(TONY) we need to.. talk.



 
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(TONY) we need to.. talk.
Madisson L. Villegas
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MessageSujet: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeLun 25 Juil - 17:09


A quoi bon être une jeune femme indépendante si mon paternel ne peut s'empêcher d'être sur mon dos d'une manière ou d'une autre. Quand j'avais découvert que lui et Tony se connaissaient, j'vous laisse imaginer ma réaction. Comme une envie de frapper, de mordre. Depuis le décès de ma mère, mon père était incapable de me laisser vivre ma vie. Il savait pourtant qu'il pouvait avoir une confiance totale en moi seulement... il gardait ce petit côté agaçant. La dernière fois que je lui avais présenté un garçon il avait été jusqu'à fouiller son casier judiciaire avant de le menacer de le renvoyer en taule s'il ne me quittait pas. Et là il m'envoyait quoi ? Un homme, qui plus est, plus âgé que moi. Il avait dû péter un plomb à un moment ou un autre mais je n'avais pas encore décelé quand tout avait merdé. Il faut dire ce qui est malgré tout, le beau brun est particulièrement mignon, cependant j'ai l'impression de ne rien pouvoir faire sans qu'il n'aille le répéter à l'unité parentale. Peut-être que je me fais des films après tout je ne le connais pas plus que ça, tout ce que je sais c'est que ce soir, l'un comme l'autre nous sommes de repos et que je compte bien préparer un petit repas histoire qu'on se pose de manière civilisée. Du moins qu'on essaye, bien que je savais que je ne pourrais m'empêcher de le titiller. Préparant ainsi des lasagnes maison ainsi qu'un apéro en mode 'on enterre un peu la hache de guerre' je finis par mettre le tout au four et hop, je pars me prendre une bonne douche pour me remettre de ma journée. Il ne devrait pas trop tarder maintenant et je finis par quitter le jet d'eau en m'enroulant dans ma serviette afin de partir en direction de mon immense chambre. Enfilant un short en jean et un débardeur blanc, je me passe une main dans les cheveux pour les dresser un peu avant de repartir dans le salon ou je me pose devant la télé avec mon pc. Il est vingt heure lorsque ça sonne à la porte et j'ai un petit air amusé, il a encore oublié ses clés. Me levant donc, je pars lui ouvrir sans oublier mon sourire moqueur. « Alzheimer commence tôt dis donc, tu devrais peut-être prendre rendez-vous.. » me décalant pour le laisser passer, je finis cependant par fermer derrière lui, entamant une conversation plus.. light. « La bouffe chauffe et on a un apéro tout prêt mais n'y prend pas goût c'est histoire de fêter ton arrivée, on ne l'a toujours pas fait ! » vous voyez que j'ai un talent certain pour accueillir les gens !
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMar 26 Juil - 13:09


Madi était une jeune femme torride. Rien que poser ses yeux sur elle, c'était la désirer, salement. Si au départ Tony avait été plus que ravit de rendre service au père de cette dernière en échange d'un appartement particulièrement spacieux et classe, il en était arrivé à regretter de plus en plus ce choix. Tout simplement parce qu'il avait apprit à apprécier Madi, même si ce n'était pas vraiment réciproque. Il la comprenait très bien, elle voulait son indépendance et vivre tranquillement sa vie sans devoir regarder par dessus son épaule pour voir si elle était surveillée. C'est pourquoi Tony avait rapidement arrêté de la surveiller, et quand le père demandait des nouvelles, il donnait de fausses informations, disant que tout allait très bien et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Qu'il garderait un œil sur elle. Tony sentait d'ailleurs que le père commençait à avoir des remords d'avoir choisit pour « chaperon » un homme aussi séduisant que le flic. Il ne serait pas étonné si un jour ce dernier décidais de lui demander de quitter les lieux. Ce qui serait dommage car il aimait cet appart. Et il adorait la petite peste que pouvait être Madi. Il l'avait déjà surprit entièrement nue par inadvertance et inversement. Tout comme il se souvenait avoir ressenti une certaine pointe de jalousie en entendant les cris de plaisir monter de sa chambre alors qu'elle était avec un amant. Il se serait bien vu à la place de ce dernier. Et, aimait-il à penser, il l'aurait fait crier bien plus fort.

Alzheimer? Tu seras ravie d'apprendre que je n'ai pas encore besoin de viagra. J'ai donc l'âge qu'il faut. Et beaucoup d'expérience.

Généralement, son regard était insondable. Mais à sa réplique, il la regarda autrement. Il posait sur elle un regard qui exprimait une possessivité dévorante. Il ne se contentait pas de la déshabiller des yeux, il prenait possession d'elle et lui promettait qu’aucun autre homme ne la satisferait jamais plus. Son regard lui disait qu’il la prendrait qu'elle le veuille ou non, que c’était inévitable, comme si c’était déjà une chose acquise. Entre arrogance et assurance, tout en sachant très bien qu'elle le détesterait encore plus pour ça. Il afficha ensuite un sourire avenant en voyant les efforts qu'elle avait fournit pour célébrer son arrivée dans les lieux.

Je dois m'avouer touché. J'aime beaucoup l'attention en tous les cas. Merci!


Dit-il avec sincérité, sachant que ce ne devait pas forcément avoir été de gaieté de cœur complète sachant les conditions qui avaient amenées Tony dans sa vie et son appartement.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMar 26 Juil - 13:50


Sa réponse, sa manière qu'il avait de me regarder, d'entrer dans les lieux tout en me faisant passer un message rien que d'un regard.. je pouvais dire qu'il avait une façon bien à lui de mettre dans l'ambiance. Quoiqu'il en soit, je me devais de me montrer un minimum calme si je voulais pouvoir apprendre à le connaître un peu. Si il avait eu l'occasion de m'entendre m'envoyer en l'air ça valait pour lui également et je n'avais pas apprécié d'entendre mon coloc au beau milieu de la nuit. En général, il savait que je n'avais pas apprécié au matin, de bonne heure de préférence. Vous savez, ces matins ou je décide de faire le ménage ou un boucan du diable afin de pénétrer dans sa chambre en simulant que je lançais une machine à laver. L'emmerdeuse parfaite, seulement avouez qu'il me le rendait bien. Le nombre de fois ou il avait réussi à faire partir en courant mes coups d'un soir juste parce que je voyais bien qu'il n'avait pas aimé ça non plus... j'me demande ou nous allions comme ça, mais nous y allions. Croisant les bras, j'arque un sourcil non sans un certain amusement avant de me laisser retomber sur l'accoudoir du canapé. « J'suis ravie de savoir que tu as l'expérience nécessaire mais ça ne t'empêche pas d'oublier tes clés régulièrement, sauf si tu le fais exprès pour me déloger de mon pc ! » il en serait tout à fait capable aussi, j'avais beau être une petite teigne, lui aussi avait son petit caractère. Fessier toujours posé contre le bord du canapé, je le scrute quelques secondes et je vois qu'il en fait tout autant. Il a un charme certain et je ne vous parle même pas du charisme qui émane de lui. Bordel. « Je t'en prie, après tout j'pense avoir été un minimum bien élevé alors je te dois bien ça.. » l'appartement était assez grand et j'dirais même qu'il était trop immense pour moi toute seule, ça m'faisait de la compagnie, c'est plus les conditions qui faisaient que je n'appréciais pas. Me redressant finalement, je m'approche lentement de lui, m'arrêtant à seulement quelques petits centimètres. « Tu nous sers à boire ? Je vais voir le four.. » me pinçant les lèvres sans cesser de le fixer, j'ai un léger sourire avant de le contourner soudainement pour rejoindre la cuisine ouverte sur le séjour, un gros ilot central séparant le tout avec goût.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeJeu 28 Juil - 10:25


Leur collocation s'était souvent passée avec quelques heurts. Quoi de plus normal quand on vivait avec quelqu'un d'assez différent de soit. Mais la plupart de leur disputes avaient toujours rapport avec le père de cette dernière et les circonstances qui l'avait fait devenir son colocataire. Il ne pouvait revenir en arrière et de toute façon, il ne voulait plus quitter les lieux. Il avait hésité à lui proposer de partir si elle pensait vraiment qu'il était le petit toutou de son paternel, mais il n'avait jamais osé le faire de peur qu'elle se saisisse de l'occasion pour se débarrasser de lui. Il pouvait trouver un appartement n'importe quand, mais une coloc comme Madi, c'était sûrement impossible. Alors il cherchait tout de même des appartements de repli, au cas ou. Il avait remarqué que l'une des annonces qu'il avait repéré était tombée par terre, quand il était rentré le soir. Il se demandait si c'était Madi qui était tombée dessus et l'avait fait tomber par inadvertance ou si c'était juste lui sans s'en rendre compte.

Oublier ses clefs, oui c'était un classique pour l'ennuyer un peu. Ou plutôt, pour lui faire décrocher de son ordinateur. Que voulez-vous, il aimait beaucoup la voir de près, face à lui. Quoique...de dos elle était sacrément bandante également. Mais Tony était ainsi, il aimait faire comprendre qu'il était là. De toute façon c'était de bonne guerre car tous les deux jouaient à jeu dangereux qui pouvait rapidement dérapé. Combien de fois avait-il eu envie de se glisser dans la chambre de Madi pour la prendre férocement? Lui montrer qu'une fois qu'elle y aurait goûté avec lui, il n'y avait plus moyen qu'elle se satisfasse de fausse jouissance, de baise décevante, d'amants médiocres. Souffrirait-elle de subir un mouvement régulier et dépassionné lui écartant les cuisses tel un métronome ennuyeux par un employé de bureau peu inspiré?

Ok, je m'en occupe!

Dit-il en utilisant l'apéro tout prêt qui ne demandait plus qu'un minimum d'effort. Son regard ne put s’empêcher de se faire insistant sur ce joli petit cul qu'elle arborait devant sa vue, notamment quand elle se pencha pour regarder son plat dans le four. Madi prenait soin de son corps et ça se voyait.

Alors, qu'est ce que tu nous a prévu de beau?

