m'arrêter là, c'est ce qui me pousse à lui laisser le droit de passer par derrière. Chaque contact qu'il m'inflige est un supplice. Mon corps le réclame, attendant chaque seconde la nouvelle caresse qui va me faire tressaillir. Je le sens répondre directement à ma demande et se mettre à me caresser plus vigoureusement. Mordillant ma lèvre, je suis complètement plaquée à lui et je peux sans mal sentir son visage dans mes cheveux, son souffle contre ma nuque. Les frissons me parcourent et je continue d'en rajouter, pressant toujours plus mon cul contre sa queue chaude comme la braise. Puis soudainement, je me stoppe, son majeur se glisse à nouveau contre mon anus avant de s'y enfoncer et je me crispe dans un léger gémissement. Mon cœur s'emballe, cette sensation de gêne se fait présente et diffuse tandis qu'il commence à aller et venir dans mon trou le plus étroit. La chaleur monte en flèche et j'ai du mal à tenir en place. Sa seconde main en mouvement constant contre mon vagin et ma zone érogène me fait mouiller toujours plus tandis que par réflexe, mon corps tente de lui échapper lorsqu'il essayer d'inserrer un nouveau doigt. Sa prise sur mon corps est flagrante, si bien que je ne bouge que de quelques millimètres. Il me garde contre lui, fermement, et je peux facilement dire que je suis totalement à sa merci, me tortillant sous ses doigts dans de légers gémissements. Le souffle court, je suis totalement ailleurs, je n'arrive plus à penser alors que je m’agrippe à son bras qui est désormais ma seule prise possible. Mes doigts s'enfonçant dans sa peau, je sens son gland partir à la conquête de mon anus quand il finit par s'y glisser d'un coup précis, remplaçant ses doigts. Un couinement plus virulent raisonnant dans la chambre, mon corps se cabre davantage, lui offrant une vision plongeante de ma chute de rein. Il avance, doucement mais sûrement et chaque poussée enfonce son épaisseur plus loin en moi. Je me tortille et ferme les yeux alors que ses doigts contre mon clitoris se font plus vifs. Mon cerveau s'embrouille, ce n'est qu'une question de temps pour que je ne perde le contrôle et quand je sens mon cul se détendre afin de l'aspirer encore plus profondément, je sens ce sanglot monter dans ma gorge, un gémissement plaintif s'y confondant tandis que la main du beau brun attrape mon menton pour me tourner la tête vers lui. Le souffle court, je croise son regard, les yeux légèrement brillants, et je finis par répondre à son baiser pendant qu'il entame des vas et viens tout en douceur mais qui étire sans difficulté à chaque coup de rein mon cul autour de sa verge. Mon anus me brûle de l'intérieur, cette douleur se mêle à ce plaisir particulièrement fort qui me force à gigoter contre lui. Mon bassin veut lui échapper, il veut s'éloigner de sa tige qui se forge sa place à l'intérieur de moi. Le front contre le sien, je ferme les yeux quelques secondes. « Et toi t'es tellement épais... si je doutais que tu sois... bien monté... j'en ai la confirmation... » un brin provocatrice malgré la situation, j'essaye de contrôler mon corps mais je suis en totale perdition alors que je le sens riper intensément, allant et venant et se faisant engloutir de plus en plus facilement par mon trou.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