Il tentait d'être le plus agréable possible, oubliant son coté cynique mais son coté chambreur n'était jamais très loin. C'était dans sa nature. Mais il tachait de rendre hommage aux efforts qu'elle avait mis en place pour lui alors qu'elle n'y était clairement pas obligée.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeJeu 28 Juil - 10:50


Je sais être une parfaite connasse quand je m'y mets, mais je sais également être une personne tout à fait civilisée et adorable. Les différents traits de mon caractère faisait qu'on ne savait jamais réellement sur quel pieds danser avec moi. Passer d'une émotion à une autre sans prévenir, j'y parviens très bien et sans trop d'efforts la plupart du temps. Tony est un mec canon, j'regrettais réellement qu'il soit arrivé ici de cette manière. Parfois je me dis que dans d'autres circonstances, ça aurait pu se passer différemment. Lui dire de dégager, ça m'avait traversée l'esprit en effet, mais ce n'était pas mon genre. Après tout lui, ne s'était contenté que d'accepter de venir vivre ici, je pouvais bien lui laisser une chance afin de savoir si oui ou non il était de confiance. Son annonce, j'étais tombée dessus mais je ne m'en étais pas formalisée. Après tout si ma présence devenait désagréable, il pourrait se casser, je ne l'en empêcherais pas. Quoique... sa présence à lui saurait vite me manquer, je ne le cache pas bien que je reste sur mes gardes vis-à-vis du beau brun. A plusieurs reprises je m'étais réveillée dans la nuit avec la folle envie d'allé voir avec qui il était, mais je me contenais. Généralement je me demandais ce que ces nanas avaient de plus que moi. Elles étaient moches point. Un peu possessive avec mon coloc ? Sans doute, seulement je ne vois pas trop pourquoi il aurait envie de me remplacer par ses conquêtes. Le regardant donc partir s'occuper de l'apéro, un sourire narquois s'affiche sur mon visage. « Essaye de ne pas tout faire tomber d'accord ? » amusée, je finis donc par allé voir mon plat, plantant la pointe d'un couteau au centre afin d'avoir une idée d'ou en était la cuisson. Son regard sur mon cul ? Entre nous je n'ai pas encore d'yeux derrière la tête mais c'est l'instinct féminin de ressentir ce genre de chose et j'en joue quelques secondes en exagérant un brin la position avant de finalement me redresser pour revenir vers lui. L'écoutant, je me pince les lèvres. « Lasagane maison, c'était la recette de ma mère, elle avait le dont pour faire une cuisine de malade.. » il fait un effort alors moi aussi. Passant dans son dos, je le pousse doucement en direction du canapé sur lequel je l'assois et je nous serre nos verres avant de me mettre en tailleurs à côté de lui. « A la tienne et à... ton arrivée ici bien que j'ai plus souvent envie de te tuer que de te faire des bisous ! » air innocent sur le visage, on trinque avant que je ne porte le verre à mes lèvres, la brûlure de la téquila longeant mon œsophage avant de l'observer. Un fantasme sur pattes qui côtoyaient mon père, j'avais la poisse.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 9:20


Tandis qu'il servait l'apéro il afficha un sourire amusé en entendant la boutade sa belle coloc'. Il se mit alors à prendre la bouteille, la refermer et commença à la lancer en l'air, puis à lui faire emprunter différentes courbes, jonglant avec. Il avait été barman pendant quelques mois dans un club branché où l'un des anciens lui avait apprit comment rendre son job un peu plus amusant et impressionnant. Cela remontait à des années, quand il était encore assez jeune. Mais il était ravit de voir qu'il n'avait pas perdu la main.

T'en fait pas, je n'ai pas encore les mains qui tremblent.

Elles étaient même plutôt ferme et expertes, comme il mourrait d'envie de le montrer à Madi. Il s'imaginait un instant passer ses mains sur son corps de déesse, la caressant jusqu'à ce qu'elle en veuille encore plus et qu'elle le supplie de la prendre sur le champs. Il n'y avait rien de plus excitant qu'un gémissement féminin quand il était sincère. Et quand il l'entendait en pousser le soir où elle ramenait des amants, il avait vraiment du mal à dormir ensuite. Et souvent, il avait chassé ces derniers au matin pour pouvoir se calmer, s'attirant au passage un regard tantôt amusé, tantôt agacé par la belle blonde. Que pouvait-il y faire si il se montrait possessif avec elle? Et il n'agissait pas ainsi parce que le père de cette dernière désirait la protéger, mais juste parce que c'était lui qui voulait se la réserver rien que pour lui, en quelque sorte. Même si elle était absolument libre de s'envoyer en l'air avec des connards de passage. Il bu une gorgée d'alcool tout en admirant le cul bandant de Madi qu'elle mettait encore plus en avant. Il savait qu'elle l'avait grillé, mais ça ne l’empêchait pas de la mater comme un fou. Un jour il l'avait surprise en train de bronzer entièrement nu sur un transat, dans la piscine. Heureusement qu'il avait du aller travailler car il n'était pas sûr de vraiment pouvoir se retenir de se jeter sur elle quand elle ne portait aucun vêtements.

Lasagnes? Attention, en tant qu'italien je vais être particulièrement dur à convaincre.

Dur...oui, c'était souvent l'état dans lequel elle le plongeait. Il avait employé un ton qui se voulait être de défi amical, et non pas un ton blasé ou méprisant. Il ne put s’empêcher de frémir doucement au contact de sa main contre lui. Décidément, elle avait un pouvoir sur lui qu'il ne maîtrisait pas. Il se tourna vers elle et leva son verre à son tour. Il utilisa le ton de l'amusement, mais il y avait une provocation larvée dans sa réplique.

Ah la notre ! Et moi aussi j'ai plus souvent envie de te tuer que l'inverse. Mais si j'avais la formule magique, je ne serais vraiment pas contre d'avoir plein de bisous de ta part.


Lui avoua t-il dans un sourire, la fixant avec intensité puis il ferma les yeux et laissa le liquide alcoolisé lui brûler la gorge. Son timbre de voix serait un peu plus grave encore et plus suave. L'alcool lui faisait cet effet, l'orgasme aussi.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 12:47


Il se débrouille bien avec ses bouteilles, étrangement je n'ai jamais douté de la capacité que pouvaient avoir ses mains. Habiles et probablement expertes. Je ne sais pas trop sur quoi mon cerveau venait de dériver mais je n'étais pas bien certaine que ce soit en lien avec ce qu'il fait subir aux bouteilles. Le nombre de cris de plaisir qui quittent sa chambre ou peu importe ou il le fait dans cet appartement, m'avait fait comprendre qu'il devait être bien plus que doué. Est-ce que ça m'intrigue ? Évidemment, bien trop à mon goût d'ailleurs et j'voyais bien que ça amusait Victoria. Tout c'était emboîté de façon assez imprévisible, notre aménagement ensemble, l'arrivée de Tony... ça mettait de l'ambiance vous m'direz, on avait chacun nos caractères et puis bon.. trois colocs canons ensemble.. ça ne pouvait que bien s'passer. Ou presque. Des détails en moins aideraient. « J'vois ça ! Si je manque de barman je ferais appel à toi en fait, un talent caché ? » dans un léger sourire, nous terminons donc par trinquer avant que je ne boive une longue gorgée de mon verre et j'ai une moue. Mon dada à moi, c'est créer de nouveaux cocktails pour la boite, mélanger les saveurs, trouver des idées inédites afin de griller un peu les recettes de l'Avalon. Concurrence directe, concurrence avec Miro... avec les Corleone. Non ça ne me faisait pas peur, j'avais déjà tenue tête à Damon et nous étions parvenus à quelques compromis. « La recette de ma mère convainc toujours, mais tu me diras ce que l'italien en pense dans ce cas ! » me pinçant les lèvres, toujours en tailleur sur le canapé, je pose mon verre entre mes cuisses avant de pencher la tête en le scrutant calmement. Me penchant vers la table, j'attrape quelques gâteaux apéros. En fait, quand je ne suis pas en train de lui chercher tous les défauts du monde il est assez agréable. Pour parler j'entends, car physiquement, qu'il soit 'agréable' ça je l'avais remarqué dès le premier coup d'oeil. Je l'avais surpris sortir de sa douche nu comme un vers, probablement autant de fois qu'il m'avait surprise à bronzer à poil. Un dieu quoi, je ne pouvais pas le nier. C'est aussi pour ça que je n'aimais pas voir toute cette sexy-attitude m'échapper. Je n'étais pas une fille facile à coucher à droite à gauche mais quand un mec me tapait dans l'oeil, j'reconnais que je me montrais plus... ouverte. Dans un sourire très amusé, je finis par rigoler doucement, ma main venant cette fois tapoter sa cuisse. Encore un contact, un. « Je ne sais pas s'il existe une formule magique tu sais.. les bisous... ça se méritent en fait, ça ne peut pas tomber du ciel comme ça ! » le fixant tout en reprenant une gorgée de mon verre, ce petit air mutin sur le visage me donne un air encore plus angélique, bien que ma phrase soit une pure provocation. Paradoxe.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 13:16


Il refusa d'emblée la proposition de remplacer un de ses barman. Il n'avait pas aimé sa période à jouer les barman. C'était trop de stress pour rien. Et surtout, il fallait faire preuve d'empathie avec les clients et sourire bien trop souvent qu'il ne s'accordait à le faire. Il n'aimait pas les gens en général et plus loin il se trouvait d'eux, mieux ça lui allait. Enfin...sauf pour Madi. Elle, il la voulait toujours tout près de lui. Mais ce n'était jamais assez proche. Corps contre corps, peau contre peau, queue dans petite chatte. Oui, c'était comme ça qu'il la voulait. Cette soirée de bienvenue semblait vraiment parfaite pour ça. Home sweet home...qu'elle l'accueille à l'intérieur (d'elle) que demander de mieux. Il chassait tant bien que mal ces pensées salaces, mais elles ne cessaient de lui revenir en pleine face avec encore plus de virulence.