La chaleur qui se propage dans mon corps n'est qu'une infime partie du pieds qu'il m'a fait prendre. Collée contre lui, mes mains parcourent son corps, sa joue et redessinent ses muscles dans de lentes caresses. Frissonnante, je le laisse savourer son extase, ondulant encore de longues secondes contre lui et sa queue tandis que je sens ses couilles plaquées à mon fessier. Son corps légèrement luisant sous l'effort intense que nous venons de mettre durant cet ébat, je souris doucement tout en venant lui voler un langoureux baiser. Ancrée en moi jusqu'à la garde, il continue de me remplir de son épaisseur, ne semblant pas défaillir tandis que mes doigts finissent par remonter dans sa nuque dans un soupire de bien être. Le souffle court, je tente de me ressaisir, croisant son regard qui semblait m'admirer, et je me pince les lèvres. Il est beau. Le côté 'après sexe' lui va bien, il a les cheveux en bataille à force que je ne les lui agrippent et je ne peux pas dire que son corps ne soit pas un appel constant au viol. Ses lèvres, son regard, hm. Finalement, et tandis que je le contemple en retour, il prend le contrôle et nous fait tourner. Bien vite, je me retrouve ainsi dos à lui et je sens ses mains venir palper mon derrière avec envie, longeant mon intimité encore ultra sensible après ce moment de folie. Mon dos épousant parfaitement la forme de son torse, je me cabre doucement, laissant mon cul bombé venir se frotter à son membre que je sens durcir à nouveau. Je le cherche oui, je le provoque et je sens qu'il aime ça. Si bien qu'il finit par venir me chuchoter une phrase qui ne m'étonne pas. La plupart des mecs font une fixette avec ça, alors j'ai appris à aimer. Mordant ma lèvre, je sens les siennes venir glisser contre mon lobe, remontant le long de mon oreille et par ce simple contact il parvient à me déclencher un faible gémissement. Ma poitrine bien tendue par l'excitation, je sens cette chaleur envahir à nouveau mon bas ventre comme si le simple fait de l'entendre éveillait cette envie de lui que je gardais enfouit en moi. « Si tu veux m'enculer, fait toi plaisir ! » je réutilise ses termes. Je ne le précise pas mais c'est un acte de confiance que je lui offre là, et s'il me fait mal il peut se considérer comme étant déjà castré. Je pourrais lui refuser l'entrée de mon petit trou le plus étroit, le truc c'est qu'il arrive à attiser le feu en moi et son majeur qui vient presser faiblement contre mon anus me fait me raidir contre lui. Redressant une jambe de moi même, je viens déposer mon pied contre sa cuisse et tandis que je penche la tête en arrière contre son épaule, j'attrape la main du beau brun que je fais glisser jusqu'à mon vagin, l'incitant à laisser ses doigts courir contre mes grandes lèvres, titillant mon bouton de plaisir durant quelques secondes, pendant que de mon côté, mes fesses prolongent leur petit jeu contre sa trique qui se frotte à la raie de mes fesses. J'en rajoute, pressant et collant toujours plus l'objet de sa convoitise à cette queue bandée qui ne demande qu'à me pénétrer.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Crispée contre lui, gémissante, je sens la chaleur de mon vagin se répandre dans tout mon corps alors que prolongeant son baiser avec ardeur, je ne tarde pas à croiser son regard quand il me dit que je suis belle quand je jouis. Dans un petit sourire qui se mêle à un long soupire d'envie, mes doigts enfoncés dans son dos, je le scrute sagement. « Ah parce qu'en temps normal je ne le suis pas ? » il peut voir cette lueur malicieuse dans mon regard alors que je lui répond, mordillant ma lèvre inférieure. Malgré la situation, j'arrive encore à me montrer chiante, c'est ce qui fait mon charme et mon côté unique certainement. Il continue cependant de me limer avec force, comme possédé par une fièvre inconnue, et je le sens passer, sa queue bien épaisse me remplissant avec gourmandise. J'adore ça et après cet orgasme qui m'inonde littéralement, je reprend ses lèvres quelques secondes, ne parvenant pas à rester concentrée dessus pour mieux couiner sous ses coups de boutoir qui me ravage. Finalement, il se redresse pour avoir probablement plus de prise et je sens ses doigts glisser contre ma joue et mon front. Surprise par son geste, je me pince les lèvres dans un frisson tandis que mon corps se cambre. Baissant les yeux, c'est sans mal que je vois sa trique entrer et ressortir de mon vagin particulièrement sensible du plaisir qu'il vient de me procurer, et je viens m'agripper aux draps du lit que je serre entre mes doigts. Il se fait plus insistant, plus percutant. Sa main toujours contre mon intimité, je cabre davantage mon dos pendant que ses lèvres viennent à nouveau trouver mes tétons. Léchant, mordillant, tirant, j'ai beau avoir atteint le septième ciel, le plaisir ne descend pas et pour cause. Avec un mec comme lui c'était juste impossible. Il se presse contre moi, m'intime presque de ne plus bouger afin que je subisse ses assauts sans échapper au moindre mouvement quand soudainement, je le sens perdre pied à son tour. Muscles raidis, son visage se crispe à son tour pendant que mon index vient longer sa mâchoire. Lui aussi il est beau quand il s'abandonne comme ça à son plaisir. Sa semence jaillit finalement en moi, enfoncé jusqu'à la garde alors que je sens ses bourses plaquées à mon cul. La respiration saccadée, mon cœur bat à un rythme terrible tandis que je plonge mon regard dans le sien dans de derniers gémissements. C'est tellement bon. Je ne sais pas à quelle heure Vic compte rentrer et je stresse un peu à l'idée qu'elle puisse nous surprendre. Seulement voilà, le beau brun ne met que quelques secondes à me sortir de mes pensées, ses râles de plaisir me faisant doucement sourire. Pourquoi avoir attendu si longtemps bordel. Il ne fait aucun doute quant au fait que son corps est un plat dont je ne pourrais plus me passer. Aussi étrange que cela puisse être.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Je ne peux reconnaître qu'une chose c'est que sa manière de me baiser est juste excessivement bonne. J'ai à peine le temps de comprendre ce qui m'arrive qu'il décide soudainement de changer de coin et me redressant dans ses bras, j'm'accroche à son cou avant qu'il ne nous mènent dans ma chambre. Jetée sur le lit, je rebondis sur le matelas tandis qu'il ne tarde pas à revenir à l'assaut de ma fente totalement trempée par sa trique qui n'a de cesse de me pilonner avec ardeur. Mes jambes resserrées autour de ses hanches, mes mains s'accaparent ses fesses afin de l'inciter à s'enfoncer toujours plus profondément et je me mord la lèvre. Le plaisir est haut, et plus il accélère, moins je parviens à contrôler mes gémissements qui raisonnent plus durement dans la pièce. Tapant avec toujours plus de fougue au plus profond de moi, je sens mon dos glisser sur les draps, le lit se balançant au rythme de ses coups de queue, son bassin cognant le mien alors que je ne tarde finalement pas à reprendre mon propre rythme afin de l'accompagner pour sentir son épaisseur se frotter davantage à mes parois. Mon corps le réclame, je le réclame et tandis que mes lèvres partent à l'assaut de son cou, je croise son regard dans un long soupire d'envie. Il a cet air autoritaire qui lui donne ce côté si sauvage et sexy à la fois. Il prend son pied, je le vois aux traits de son visage, à ses muscles qui se crispent, ses râles de plaisir qui quittent parfois sa bouche. Il me lime juste comme personne ne l'a fait jusque là et je me tortille contre lui, la pointe de mes seins frôlant et pressant contre la peau de son torse. Il glisse en moi avec une facilité déconcertante, sort et ressort à plusieurs reprises. Sa main glisse caresser mon clitoris, mes seins, et je suis prise de frissons incontrôlés, ma main venant se poser contre son poignet comme pour tenter de l'arrêter mais je n'en suis pas vraiment capable tandis que je me cambre contre lui. Fermant les yeux, je geins de plus en plus intensément alors que mon bassin part à la rencontre de son sexe toujours plus frénétiquement. Cette décharge électrique commence à s'emparer de mon bas ventre et c'est sans mal que je sens qu'il commence à me mener à ce point de non retour que j'attends