L'italien te donnera son avis impartial qui pense que seul un italien prépare des lasagnes comme il se doit.

Le ton du flic était badin, il n'était pas sérieux. Il rit doucement, de sa voix rauque, des plis rieurs à la commissure des lèvres. Il la regardait droit dans les yeux. Elle était loin du démon qu'elle était souvent avec lui. Il aimait les deux facettes. Elle ne manquait pas de caractère. Elle avait un tempérament de feu, comme l'indiquait également sa crinière sauvage. Les femmes de caractères étaient les meilleurs coups possible et il sentait qu'elle était au dessus du lot et de loin. Elle instaurait une distance courte mais presque insupportable entre eux deux, mettant son sang froid à rude épreuve. Il était athlétique, son corps était racé. Même sa manière de se tenir sur sa moto ou sa démarche était agressive, assurée. Il donnait l'impression de toujours être à l'aise dans ce qu'il faisait. Quoique ce puisse être. Mais face à Madi, il avait du mal à rester totalement maître de lui. Heureusement pour lui, ça ne devait pas trop se voir. De nouveau il y eut contact charnel et c'en fut trop pour lui. Tant pis, les lasagnes auraient le temps de refroidir un peu. Lui par contre, était en feu.

Je ne sais pas, il paraît que je suis un peu magicien.


Il se tourna vers elle. Il prit soin de la regarder dans les yeux et de soutenir son regard avant de laisser courir un doigt sur sa cuisse. Elle avait une peau parfaite. Soyeuse et brûlante. Puis il laissa une de ses mains venir glisser sur la cuisse féminine, et remonta, jusqu'à venir tâter ce joli petit cul rond qu'elle avait. Il sourit en constatant une fois de plus qu'elle avait des fesses bien fermes, qui emplissait bien sa large main virile dont il lui fit sentir la poigne. Il avait tellement envie de la prendre que sa queue lui faisait mal. Il vint l'embrasser de façon autoritaire. Un baiser bestial, animé, fou.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 14:44



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

L'ambiance est plus détendue, plus naturelle aussi il faut l'avouer. Je n'avais pas pour habitude de préparer des bons petits plats comme ça toute les cinq minutes. Pourtant il paraît que je suis un cordon bleu selon ma meilleure amie. J'adore faire la cuisine, ça me détend en fait, ça m'évite de penser et ça permet surtout de partager quelque chose avec les autres. J'ai beau avoir tous les défauts du monde, la qualité que je suis fière de dire que je possède c'est la générosité. J'pense que je tiens ça de ma mère, je l'avais perdue jeune mais bon, elle avait su m'inculquer certaines choses avant de partir. Rigolant doucement face à sa remarque d'italien faussement macho, je secoue la tête en lui faisant une petite grimace amusée. « Tu m'en diras tant ! Vous n'êtes pas bons dans tout hein tu sais, il ne faut pas trop rêver non plus ! » et hop, portant le verre à mes lèvres, je le scrute avec amusement. Ma phrase peut tout à fait se laisser interpréter à sa convenance, j'imagine que je tacle peut-être un peu sa virilité au passage. Après tout c'est de bonne guerre, je l'entend se taper toute ces nanas sans arrêt alors j'ai bien l'droit de l'emmerder un peu. Le sang chaud et souvent entre les jambes, c'est ce qu'on dit des italiens... autant dire que c'est une généralité que j'avais remarqué aussi bien avec Damon qu'avec Miro, j'avais le sentiment d'être envahie par les Corleone en ce moment. De toute évidence, Tony était... plus intéressant à avoir face à moi. J'ignorais son côté ripou et ça le regardait mais je reconnais qu'avoir un flic chez soit ça a un côté rassurant, seulement ça je ne l'avouerais jamais. Les problèmes je me les amènent toute seule avec tous les zozos que je rembarre durant les soirées afin de gérer au mieux la boite. Bref.  Ma main contre sa cuisse, je le fixe un instant. « Tu m'en diras tant, les choses se font d'elles mêmes sans que tu n'ai besoin de forcer c'est ça ? » ironique, je le vois se tourner vers moi et je perd ce petit sourire en coin qui illuminait mon visage depuis quelques secondes avant de soutenir son regard. Ça me rappelle à quel point il a un visage terriblement craquant quand il m'observe comme ça, et je ne parle même pas de son corps parce qu'à ce niveau, je risque de mouiller ma culotte. Qu'est-ce qui vient de lui traverser la tête au juste ? Bizarrement il suffit de quelques secondes à peine avant que je n'ai la réponse à cette fausse question que je venais de me poser. Ses doigts venant finalement longer la peau de ma cuisse, un frisson me parcoure alors qu'il poursuit sa route jusqu'à ma fesse qu'il empoigne fermement, son geste ayant pour effet de me redresser légèrement contre lui et au même moment, je sens ses lèvres venir se plaquer sur les miennes. Sauvage, fougueux, il m'entraine tellement dans sa passion que je ne réfléchis pas, venant répondre langoureusement, ma main partant ainsi dans sa nuque avant de remonter dans ses cheveux que j'agrippe. Ce baiser est aussi ardent qu'autoritaire je ne sais pas quoi en pense. Ni d'une ni de deux, je passe à califourchon sur lui, le plaquant ainsi au dossier du canapé après avoir posé mes mains sur son torse. Sans quitter ses lèvres, je commence à défaire la braguette de son jean, ma main pressant ainsi sa bosse au travers du tissu de son boxer. Les bouffées de chaleur montant en moi autant que cette vague de désir qui me fout presque des crampes dans le bas du ventre, soupire contre ses lèvres. Hm ça fait trop longtemps que je l'entends baiser toute ces filles et que je ne peux réagir qu'en faisant ma chieuse le matin.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 15:27


Il était un mec imprévisible. Il ne cherchait pas consciemment à l'être, c'était juste sa nature. A force de faire ce métier, il avait apprit plus de choses sur la nature humaine que n'importe quel fac de psychologie auraient pu lui enseigner. Et Madi, il aimait beaucoup la pousser à bout. Lui faire cogner contre les bords de ses limites à défaut de cogner son bassin contre le sien.

Tony avait bien noté la pique qu'elle avait lancée sur sa virilité, mais ce n'était pas quelque chose qui le vexait. Il n'avait jamais eut de reproches à ce sujet. Alors certes, ses amantes auraient pu mentir, mais c'était une raison de plus de vouloir que Madisson teste par elle-même la marchandise. Depuis qu'ils se connaissaient il y avait toujours eu cette tension sexuelle larvée, ce frisson qu'il ressentait sur la nuque quand elle le regardait avec un peu trop d'insistance. Ce qu'il détestait quand elle ramenait un homme dans son lit alors qu'il se trouvait dans le coin. Il se demandait parfois si elle n'ouvrait pas la porte en pleine nuit afin de lui faire profiter de ses ébats, par provocation. Quoiqu'ils n'étaient pas seuls et la troisième habitante des lieux semblait s'amuser de tout ça. Il pouvait voir le galbe de ses seins à travers le débardeur blanc. Et ses longues jambes n'étaient que peu couvertes avec son short en jean. Des vêtements faciles à enlever, encore plus à arracher. En travaillant pour la Mafia il savait quel genre de pression et de concurrence devait affronter Madi mais elle tenait bon et s'en sortait même très bien. Il l'admirait pour ça, mais il ne le lui avait jamais dit en face. Peut-être pour poursuivre leur sorte de guerre froide.

Oh ça dépend, des fois j'aime forcer...y mettre toute ma force brute...me déchaîner même...


Phrase des plus évocatrice, tandis qu'il la caressait avec envie. Tigresse il sourit en sentant sa main s'agripper à ses cheveux avec une envie communicative. Il avait confirmation qu'elle avait autant envie de lui qu'elle. Ce n'était pas une totale surprise, mais il devait avouer qu'il s'était souvent demandé si les rares fois où elle l'avait allumé n'avaient pas été que des tentatives pour se foutre de sa gueule. C'était fort possible. Mais pas maintenant. Pas quand il voyait le désir danser dans le regard de Madi. La véhémence de son désir était au delà de l’imaginable. Le souffle se bloqua dans son torse puissant quand elle vint s'installer à califourchon sur lui.

Il grogna de plus belle en sentant la main de sa belle venir caresser sa trique qui prenait doucement du volume entre ses doigts. Il passait ses bras autour de son cou, entourant sa taille de ses bras puissants dont les muscles roulaient sous la peau et il répondit avec autant de vigueur à son baiser. Sa langue cherchait la sienne tandis qu'il la sentait partie à la découverte de son corps.

De son coté, il lui déboutonna son short en jean et agrippa l'ourlet de ce dernier, avec celui de son string et fit rouler tout ce qu'elle portait en bas de son corps de rêve. Il se passa un coup de langue gourmande sur le bas de ses lèvres en voyant sa belle petite chatte. Il s'en mordit même la lèvre comme un enfant prit en faute. Madi était une beauté fatale. Le genre qui ne se voyait pas à chaque coin de rue. Le genre à provoquer des élancements de désir dans les bourses rien qu'en posant le regard sur elle. Sa main s’abattait comme un battoir sur ses fesses rondes, lisses et bombées. En un mot parfaites.

Depuis le temps que j'en ai envie...