avec impatience. Il me dit que je suis bonne, soufflant, et je ne peux m'empêcher de sourire doucement, le visage déformé par un plaisir qui atteint désormais des sommets. « Ohhh... je viens.. continue... » mes lèvres se plaquant à nouveau aux siennes, je me colle bien contre lui, mes doigts partant s'agripper à ses cheveux. Mes soupires s'étouffant finalement dans sa bouche je savoure totalement, et je ne tarde pas à être ravagée par un orgasme que je n'ai tout simplement pas vu venir. Trop excitée, trop sur mon nuage, trop d'attente probablement aussi et rompant le baiser, je laisse mes mains venir attraper mon oreiller que je serre, gigotant sous lui pour tenter d'échapper à sa queue que mon vagin vient désormais encercler brutalement. « Hummm... fuckkk... ouiiii ohhh !!! » le souffle court, je laisse ma respiration se heurter à son cou dans lequel mon visage s'engouffre.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Un plaisir contenu et retenu durant une période trop longue rend les choses toujours plus intenses. L'envie qui s'était insinuée en moi au cours de ces dernières semaines était quelque chose de sadique, suffisamment vicieux pour grandir lentement dans ma tête et se faire son petit bout de chemin. Il avait su utiliser la petite porte entrouverte que j'avais volontairement mis en avant avec mes caresses. Une part de moi raisonnait sur le fait qu'il valait mieux éviter, l'autre subissait les assauts de ses lèvres contre mon corps. Mes tétons bien durs sous le plaisir, je le sens venir agripper mes poignets dans mon dos, me les bloquant avec fermeté alors que je pousse un léger gémissement en venant me mordre la lèvre. Ses doigts s'enfoncent dans ma peau, me font presque mal mais c'est sans compter sur toute les autres sensations qui s'ajoutent au tableau. Une baise électrisante, moi je vous le dis et j'ai hâte de goûter à plus. J'avais bien sentit sa frustration que je remonte si vite, que je le prive de plus. C'était tout à fait voulu et c'est ainsi sans remord que je me frotte longuement le long de sa verge qui a prit une épaisseur plus que satisfaisante. L'atmosphère est aussi brûlante que mon corps et les frissons me parcourent. Ferme, limite autoritaire, ses mains sillonnent mes hanches, palpe mon cul, afin de s'y caler et c'est sans réfléchir plus qu'il termine par me soulever par celles-ci afin de m'empaler sur sa queue. Me crispant automatiquement contre lui, je pousse un violent soupire de plaisir tandis que mes bras passent autour de son cou. Ma fente l'accueille sans mal, je le sens se faire sa place, commencer à taper sèchement en moi et c'est presque incontrôlé que je commence à accompagner ses coups de reins. Son bassin claque puissamment contre le mien, je peux sentir ses couilles me frapper toujours plus alors que le plaisir grimpe en flèche. C'est tellement bon. Enfouissant mon visage dans son cou, je dépose de langoureux baiser contre sa peau, la frôlant, la mordillant, tandis que j'ondule bien sur son membre, descendant mes baisers contre son épaule, sa clavicule. Plaquée contre lui, au centre de ses bras musclés, ma poitrine se colle bien à son torse, les pointes fièrement dressées tandis qu'il termine par s'emparer de ma taille. Soufflant de plaisir contre son oreille, je me redresse finalement en croisant son beau regard. Les pupilles dilatées, son corps qui se crispe, qui ne fait que me réclamer davantage c'est tout ce qu'il y a de plus jouissif. « Humm bordel... Tony... » ma main glissant finalement dans sa nuque, je soutiens son regard avant qu'il ne prenne mes lèvres. Répondant à pleine bouche au baiser, ma langue se mêle à la sienne avec ardeur. La respiration saccadée, je presse davantage son bassin contre le canapé, m'amusant à prendre le contrôle de cet échange et ainsi le contraindre à me laisser gérer les choses quelques secondes, alors que je l'enfonce au plus profond de moi, m'amusant alors à prodiguer à sa queue de légers mouvements circulaires, sa trique ripant et frôlant bien mes parois. C'est terriblement bon et je souhaite de tout coeur que rien ne nous arrêtent sur notre lancée. C'était plus qu'une envie de lui, s'en était presque devenu vital et là, je pouvais aisément parler de soulagement que de le sentir me limer comme il le faisait, mes cris de plaisir s'intensifiant brutalement.