Lui avoua t-il au creux de l'oreille, alors qu'il faisait voler également son débardeur, libérant sa poitrine généreuse. Jusqu'à présent, il avait dû subir l’envie sans la manifester. Les seins vinrent gifler son visage et sa joue barbue vint griffer doucement sa poitrine de rêve tandis qu'il lui retirait son haut. Il avait beau l'avoir déjà vue entièrement nue, il y avait une différence entre regarder et toucher, malaxer, masturber. Ce qu'il fit de ses deux grandes mains viriles et expertes. B...bouge p...pas comme ça hannn...avait-il envie de lui dire alors que sa trique demandait à ce qu'elle le branle avec son petit cul bien rond. Mais les mots lui restaient dans la bouche, ne dépassant pas ses lèvres. Elle pouvait sentir sa trique grossir sous elle.
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Madisson L. Villegas
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 29 Juil - 16:04



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Mes lèvres scellées aux siennes, je les savourent, ma langue partant à la recherche de la sienne pour une danse endiablée, fougueuse. Je ne suis pas le genre de fille à me contenir éternellement et en général lorsqu'on m'ouvre la porte je ne passe pas trois heures à réfléchir si c'est bien ou mal. Tout m'attirait chez lui, et ça, depuis le début. J'avais flirté avec le danger, je l'avais dragué, j'avais laissé sous-entendre les choses qu'il pourrait me faire. Une subtilité toujours aussi bien utilisée. Je ne sais pas trop si il s'en était rendu compte à l'époque ou s'il avait fait passer ça pour de la provocation. J'avais été refroidie en découvrant cette histoire avec mon père c'est vrai. J'me souviendrais toujours du premier soir ou je l'avais surpris en rentrant du boulot, en train de se faire pomper par cette brune. Je n'avais absolument pas apprécié et j'étais partit m'enfermer dans ma chambre. Comme la gamine que je suis j'avais fait pas mal d'allé retour dans les parages simplement pour les déconcentrer. En fait, on y avait pratiquement été par étape. On s'étaient vus nus, observés... de quoi se donner chaud et pouvoir fantasmer au possible bien que de mon côté je m'étais jurée d'arrêter ce petit manège que mon cerveau mettait en place de lui même. « Déchaine toi... alors... fait toi... plaisir... » sourire aux lèvres, mes mots quittent ma bouche entre plusieurs baisers langoureux, mes lèvres repartant constamment à l'attaque des siennes. Ses doigts dégageant mon short et mon string dans la foulée, je me redresse pour l'aider à l'éloigner de nous avant de s'attaquer à mon débardeur. Hm, il a l'air aussi pressé que moi, j'aime l'idée de lui faire tellement d'effet qu'il en perd le contrôle. A bonne hauteur, je sens ma poitrine venir se frotter légèrement contre son visage, sa barbe ripant sadiquement, aguichant mes pointes le temps de quelques secondes, les faisant se dresser. Le souffle court, l'embrassant, me collant à lui, je sens sa poigne toujours bien appliquée contre mon cul qu'il maintient fermement, s'abattant dessus sèchement, je me crispe en me mordant la lèvre alors que je ne tarde pas à a me redresser doucement pour lui faire lever ses fesses. Son souffle se répercutant à mon oreille en compagnie de sa phrase. « T'as pas idée à quel point c'est réciproque... » retirant à mon tour son jean et son boxer avec dextérité, je dégage le tout au loin avant de me décider à jouer. Me laissant tomber à genoux devant lui, je lui lance un regard alors que je laisse ma langue venir longer sa verge, remontant à son gland avec une lenteur diabolique. Venant l'aspirer un instant, ma langue se met à jouer avec le bout, le titillant sévèrement. Je veux le rendre fou, par conséquent je ne vais au bout de rien. Ma main libre se posant à la base de son sexe, je reprend quelques vas et viens plus brutaux, l'autre s'emparant de ses bourses que je viens masser. Après seulement quelques secondes, je lui refuse le plaisir de sentir la totalité de sa queue s'enfoncer dans ma gorge, et je remonte lentement sur lui en embrassant son torse, son cou. A nouveau à califourchon sur lui, je viens cette fois me frotter directement à lui, mes lèvres vaginales venant presser sa trique qui n'a de cesse de montrer à quel point elle aime ce que je lui fais.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeSam 30 Juil - 9:47


Elle l'encourageait à y aller aussi fort qu'il le voulait, comme il le voulait, et cela étira un sourire sur son visage. Il la serrait plus fort contre lui, désireux de sentir chaque centimètre de sa peau contre la sienne. Le contact du cul de Madi contre sa queue ne le laissait pas indifférent et ébranlait le corps puissant qui se trouvait face à elle. Cela causait une décharge électrique dans son système nerveux et provoquait une stimulation sensorielle à d’autres endroits stratégiques de son corps en éveil. Il eut la confirmation verbale de ce dont il s'était toujours douté, ou plutôt, de ce qu'il avait toujours espéré, à savoir que le désir était réciproque.

Elle savait ce qu'elle faisait, évidemment. Elle le rendait fou de plaisir et le frustrait. Quand elle s'était glissée entre ses cuisses, elle lui avait administré une langoureuse torture. Et il en redemandait. Elle l'avait laissé pantelant et grognant de plaisir sans jamais lui accorder la délivrance et tandis qu'elle remontait sur lui, pesant de sa chatte contre sa queue, il ne pouvait s'empêcher de rire. Un rire de plaisir. C'était plutôt le genre de rire de plaisir qu'il avait quand la baise était trop bonne. Un rire qui voulait : Oh my god it'll be so much. Finalement, le fait qu'ils aient mit aussi longtemps avant de céder l'un à l'autre, ne rendrait les choses que meilleures. La frustration faisait partie du plaisir et pouvait être extrêmement aphrodisiaque. Surtout quand venait le moment d'y mettre fin. On en savourait que plus encore ce qui se passait. Il se retrouvait nu à son tour et sa queue ne cessait de prendre du volume sous les assauts de sa belle blonde. Il laissait ses mains monter et descendre le long de ses cuisses, la regardant droit dans les yeux, avant de venir plonger son visage entre ses seins tandis qu'il lui menottait les mains derrière son dos. Il la retint par les poignets sans la quitter du regard. Il enfonçait ses longs doigts dans sa peau, mais la douleur était exquise, tandis que la pression de sa poigne se raffermissait. Puis il laissait ses lèvres la dévorer de haut en bas, insistant souvent sur ses lèvres et sur ses seins. Sous elle, elle pouvait sentir la queue épaisse  était plaquée contre la cuisse et dessinait un bandeau de chair appétissant le long de ses cuisses. Des bourses bien lourdes et bien pleines qui descendaient bas sur les cuisses musclées du flic. Le contact de sa poitrine contre son torse le fit frémir, un peu plus tandis qu'il la soulevait fermement par les fesses afin de la laisser s'empaler sur sa queue tendue. Ses grands bras puissants l’entourèrent tandis qu'il lui palpait vulgairement les hanches. Sa trique glissait entre les lèvres intimes de sa belle coloc et voilà qu'il serrait les dents tant le plaisir était intense.

Hannn p'tain...

Lors de leurs échange sauvage, elle rencontra son regard bleu, que le plaisir rendait plus profond. Son timbre de voix était profond tout comme l'était sa queue en elle. Ses couilles cognaient contre les cuisses féminines dans un bruit entêtant.  Son contact se répercutait contre elle. Elle pouvait sentir son odeur musquée, virile. Il émit un grondement sourd tout en refermant ses mains sur sa taille et s'empara de sa bouche, l'attirant à lui avec fermeté. Sa langue s'y infiltra immédiatement et il la sentit devenir encore plus moite ce qui le rendait encore plus dur.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeDim 31 Juil - 15:10



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Un plaisir contenu et retenu durant une période trop longue rend les choses toujours plus intenses. L'envie qui s'était insinuée en moi au cours de ces dernières semaines était quelque chose de sadique, suffisamment vicieux pour grandir lentement dans ma tête et se faire son petit bout de chemin. Il avait su utiliser la petite porte entrouverte que j'avais volontairement mis en avant avec mes caresses. Une part de moi raisonnait sur le fait qu'il valait mieux éviter, l'autre subissait les assauts de ses lèvres contre mon corps. Mes tétons bien durs sous le plaisir, je le sens venir agripper mes poignets dans mon dos, me les bloquant avec fermeté alors que je pousse un léger gémissement en venant me mordre la lèvre. Ses doigts s'enfoncent dans ma peau, me font presque mal mais c'est sans compter sur toute les autres sensations qui s'ajoutent au tableau. Une baise électrisante, moi je vous le dis et j'ai hâte de goûter à plus. J'avais bien sentit sa frustration que je remonte si vite, que je le prive de plus. C'était tout à fait voulu et c'est ainsi sans remord que je me frotte longuement le long de sa verge qui a prit une épaisseur plus que satisfaisante. L'atmosphère est aussi brûlante que mon corps et les frissons me parcourent. Ferme, limite autoritaire, ses mains sillonnent mes hanches, palpe mon cul, afin de s'y caler et c'est sans réfléchir plus qu'il termine par me soulever par celles-ci afin de m'empaler sur sa queue. Me crispant automatiquement contre lui, je pousse un violent soupire de plaisir tandis que mes bras passent autour de son cou. Ma fente l'accueille sans mal, je le sens se faire sa place, commencer à taper sèchement en moi et c'est presque incontrôlé que je commence à accompagner ses coups de reins. Son bassin claque puissamment contre le mien, je peux sentir ses couilles me frapper toujours plus alors que le plaisir grimpe en flèche. C'est tellement bon. Enfouissant mon visage dans son cou, je dépose de langoureux baiser contre sa peau, la frôlant, la mordillant, tandis que j'ondule bien sur son membre, descendant mes baisers contre son épaule, sa clavicule. Plaquée contre lui, au centre de ses bras musclés, ma poitrine se colle bien à son torse, les pointes fièrement dressées tandis qu'il termine par s'emparer de ma taille. Soufflant de plaisir contre son oreille, je me redresse finalement en croisant son beau regard. Les pupilles dilatées, son corps qui se crispe, qui ne fait que me réclamer davantage c'est tout ce qu'il y a de plus jouissif. « Humm bordel... Tony... » ma main glissant finalement dans sa nuque, je soutiens son regard avant qu'il ne prenne mes lèvres. Répondant à pleine bouche au baiser, ma langue se mêle à la sienne avec ardeur. La respiration saccadée, je presse davantage son bassin contre le canapé, m'amusant à prendre le contrôle de cet échange et ainsi le contraindre à me laisser gérer les choses quelques secondes, alors que je l'enfonce au plus profond de moi, m'amusant alors à prodiguer à sa queue de légers mouvements circulaires, sa trique ripant et frôlant bien mes parois. C'est terriblement bon et je souhaite de tout coeur que rien ne nous arrêtent sur notre lancée. C'était plus qu'une envie de lui, s'en était presque devenu vital et là, je pouvais aisément parler de soulagement que de le sentir me limer comme il le faisait, mes cris de plaisir s'intensifiant brutalement.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeLun 8 Aoû - 10:16