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Mes lèvres scellées aux siennes, je les savourent, ma langue partant à la recherche de la sienne pour une danse endiablée, fougueuse. Je ne suis pas le genre de fille à me contenir éternellement et en général lorsqu'on m'ouvre la porte je ne passe pas trois heures à réfléchir si c'est bien ou mal. Tout m'attirait chez lui, et ça, depuis le début. J'avais flirté avec le danger, je l'avais dragué, j'avais laissé sous-entendre les choses qu'il pourrait me faire. Une subtilité toujours aussi bien utilisée. Je ne sais pas trop si il s'en était rendu compte à l'époque ou s'il avait fait passer ça pour de la provocation. J'avais été refroidie en découvrant cette histoire avec mon père c'est vrai. J'me souviendrais toujours du premier soir ou je l'avais surpris en rentrant du boulot, en train de se faire pomper par cette brune. Je n'avais absolument pas apprécié et j'étais partit m'enfermer dans ma chambre. Comme la gamine que je suis j'avais fait pas mal d'allé retour dans les parages simplement pour les déconcentrer. En fait, on y avait pratiquement été par étape. On s'étaient vus nus, observés... de quoi se donner chaud et pouvoir fantasmer au possible bien que de mon côté je m'étais jurée d'arrêter ce petit manège que mon cerveau mettait en place de lui même. « Déchaine toi... alors... fait toi... plaisir... » sourire aux lèvres, mes mots quittent ma bouche entre plusieurs baisers langoureux, mes lèvres repartant constamment à l'attaque des siennes. Ses doigts dégageant mon short et mon string dans la foulée, je me redresse pour l'aider à l'éloigner de nous avant de s'attaquer à mon débardeur. Hm, il a l'air aussi pressé que moi, j'aime l'idée de lui faire tellement d'effet qu'il en perd le contrôle. A bonne hauteur, je sens ma poitrine venir se frotter légèrement contre son visage, sa barbe ripant sadiquement, aguichant mes pointes le temps de quelques secondes, les faisant se dresser. Le souffle court, l'embrassant, me collant à lui, je sens sa poigne toujours bien appliquée contre mon cul qu'il maintient fermement, s'abattant dessus sèchement, je me crispe en me mordant la lèvre alors que je ne tarde pas à a me redresser doucement pour lui faire lever ses fesses. Son souffle se répercutant à mon oreille en compagnie de sa phrase. « T'as pas idée à quel point c'est réciproque... » retirant à mon tour son jean et son boxer avec dextérité, je dégage le tout au loin avant de me décider à jouer. Me laissant tomber à genoux devant lui, je lui lance un regard alors que je laisse ma langue venir longer sa verge, remontant à son gland avec une lenteur diabolique. Venant l'aspirer un instant, ma langue se met à jouer avec le bout, le titillant sévèrement. Je veux le rendre fou, par conséquent je ne vais au bout de rien. Ma main libre se posant à la base de son sexe, je reprend quelques vas et viens plus brutaux, l'autre s'emparant de ses bourses que je viens masser. Après seulement quelques secondes, je lui refuse le plaisir de sentir la totalité de sa queue s'enfoncer dans ma gorge, et je remonte lentement sur lui en embrassant son torse, son cou. A nouveau à califourchon sur lui, je viens cette fois me frotter directement à lui, mes lèvres vaginales venant presser sa trique qui n'a de cesse de montrer à quel point elle aime ce que je lui fais.