Il laissa libre cours à ses reins d'acier, de la fourrer avec autorité. Il l'allumait et la limait. Bâton de chair(dynamite) bien destiné à faire exploser de plaisir sa bandante blonde. Pourquoi on a pas fait ça avant, semblait dire le regard de l'italien tandis qu'il regardait Madi prendre le contrôle des opérations, lui arrachant des grognements extatiques de plaisir qui venaient mourir à son oreille. Le claquement de ses seins contre son torse l'excitait, tout comme devait le faire celui de ses couilles contre ses fesses. Maintenant qu'il y avait goutté, il ne comptait plus se passer de ce genre de baise à l'avenir. Et le fait qu'ils soient coloc rendrait bien plus aisé la possibilité de s'envoyer en l'air quand ils en auraient envie. Il plaçait ses mains sous le fessier ferme de sa belle blonde pour l'aider dans ses mouvements. Elle provoquait en lui des hoquets de plaisir et quand elle se mettait à onduler contre sa trique, il serrait les dents tandis que son corps se crispait. Il entourait ses seins d'un de ses bras, s'arrangeant pour que ses tétons soient stimulés par ce dernier tandis qu'il étaient secoués en tous sens sous ses coups de trique.

Il avait décidé de changer le théâtre des opérations (copulations). Direction la chambre à coucher, celle de la belle. Nus tous les deux. Il voulait un lit et de quoi pouvoir la prendre bien plus sèchement, sans plus attendre. Il la portait dans ses bras, puis la jeta sur le lit sans aucune douceur, un sourire carnassier au coin des lèvres. Puis il s'exécuta. Il la pilonna de sa trique dure comme le roc, énergiquement, encore et encore... Chacun de ses coups de boutoir était balancé pour la faire sangloter de plaisir quand il cognait au fond d'elle. Il voulait que chaque coup de bite vienne résonner en elle résonnait du bout de ses doigts à ses orteils. Quand il croisait son regard dans la glace, elle pouvait voir le regard autoritaire de son coloc', qui était traversé de spasmes de plaisir. Elle prenait bien du plaisir, mais lui aussi. Plus elle semblait pour lutter pour rester en équilibre, plus il poussait fort sur sa queue. Elle était tellement humide que parfois sa trique ressortait d'entre les cuisses féminines. Il la saisissait alors par les hanches, tandis que son chibre battait contre les fesses de sa bandante blonde, alors qu'il cherchait à se repositionner. Il ne tâtonnait pas longtemps, se ruant en elle de nouveau d'un seul élan et l'emplissant mieux encore qu'il ne l'avait fait auparavant. Exactement au même rythme, il caressait son clitoris et sa poitrine tout en la ruant de coup de rein téméraire. Puis, il vint l'embrasser,  absorbant tous ses gémissements. Il se gorgeait de son souffle saccadé, ses soupirs. Le contact de leurs peaux humides, sa queue qui allait et venait dans la chaleur humide de sa chatte. Il se retirait complètement puis s’enfonçait à nouveau en elle, très fort. Elle gémissant dans sa bouche, et lui l'embrassait sauvagement. Les draps glissaient du lit, roulaient en boule dans le dos de sa belle,  et il s’y agrippait, la pénétrant toujours plus fort. La tête de lit heurtait le mur et provoquait un bruit de claquement des plus excitants.

Hann...p'tain t'es trop bonne...
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeLun 8 Aoû - 15:12



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Je ne peux reconnaître qu'une chose c'est que sa manière de me baiser est juste excessivement bonne. J'ai à peine le temps de comprendre ce qui m'arrive qu'il décide soudainement de changer de coin et me redressant dans ses bras, j'm'accroche à son cou avant qu'il ne nous mènent dans ma chambre. Jetée sur le lit, je rebondis sur le matelas tandis qu'il ne tarde pas à revenir à l'assaut de ma fente totalement trempée par sa trique qui n'a de cesse de me pilonner avec ardeur. Mes jambes resserrées autour de ses hanches, mes mains s'accaparent ses fesses afin de l'inciter à s'enfoncer toujours plus profondément et je me mord la lèvre. Le plaisir est haut, et plus il accélère, moins je parviens à contrôler mes gémissements qui raisonnent plus durement dans la pièce. Tapant avec toujours plus de fougue au plus profond de moi, je sens mon dos glisser sur les draps, le lit se balançant au rythme de ses coups de queue, son bassin cognant le mien alors que je ne tarde finalement pas à reprendre mon propre rythme afin de l'accompagner pour sentir son épaisseur se frotter davantage à mes parois. Mon corps le réclame, je le réclame et tandis que mes lèvres partent à l'assaut de son cou, je croise son regard dans un long soupire d'envie. Il a cet air autoritaire qui lui donne ce côté si sauvage et sexy à la fois. Il prend son pied, je le vois aux traits de son visage, à ses muscles qui se crispent, ses râles de plaisir qui quittent parfois sa bouche. Il me lime juste comme personne ne l'a fait jusque là et je me tortille contre lui, la pointe de mes seins frôlant et pressant contre la peau de son torse. Il glisse en moi avec une facilité déconcertante, sort et ressort à plusieurs reprises. Sa main glisse caresser mon clitoris, mes seins, et je suis prise de frissons incontrôlés, ma main venant se poser contre son poignet comme pour tenter de l'arrêter mais je n'en suis pas vraiment capable tandis que je me cambre contre lui. Fermant les yeux, je geins de plus en plus intensément alors que mon bassin part à la rencontre de son sexe toujours plus frénétiquement. Cette décharge électrique commence à s'emparer de mon bas ventre et c'est sans mal que je sens qu'il commence à me mener à ce point de non retour que j'attends avec impatience. Il me dit que je suis bonne, soufflant, et je ne peux m'empêcher de sourire doucement, le visage déformé par un plaisir qui atteint désormais des sommets. « Ohhh... je viens.. continue... » mes lèvres se plaquant à nouveau aux siennes, je me colle bien contre lui, mes doigts partant s'agripper à ses cheveux. Mes soupires s'étouffant finalement dans sa bouche je savoure totalement, et je ne tarde pas à être ravagée par un orgasme que je n'ai tout simplement pas vu venir. Trop excitée, trop sur mon nuage, trop d'attente probablement aussi et rompant le baiser, je laisse mes mains venir attraper mon oreiller que je serre, gigotant sous lui pour tenter d'échapper à sa queue que mon vagin vient désormais encercler brutalement. « Hummm... fuckkk... ouiiii ohhh !!! » le souffle court, je laisse ma respiration se heurter à son cou dans lequel mon visage s'engouffre.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMer 10 Aoû - 10:02


Madi venait de jouir une première fois et il ne pouvait s’empêcher d'adorer l'expression de son visage quand ça arriva. Le représentant de l'ordre comptait bien devenir dealer, mais d'orgasmes. Il l'embrassait langoureusement, toujours autant affamé d'elle.

T'es belle quand tu jouis...

Murmura t-il à son oreille avant de montrer de nouveau toute sa fougue, redevenant l'animal sexuel qu'il était. Son corps de rêve le rendait fiévreux. Parfois il s’arrangeait pour la serrer au plus près de lui, sentant sa bouche ouverte contre son cou, les épaules tremblantes, tandis qu'elle s'abandonnait. Ils étaient collés l'un à l'autre au plus près, pas même un atome n'aurait pu se glisser entre eux. Si bien qu'elle pouvait apprécier la tension du corps puissant du mâle, la crispation de ses muscles, la pulsation de ses couilles tandis qu'elles venaient tambouriner/percuter les cuisses féminines. Leurs corps se confondaient, leurs transpirations se mêlaient. A un moment, il se redressa sur les coudes, lui caressa le front et les cheveux.  Un geste étonnamment tendre pour un salopard comme lui. Il resserrait son étreinte autour d'elle, se faisant possessif. Comme s'il lui disait par ses gestes : Tu m'appartiens pour les heures à venir désormais, je veux tout de toi. Le torse couvert de sueur, les dents serrées, il la besognait avec ferveur. Ses abdominaux se dessinaient à chaque respiration, à chaque coup de queue, ses biceps roulaient sous sa peau. Et ses seins, il ne les avait pas oublier. C'était impossible tant ils lui plaisaient. Il admirait sa poitrine, libre et épanouie. Il encadrait ses seins de ses mains puissantes, les rapprochait d'un mouvement tournant, laissant les tétons à découvert. De ses pouces, il effleurait les pointes dressées et les faisait durcir. Puis il les saisit entre pouce et index pour les pincer avec détermination. Il sourit en la sentant se presser plus fort contre sa main au lieu de la fuir et quand il sentit sa chatte se liquéfier sur sa trique. Il se penchait pour aspirer l'un après l'autre les bouts raidis, en tirant fort continuait de lui sucer les seins, les léchant, mordillant le mamelon, puis l'étirant durement tout en limant avec acharnement.

Fuckkkkk...hannnn

Laissait-il échapper, la respiration toujours un peu saccadée et le ton résolument salace. Il éjaculait avec force entre les cuisses de sa bandante coloc. De nombreux jets vinrent tapir les parois de son vagin tandis qu'il lui adressait un regard fou et fiévreux qui voulait dire qu'il était loin d'en avoir fini avec elle. Il venait de flirter avec l’extase du KO, celle dont on revenait toujours, après avoir côtoyé la petite mort.  Quelques gouttes coulaient encore du bout de son gland.  La chambre était saturée d'odeur de sexe, de foutre, de cyprine et de sel.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMar 16 Aoû - 23:07



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Crispée contre lui, gémissante, je sens la chaleur de mon vagin se répandre dans tout mon corps alors que prolongeant son baiser avec ardeur, je ne tarde pas à croiser son regard quand il me dit que je suis belle quand je jouis. Dans un petit sourire qui se mêle à un long soupire d'envie, mes doigts enfoncés dans son dos, je le scrute sagement. « Ah parce qu'en temps normal je ne le suis pas ? » il peut voir cette lueur malicieuse dans mon regard alors que je lui répond, mordillant ma lèvre inférieure. Malgré la situation, j'arrive encore à me montrer chiante, c'est ce qui fait mon charme et mon côté unique certainement. Il continue cependant de me limer avec force, comme possédé par une fièvre inconnue, et je le sens passer, sa queue bien épaisse me remplissant avec gourmandise. J'adore ça et après cet orgasme qui m'inonde littéralement, je reprend ses lèvres quelques secondes, ne parvenant pas à rester concentrée dessus pour mieux couiner sous ses coups de boutoir qui me ravage. Finalement, il se redresse pour avoir probablement plus de prise et je sens ses doigts glisser contre ma joue et mon front. Surprise par son geste, je me pince les lèvres dans un frisson tandis que mon corps se cambre. Baissant les yeux, c'est sans mal que je vois sa trique entrer et ressortir de mon vagin particulièrement sensible du plaisir qu'il vient de me procurer, et je viens m'agripper aux draps du lit que je serre entre mes doigts. Il se fait plus insistant, plus percutant. Sa main toujours contre mon intimité, je cabre davantage mon dos pendant que ses lèvres viennent à nouveau trouver mes tétons. Léchant, mordillant, tirant, j'ai beau avoir atteint le septième ciel, le plaisir ne descend pas et pour cause. Avec un mec comme lui c'était juste impossible. Il se presse contre moi, m'intime presque de ne plus bouger afin que je subisse ses assauts sans échapper au moindre mouvement quand soudainement, je le sens perdre pied à son tour. Muscles raidis, son visage se crispe à son tour pendant que mon index vient longer sa mâchoire. Lui aussi il est beau quand il s'abandonne comme ça à son plaisir. Sa semence jaillit finalement en moi, enfoncé jusqu'à la garde alors que je sens ses bourses plaquées à mon cul. La respiration saccadée, mon cœur bat à un rythme terrible tandis que je plonge mon regard dans le sien dans de derniers gémissements. C'est tellement bon. Je ne sais pas à quelle heure Vic compte rentrer et je stresse un peu à l'idée qu'elle puisse nous surprendre. Seulement voilà, le beau brun ne met que quelques secondes à me sortir de mes pensées, ses râles de plaisir me faisant doucement sourire. Pourquoi avoir attendu si longtemps bordel. Il ne fait aucun doute quant au fait que son corps est un plat dont je ne pourrais plus me passer. Aussi étrange que cela puisse être.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMer 17 Aoû - 9:22


Le corps de Madi le rendait mad. Fou. Ivre de désir et d'envie. Et dire qu'il l'avait sous la main depuis si longtemps et qu'il n'en avait jamais profité. Il faut dire que leur relation était complexe. Compliquée en tous cas au début. Mais ils avaient apprit à s'apprécier allant parfois jusqu'à éprouver de la jalousie envers l'autre quand ils se voyaient en la compagnie d'un(e) autre. Il ne put s’empêcher de sourire en entendant la boutade de sa torride coloc' au sujet de sa beauté. Oui, elle était belle en toute occasion, mais plus encore quand elle se laissait abandonner comme maintenant, abaissant toute résistance, toute pudeur et toute barrière, s'offrant à lui entièrement. Il ne répondit pas à sa question qu'il savait purement rhétorique et vint sceller ses lèvres des siennes, ne les quittant plus pendant un moment tandis qu'il la baisait durement, avalant ses gémissements qu'elle poussait au fond de sa bouche. Il pourrait la baiser des heures si elle le laissait faire, c'était certain. Avec elle il se permettait d'être parfois plus surprenant, plus tendre. Mais bien vite son coté animal refaisait surface et il la limait avec toujours plus de fougue et de détermination, étouffant parfois ses grognements rauques de plaisir en venant lui avaler les seins. Il frissonna de plaisir au contact de son doigt contre sa mâchoire, et il vint en mordiller la phalange inquisitrice, le lui mordillant doucement. Puis ce fut l'orgasme. Intense et violent qui le transit de la tête aux pieds, ses bourses bien pleines qui palpitaient contre les fesses parfaites de sa belle blonde, expulsant son foutre à grande rasade, lui prouvant si besoin était, à quel point il avait prit son pied. Il restait en elle sans bouger, la contemplant avec un grand sourire aux lèvres. Comme pour fixer cet instant dans sa mémoire. La première fois. Leur première fois ensemble. Et sûrement pas la dernière. Il se sentait bien, là, emboîté en elle, ne voulant plus trop bouger. Mais sa queue était encore bien vaillante et prête à l'emploi et il se sentait d'humeur à rendre sa coloc' incapable de marcher quand il en aurait fini avec elle. Il la retourna de sorte qu'ils se retrouvent tout deux sur le flanc, elle se trouvant dos à lui, tandis qu'il lui caressait le corps. Il lui malaxait fermement les fesses puis redessinna un instant l'ourlet de son étoile plissée. Elle était encore toute tremblante et lui reprenait son souffle, mais le désir était toujours là. Encore plus intense même. Comme s'il désirait rattraper le temps perdu. Le corps de Madi le fascinait, le provoquait, l’enflammait et il devait reconnaître que dans cette position il pouvait parfaitement sentir les fesses de la belle contre lui et ça lui donnait des envies de sodomie.

J'ai envie de t'enculer, babe...

Lui murmura t-il, ne sachant pas si elle était adepte de cette pratique ou non. Après tout, elle pouvait refuser et il ne lui en voudrait pas. Mais il voulait explorer chacun de ses orifices, jouir en elle pleinement de sorte qu'elle lui appartienne complètement pour les heures qui suivraient. Il vint lui mordiller l'ourlet du lobe et du contour de son oreille, tandis qu'il laissait son majeur venir provoquer, sans pénétrer l'anus de sa belle amante.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMer 17 Aoû - 20:09



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

La chaleur qui se propage dans mon corps n'est qu'une infime partie du pieds qu'il m'a fait prendre. Collée contre lui, mes mains parcourent son corps, sa joue et redessinent ses muscles dans de lentes caresses. Frissonnante, je le laisse savourer son extase, ondulant encore de longues secondes contre lui et sa queue tandis que je sens ses couilles plaquées à mon fessier. Son corps légèrement luisant sous l'effort intense que nous venons de mettre durant cet ébat, je souris doucement tout en venant lui voler un langoureux baiser. Ancrée en moi jusqu'à la garde, il continue de me remplir de son épaisseur, ne semblant pas défaillir tandis que mes doigts finissent par remonter dans sa nuque dans un soupire de bien être. Le souffle court, je tente de me ressaisir, croisant son regard qui semblait m'admirer, et je me pince les lèvres. Il est beau. Le côté 'après sexe' lui va bien, il a les cheveux en bataille à force que je ne les lui agrippent et je ne peux pas dire que son corps ne soit pas un appel constant au viol. Ses lèvres, son regard, hm. Finalement, et tandis que je le contemple en retour, il prend le contrôle et nous fait tourner. Bien vite, je me retrouve ainsi dos à lui et je sens ses mains venir palper mon derrière avec envie, longeant mon intimité encore ultra sensible après ce moment de folie. Mon dos épousant parfaitement la forme de son torse, je me cabre doucement, laissant mon cul bombé venir se frotter à son membre que je sens durcir à nouveau. Je le cherche oui, je le provoque et je sens qu'il aime ça. Si bien qu'il finit par venir me chuchoter une phrase qui ne m'étonne pas. La plupart des mecs font une fixette avec ça, alors j'ai appris à aimer. Mordant ma lèvre, je sens les siennes venir glisser contre mon lobe, remontant le long de mon oreille et par ce simple contact il parvient à me déclencher un faible gémissement. Ma poitrine bien tendue par l'excitation, je sens cette chaleur envahir à nouveau mon bas ventre comme si le simple fait de l'entendre éveillait cette envie de lui que je gardais enfouit en moi. « Si tu veux m'enculer, fait toi plaisir ! » je réutilise ses termes. Je ne le précise pas mais c'est un acte de confiance que je lui offre là, et s'il me fait mal il peut se considérer comme étant déjà castré. Je pourrais lui refuser l'entrée de mon petit trou le plus étroit, le truc c'est qu'il arrive à attiser le feu en moi et son majeur qui vient presser faiblement contre mon anus me fait me raidir contre lui. Redressant une jambe de moi même, je viens déposer mon pied contre sa cuisse et tandis que je penche la tête en arrière contre son épaule, j'attrape la main du beau brun que je fais glisser jusqu'à mon vagin, l'incitant à laisser ses doigts courir contre mes grandes lèvres, titillant mon bouton de plaisir durant quelques secondes, pendant que de mon côté, mes fesses prolongent leur petit jeu contre sa trique qui se frotte à la raie de mes fesses. J'en rajoute, pressant et collant toujours plus l'objet de sa convoitise à cette queue bandée qui ne demande qu'à me pénétrer.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeJeu 18 Aoû - 17:40