#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

L'ambiance est plus détendue, plus naturelle aussi il faut l'avouer. Je n'avais pas pour habitude de préparer des bons petits plats comme ça toute les cinq minutes. Pourtant il paraît que je suis un cordon bleu selon ma meilleure amie. J'adore faire la cuisine, ça me détend en fait, ça m'évite de penser et ça permet surtout de partager quelque chose avec les autres. J'ai beau avoir tous les défauts du monde, la qualité que je suis fière de dire que je possède c'est la générosité. J'pense que je tiens ça de ma mère, je l'avais perdue jeune mais bon, elle avait su m'inculquer certaines choses avant de partir. Rigolant doucement face à sa remarque d'italien faussement macho, je secoue la tête en lui faisant une petite grimace amusée. « Tu m'en diras tant ! Vous n'êtes pas bons dans tout hein tu sais, il ne faut pas trop rêver non plus ! » et hop, portant le verre à mes lèvres, je le scrute avec amusement. Ma phrase peut tout à fait se laisser interpréter à sa convenance, j'imagine que je tacle peut-être un peu sa virilité au passage. Après tout c'est de bonne guerre, je l'entend se taper toute ces nanas sans arrêt alors j'ai bien l'droit de l'emmerder un peu. Le sang chaud et souvent entre les jambes, c'est ce qu'on dit des italiens... autant dire que c'est une généralité que j'avais remarqué aussi bien avec Damon qu'avec Miro, j'avais le sentiment d'être envahie par les Corleone en ce moment. De toute évidence, Tony était... plus intéressant à avoir face à moi. J'ignorais son côté ripou et ça le regardait mais je reconnais qu'avoir un flic chez soit ça a un côté rassurant, seulement ça je ne l'avouerais jamais. Les problèmes je me les amènent toute seule avec tous les zozos que je rembarre durant les soirées afin de gérer au mieux la boite. Bref.  Ma main contre sa cuisse, je le fixe un instant. « Tu m'en diras tant, les choses se font d'elles mêmes sans que tu n'ai besoin de forcer c'est ça ? » ironique, je le vois se tourner vers moi et je perd ce petit sourire en coin qui illuminait mon visage depuis quelques secondes avant de soutenir son regard. Ça me rappelle à quel point il a un visage terriblement craquant quand il m'observe comme ça, et je ne parle même pas de son corps parce qu'à ce niveau, je risque de mouiller ma culotte. Qu'est-ce qui vient de lui traverser la tête au juste ? Bizarrement il suffit de quelques secondes à peine avant que je n'ai la réponse à cette fausse question que je venais de me poser. Ses doigts venant finalement longer la peau de ma cuisse, un frisson me parcoure alors qu'il poursuit sa route jusqu'à ma fesse qu'il empoigne fermement, son geste ayant pour effet de me redresser légèrement contre lui et au même moment, je sens ses lèvres venir se plaquer sur les miennes. Sauvage, fougueux, il m'entraine tellement dans sa passion que je ne réfléchis pas, venant répondre langoureusement, ma main partant ainsi dans sa nuque avant de remonter dans ses cheveux que j'agrippe. Ce baiser est aussi ardent qu'autoritaire je ne sais pas quoi en pense. Ni d'une ni de deux, je passe à califourchon sur lui, le plaquant ainsi au dossier du canapé après avoir posé mes mains sur son torse. Sans quitter ses lèvres, je commence à défaire la braguette de son jean, ma main pressant ainsi sa bosse au travers du tissu de son boxer. Les bouffées de chaleur montant en moi autant que cette vague de désir qui me fout presque des crampes dans le bas du ventre, soupire contre ses lèvres. Hm ça fait trop longtemps que je l'entends baiser toute ces filles et que je ne peux réagir qu'en faisant ma chieuse le matin.