Tony profita un moment du moment de quiétude d'après sexe, adorant sentir son corps contre le sien.Il la tourna sur le flanc, et admira un instant sa chute de rein vertigineuse. Comment elle faisait pour avoir un corps pareil ? C'était comme si l'anatomie féminine semblait différente avec elle. A savoir qu'elle redefinissait le terme de bombe anatomique. Jouant avec l'entrée de l'anus de sa belle blonde, il sentit une chaleur intense lui saisir le corps en entendant sa dernière phrase, faisant tressaillir sa bite, poussant ses couilles à se contracter de plaisir anticipé. D'ailleurs elle en bougeait et remuait plus encore ses belles fesses contre sa trique bandée. Il suivait les caresses qu'elle voulait qu'il lui prodigue, masturbant sa belle petite chatte qui se contractait encore légèrement autour de ses doigts. Il respirait son odeur, plongeait son visage dans sa crinière blonde. Elle l’envoûtait. Il enfonça lentement son majeur entre ses fesses, désirant attiser son désir et la préparer au mieux. Il ne voulait pas lui faire mal, bien au contraire. Il regardait le corps parfait de sa coloc qui s'arquait dans une arabesque érotique tandis qu'il lui doigtait son petit cul et son clitoris de concert de ses mains expertes. Quand il voulu glisser un second doigt, il sentit de sa part une brusque contraction interdisant toute approche. C'était par réflexe et il imposait sa poigne ferme pour la maintenir en place. Une fois qu'il la sentit se décontractée, il se mit à faire de lents va et viens jusqu'à la sentir totalement en confiance. Planté derrière elle, elle pouvait sentir sa queue glisser dans la raie de ses fesses, à la recherche de l’orifice convoité. Il la doigtait tout du long, sentant que sa chatte était encore très réceptive. Son gland se trouvait à  l’entrée de sa chatte humide quand, brusquement, d’un coup de reins maîtrisé, il perça l'étoile plissée si étroite, en douceur. Des ondes de plaisir intense irradiaient ses couilles. Il pouvait constater qu'il n'était pas le seul à apprécier, car il pouvait sentir son clitoris qui frémissait et se dilatait à chacune de ses poussées. Il titillait son clitoris de plus en plus vite désireux de la pousser au bord de la rupture. Il se faisait de plus en plus pesant tandis qu'elle cambrait les reins très fort, quand soudain, sous la pression, le muscle anal se relâcha et avala son gland avec un mélange gourmandise et de crainte. Il la tenait fort dans ses bras, quand elle poussa un cri, ressentant comme une brûlure qui la fit se mettre à sangloter. Il lui tint alors le menton et la força à le regarder, l'embrassant tendrement, tandis qu'il pénétrait impitoyablement sa rondelle. Nul doute qu'il allait imposer un rythme bien plus virulent sous peu, mais il voulait commencer en douceur.

T'es tellement serrée...ohh c'est divin...
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeJeu 18 Aoû - 22:15



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Depuis qu'il a déboulé ici, notre petite vie tranquille a été légèrement modifié. Maintenant se promener à poil est prohibé sous peine de voir le mâle se tendre de... crispation évidemment. Comment ça je mens ? Bien sûr. Qui pourrait empêcher Vicky ou moi de nous balader en petite tenue sous ses yeux ? Absolument rien, pas même ce qui devrait se résumer à de la pudeur ou que sais-je. Trémousser mon petit cul devant lui chaque jour a été un passe temps favoris. Le sentir grogner intérieurement sous la scène, un second et enfin... le moment de consécration. Je ne dirais pas avoir prémédité l'acte mais je ne le regrette absolument pas. Je n'arrive pas à vouloir m'arrêter là, c'est ce qui me pousse à lui laisser le droit de passer par derrière. Chaque contact qu'il m'inflige est un supplice. Mon corps le réclame, attendant chaque seconde la nouvelle caresse qui va me faire tressaillir. Je le sens répondre directement à ma demande et se mettre à me caresser plus vigoureusement. Mordillant ma lèvre, je suis complètement plaquée à lui et je peux sans mal sentir son visage dans mes cheveux, son souffle contre ma nuque. Les frissons me parcourent et je continue d'en rajouter, pressant toujours plus mon cul contre sa queue chaude comme la braise. Puis soudainement, je me stoppe, son majeur se glisse à nouveau contre mon anus avant de s'y enfoncer et je me crispe dans un léger gémissement. Mon cœur s'emballe, cette sensation de gêne se fait présente et diffuse tandis qu'il commence à aller et venir dans mon trou le plus étroit. La chaleur monte en flèche et j'ai du mal à tenir en place. Sa seconde main en mouvement constant contre mon vagin et ma zone érogène me fait mouiller toujours plus tandis que par réflexe, mon corps tente de lui échapper lorsqu'il essayer d'inserrer un nouveau doigt. Sa prise sur mon corps est flagrante, si bien que je ne bouge que de quelques millimètres. Il me garde contre lui, fermement, et je peux facilement dire que je suis totalement à sa merci, me tortillant sous ses doigts dans de légers gémissements. Le souffle court, je suis totalement ailleurs, je n'arrive plus à penser alors que je m’agrippe à son bras qui est désormais ma seule prise possible. Mes doigts s'enfonçant dans sa peau, je sens son gland partir à la conquête de mon anus quand il finit par s'y glisser d'un coup précis, remplaçant ses doigts. Un couinement plus virulent raisonnant dans la chambre, mon corps se cabre davantage, lui offrant une vision plongeante de ma chute de rein. Il avance, doucement mais sûrement et chaque poussée enfonce son épaisseur plus loin en moi. Je me tortille et ferme les yeux alors que ses doigts contre mon clitoris se font plus vifs. Mon cerveau s'embrouille, ce n'est qu'une question de temps pour que je ne perde le contrôle et quand je sens mon cul se détendre afin de l'aspirer encore plus profondément, je sens ce sanglot monter dans ma gorge, un gémissement plaintif s'y confondant tandis que la main du beau brun attrape mon menton pour me tourner la tête vers lui. Le souffle court, je croise son regard, les yeux légèrement brillants, et je finis par répondre à son baiser pendant qu'il entame des vas et viens tout en douceur mais qui étire sans difficulté à chaque coup de rein mon cul autour de sa verge. Mon anus me brûle de l'intérieur, cette douleur se mêle à ce plaisir particulièrement fort qui me force à gigoter contre lui. Mon bassin veut lui échapper, il veut s'éloigner de sa tige qui se forge sa place à l'intérieur de moi. Le front contre le sien, je ferme les yeux quelques secondes. « Et toi t'es tellement épais... si je doutais que tu sois... bien monté... j'en ai la confirmation... » un brin provocatrice malgré la situation, j'essaye de contrôler mon corps mais je suis en totale perdition alors que je le sens riper intensément, allant et venant et se faisant engloutir de plus en plus facilement par mon trou.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeVen 19 Aoû - 10:38


Il repensait à toute ces provocations de la part de sa coloc. Le nombre de fois où il lui aurait sauté dessus s'il était écouté. Et maintenant il songeait avec un plaisir anticipé à toutes les fois où il la sauterait bel et bien. Oh une colocation qui serait encore plus parfaite qu'elle ne l'était déjà. Quoique, il se doutait que Victoria ne soit pas vraiment du même avis si elle tombait sur lui en train de prendre leur chère Madi, mais il n'allait sûrement pas s’empêcher de le faire pour ses beaux yeux. C'était bien trop bon et bien trop parfait pour s'abstenir de recommencer, encore et encore.

Je suis sûr que tu aimes ça, te sentir complètement emplie par elle. Par moi.


Répondit-il avec la même provocation, venant l'embrasser tendrement pour la remercier de lui faire ainsi confiance. Il regardait son gland disparaître entre les fesses parfaites, puis, quand le derrière de Madi s’habitua à la présence de sa queue, il continuait tout doucement à s’enfoncer dans cet antre étroite. Elle était tellement serrée qu'il devait pousser fort pour la pénétrer. Ce faisant, la pression délicieuse sur sa queue rendait la jouissance possible à tout moment. Heureusement qu'elle venait de lui vider – pour un temps – les couilles, autrement il n'aurait pas mit longtemps à gicler dans son petit cul tant c'était divin. Les va-et-vient commencèrent très doucement au début. Ses mains pouvaient constater au durcissement de ses tétons qu'elle y prenait de plus en plus de plaisir. Ses bourses recevaient le jus de sa cyprine en quantité croissante au fur et à mesure qu'il s'enfonçait profondément en elle. Il grognait de plaisir tout du long. Un râle rauque, animal. Il lui masturbait la chatte tout en la sodomisant, mais sans excès, désireux qu'elle en vienne presque à en demander plus.

Elle pouvait sentir son bout lisse, à la fois dur et satiné au contact de sa peau. Le centre de l'étoile plissée, à la façon d’un aimant, semblait attirée par la pression qui s’y exerçait. Ils se branchaient. Sa clé dans sa porte, sa prise mâle en sa (prise) femelle. Rein contre fesses, il la fourrait, elle inspirait, il poussait, elle relâchait, il palpitait elle s'ouvrait, il poussait encore et encore. Puis il l’enfourna sur toute sa longueur et son épaisseur, ses yeux rivés aux siens.

Oh fuckkkk....hannnn

Il était attentif aux réactions de sa belle, désireux qu'elle prenne goût à cette sodomie. Cette première entre eux serait douce. Il garderait l'animalité pour plus tard. Quoiqu'il avait bien du mal à ne pas avoir envie de lui limer plus vigoureusement la rondelle. Sur un coup de reins plus violent de sa part, il finit par littéralement l'empaler. Sa bite allait et venait en elle avec une facilité déconcertante. Plus il la pilonnait, plus sa queue augmentait de volume, du moins en avait-il l'impression.

Il aimait sentir la chaleur de son corps plaqué contre le sien. Leurs corps et leur esprits se connectaient. Souvent, il couvrait son visage de sa main grande et forte pour lui planter un baiser fougueux, animal. Dans les feu de l'action, il oubliait la douceur qu'il s'était promit de lui donner dans ses coups de queue. Il retira sa trique à plusieurs reprises, frottant sa belle bite tendue contre ses fesses bien fermes avant la plonger de nouveau au fond de son derrière, la tringlant de façon toujours plus intense, soupirant à son oreille de façon animale. Il voulait se shooter à elle. Elle était excitante rien qu'à regarder. Mais c'était encore meilleur de la sodomiser tout du long.

Chacun de ses coups de queue en demandait plus et l’obtenait. C’était le début de la quête du toujours plus, un état du désir charnel qui s’embrasait sans fin. Les ondes de plaisir déferlaient d’abord lentement, puis plus vite, sans répit. Pic après pic, nombreux estimeraient qu’il n’y avait pas mieux, que c’était même transcendant. Mais ils étaient gourmands, elle et lui, et savaient où aller chercher encore davantage. Il plaquait son front contre le sien, ne la quittant pas du regard alors qu'il grognait de plus en plus fort de plaisir, passant son bras autour de ses seins pour les sentir ballotter contre sa chair avec plaisir.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeSam 20 Aoû - 1:01



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

La perfection asbolue, il y avait un moment que je n'avais pris mon pieds comme ça. Il était tout ce qu'une nana pouvait aimer. Aussi bestial que fougueuse, aussi tendre que langoureux. Des mélanges exquis qui me poussent à gémir toujours plus. Il s'enfonce dans des allées et venues lascives, se faisant engouffrer à chaque fois plus profondément. Je le sens passer, clairement, mais j'adore ça et sa réponse à ma provocation me fait sourire, mordillant ma lèvre. « Humm.. t'as pas idée à quel point.. j'aime ça... » le souffle court, je répond à son baiser un long moment avant que mon front ne se pose contre le sien. Une main contre sa joue, je laisse mon pouce longer ses lèvres alors que ses râles virils me parviennent aux oreilles. Sa tige est à l'étroit dans mon cul mais je sais qu'il aime ça. Bien dur dans mon trou, il y va toujours aussi lentement, la brûlure cédant lentement pour laisser sa verge se faire sa place sans trop de douleur. Dilaté tout autour de lui, ses doigts contre mes tétons tendus sous le plaisir, je ferme les yeux dans des petits cris de plaisir qui se font toujours plus intense. J'essaye de me détendre, de ne plus penser à rien si ce n'est à sa queue bandée qui me déchire avec ardeur. Je sens qu'il contient un minimum ses coups pour ne pas me faire crier plus que de raison et entre nous je préfère couiner de plaisir que de douleur. C'est quand même de loin beaucoup plus agréable. Ses bourses tapant contre l'entrée de mon vagin à chaque mouvement, une décharge électrique vient irradier mon bas ventre et grâce à la position, j'en profite pour me pencher légèrement, ma main passant entre nous et je viens chercher ses couilles que mes doigts s'amuse à titiller des que la distance se réduit. Plus ça va et plus je le sens prendre ses aises dans mon derrière. Je vais avoir mal au cul demain mais c'est un détail. Ondulant contre sa main qui me doigte ou me caresse, les vagues de chaleur qui me ravagent sont violentes. Le plaisir grimp en flèche et alors que je commence à m'habituer à son rythme, il se met soudainement à s'amuser à sortir pour revenir au plus profond de moi. Faisant durer ce petit jeu à plusieurs reprises, les gémissements qui quittent ma bouche se font plus bruyants, plus violents, alors que je soutiens son regard. Ma main jusque là sur sa joue finit par se glisser dans sa nuque. « Putain... encore ! T'arrêtes pas ! » je suis pas loin et l'excitation est tellement forte que je ne suis pas certaine de te tenir encore longtemps. Il me rend dingue. Une folie jouissive qui se propage en moi avec une ardeur venue de nul part. C'est tellement bon. Il me prend le cul avec fougue, me le limant sans remord mais gardant toujours cette pointe de douceur et je peux dire que mon trou a totalement apprivoisé son dard. Mes doigts venant finalement se poser contre mes fesses, je les lui écartent afin de lui faciliter encore plus la tâche. Son bras passe autour de moi, se calant sous mes seins, et je peux les sentir frôler sa peau ce qui a pour effet de me faire frissonner brusquement. Encore quelques coups de boutoir et je sais très bien qu'il va me mener à nouveau à son point de non retour.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeLun 22 Aoû - 13:00


Tes gémissements m'en donnent en tous cas un aperçu...

Disait-il en riant doucement de plaisir, tout allant et venant dans ses fesses étroites où il se faisait sa place. Il grogna plus fort encore quand elle vint se saisir de ses couilles qu'elle pouvait sentir bien pleines de nouveau. Il aimait le supplier de lui en donner encore et toujours plus. Ce qu'il faisait, désireux qu'elle jouisse comme jamais.

C'est surtout pas mon intention, j'aime trop ça hannn

Répondit-il sur un ton de basse alors que le cavalcade se montrait toujours aussi effrénée. Il lui enroula les cheveux autour de son poignet et commença sa rude cavalcade. Plus de round d'observation, il donnait coup de queue sauvages après coup de queue féroces. Ses yeux étaient tour à tour plongés dans les siens, puis revenaient à son derrière. Il aimait voir sa queue disparaître entre les fesses de sa coloc si bandante, les reliant à la fois intérieurement et extérieurement, la boucle était bouclée. Le bruit des claquements de leur corps et de ses couilles étaient retentissants. Clac-clac-claccccc Quand il la vit écarter ses fesses d'elle-même, il ne pouvait que laisser lui échapper un juron de plaisir excité à la fois par la vue et par les sensations qu'il en retirait. Animal, cela ne l’empêcha guère de varier les angles pour se donner encore plus de plaisir. Parfois,  il se retirait et toquait quelque temps à l’entrée. D’autres fois, il glissait plus avant, plus au fond, lentement, très lentement, jusqu’à être enfoui au ras de son cul, avec juste les couilles à l’extérieur. Mais, quel que soit l’angle, elle pouvait sentir sa queue grossir en elle, devenir plus forte, plus dure, s’enfouir davantage, fourrager dans son petit cul. Il aimait voir que sa jouissance était presque si insoutenable qu'elle essayait de lui échapper et lui la retenait dans ses bras puissant et l'enculait encore plus fort. Il poussait un grondement toujours plus rauque chaque fois que sa queue percutait salement contre les fesses de sa belle.

Il la sentait non loin de l'orgasme tout comme lui. Un monstre de plaisir s'empara violemment de lui, l’enveloppant et le serrant, l'envoyant dans les airs, le laissant en apesanteur, au summum du plaisir puis le jetait dans le vide, à une allure folle. Son dernier grognement rauque vint mourir dans la bouche de Madi, lui insufflant sa force et son plaisir tout en si vidant en elle à grands jets. Le plaisir était dévastateur pour elle aussi, il pouvait le voir dans son regard et dans les réactions de son corps lové contre le sien. Il la serrait contre lui pour amortir sa chute, aimant la sentir tressaillir contre lui de façon incontrôlable. Une main derrière sa tête et l'autre sur ses fesses il s'enfonçait tout au plus profond d'elle, ses yeux devenant incroyablement clairs, brillants, ivres de plaisir. Dans ce tourbillon de sensations il s'accrochait à elle, ses yeux la transperçant tout comme le faisait sa queue fichée en elle. Il resta un moment immobile, attendant que leurs corps deviennent calmes.

Hmm Madi...t'es incroyable


Il rit doucement venant l'embrasser langoureusement, la queue toujours dure. C'était si bon que ça n'en était que plus violent. Puis il finit par se retirer d'elle, se laissant s'allonger sur le dos, reprenant son souffle, un grand sourire aux lèvres, son corps musclé et puissant couvert de fines perles salées.
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MessageSujet: Re: (TONY) we need to.. talk.   (TONY) we need to.. talk. I_icon_minitimeMer 24 Aoû - 13:28



#TONYSSON ; mot désignant l'incapacité totale au contrôle.

Tony c'est le genre de mec auquel on goûte une fois et ou on est certaine d'avoir envie de remettre ça par la suite. Il est la perfection. Canon, charismatique, corps de rêve. Je vais finir par devoir remercier mon père à cette allure, ça lui ferait les pieds de savoir que sa fille chérie se tape son pseudo espion. J'pense pouvoir lui faire un minimum confiance, et puis, après ça, pourquoi irait-il s'amuser à raconter ce qu sa gamine pas sage fait quand elle est chez elle. Ça me regarde, point. Il me fait sourire, je ne répond rien, je me contente de profiter de sa queue qui devient hargneuse, indélicate, qui se glisse et me culbute sans pincette. Ce n'est plus le temps pour la douceur et mon cœur loupe un battement alors que mon corps plaqué au sien, je le sens se vider dans mon cul après s'y être ancré en profondeur. Me tortillant violemment, ses bras s'assurant ainsi que je ne m'échappe pas durant notre halte de plaisir, je laisse à mon tour une vague de plaisir me ravager, l'orgasme s'insinuant sous ma peau. L'étroi fourreau se contractant vivement contre sa que bandée, je ferme les yeux, me cambrant alors que mon bassin pousse de lui même contre celui du beau brun pour le sentir une dernière fois. Sentir sa tige étirer pour un dernier vas et viens brutal, l'antre qu'il s'était approprié pour la soirée. Souffle court, mon cœur manque un battement quand je finis par pousser un long soupire de bien être. Râles étouffés contre nos lèvres respectives, ma langue part à la recherche de la sienne dans une danse endiablée. Mes cheveux enroulés autour de son poignet maintienne ma tête en arrière et je ne cherche pas à me défaire, je profite consciemment, ondulant de dernières secondes contre lui, allant à la recherche de la dernière parcelle de plaisir que sa queue avait à m'offrir avant de couper court au baiser pour le fixer. Respiration saccadée, je me pince les lèvres. « Oui, tu n'es pas mal non plus dans le genre divin.. » ses bras musclés tout autour de moi, il finit par se relâcher et j'en fais de même alors qu'il ne tarde pas à se retirer de mon cul, me faisant lâcher un dernier couinement alors que je sens chaque centimètre se retirer. Retombant à mes côtés, je m'allonge précautionneusement sur le dos avant de tourner la tête vers lui. Jambes repliées sur le matelas, mains sur mon ventre, je joue avec mon piercing au nombril. Presque un automatisme. « C'est officiel, le repas doit vraiment être froid maintenant ! » rigolant légèrement, je me tourne et vient plaquer mes lèvres sur les siennes avant de me redresser sur les fesses dans une grimace et je ne peux contenir mon serrage de dents passablement rieur. « Bordel, laisse tomber, je vais avoir besoin de sac de congélation ! » oui, sous le cul, vous savez ? Amusée, je me laisse retomber sur le dos dans un bref et nouveau rire.
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