J'étais dans une fête des excès. Il y avait de l'alcool, de la coke et des putes un peu partout qui s'assuraient que je passais une bonne soirée. Mais aucune des putes présentes ne me faisaient beaucoup d'effet à dire vrai, et chaque fois je les faisais passer leur chemin pour qu'elles usent de leur charme sur des queutards comme mes hommes de main. Je soupirais d'ennui jusqu'à ce qu'Ernesto vienne me voir. Il était mon cousin et celui qui avait tout organiser pour moi. Il me connaissait par cœur et voyait bien que je ne prenais pas beaucoup de plaisir pour le moment. Il me disait de ne pas m'inquiéter, qu'il avait fait venir une surprise pour moi. Et que cette surprise me ferait redonner le sourire. Je lui faisais confiance, jusque présent il ne m'avait jamais fait défaut. Alors je faisais semblant de m'amuser et de passer du bon temps tout ne demandant à quoi ressemblerait ma surprise. La soirée était encore jeune et les invités ne cessaient d'arriver, déposant des cadeaux à mon intention. Moi qui pouvait tout me payer, n'avait aucune illusion sur les cadeaux qu'on m'offraient et qui seraient forcément décevant en comparaison. Ernesto l'avait bien comprit et c'était pour ça qu'il avait opté pour une surprise plus...personnalisée.

Ce n'est qu'une heure plus tard, alors que j'avais enchainé les verres et presque oublié ma surprise que je vis Ernesto s'éloigner quand un de mes hommes de main qui était chargé de l'avertir en premier quand arriverait mon paquet contacta ce dernier. Ernesto revint alors vers moi et me demanda de la suivre. Ce que je fis avec un désir certain, sentant un élancement de plaisir dans les couilles tant j'étais excité. Je fus conduis devant une ravissante petite pute, aux cheveux couleur ac en ciel tirant vers le bleu lagon. Mes yeux se grisaient de la tenue et de la position adoptée par la jeune chienne. Et quand mes yeux virent la petite touche ajoutée, avec cette mention au henné qui ne laissait aucun doute sur le fait qu'elle était là pour me servir de garage à bite. Ernesto m'encouragea à me saisir de la laisse et me souhaita une bonne soirée avant de revenir à la fête parmi les invités. Je me baissais vers la petite chienne et tira sèchement sur la laisse pour qu'elle me regarde bien en face.

Oh, Ernesto n'avait pas menti...tu me fais bouillonner le jus dans les couilles. J'espère que tu es endurante, je vais t'utiliser toute la nuit...

Je la fixais avec un oeil pétillant d'envie. Elle était magnifique et ce qu'elle laissait voir de son corps était tout à fait à mon gout. d'autant qu'elle semblait être la soumise parfaite ce qui me promettais une soirée des plus exquise. Mais comme tout maitre fier de son jouet, je décidais de la récompenser de sa bonne réponse, venant lui flatter la tête comme je l'aurais fais pour un animal de compagnie. chose qu'elle allait devenir avec moi ce soir, sauf que je ne comptais pas me contenter de la caresser et de la regarder. Elle allait me vider les couilles et ça tombait bien parce qu'elles étaient vraiment pleines.

Tu sais comment me parler, mon jouet. Maintenant remue bien du cul, je vais te promener parmi les invités de la fête. Tu seras autorisée à être touchée.

Je lui adressais un grand sourire avant de m'adresser aux invités d'une voix rauque et enjouée.

Regardez ce que m'a offert Ernesto pour mon anniversaire! Une petite chienne bien obéissante. Vous pouvez la caresser et la toucher, mais gardez vos bites dans vos frocs, les mecs! haha

Je venais alors promener la belle qui avançait à genoux derrière moi et à son passage elle se faisait caresser, malaxer, pelotter le corps, les cheveux et elle pu sentir un doigt venir glisser contre son anus, sans percer le tissu.

Pour le moment je n'avais pas encore décidé si je mettrais ma belle chienne à profit pour satisfaire quelques uns de mes invités de marque. Pour le moment elle était à moi et je ne comptais pas laisser des queutards profiter d'elle plus que de raison. Je me retournait souvent pour regarder la belle dans les yeux. Elle semblait adorer être ainsi traitée et au centre des attentions. Et pour cause son cul donnait des chaleurs et des érections à tous ceux qui posaient les yeux dessus. Je la faisais passer devant moi pour venir lui malaxer les fesses sans douceur. Je vins ensuite m’assoir dans un fauteuil large en cuir et la faisait s'installer sur moi. A califourchon, elle pouvait sentir ma pine sous elle. Je tirais sèchement sur la laisse pour que son visage soit collé au mien. Elle pouvait sentir mon souffle brulant contre ses lèvres tant on était proche l'un de l'autre. Je lui caressais les seins de ma main libre.

Tu sens ma grosse bite sous tes fesses? Je veux que tu me la sortes et que tu me suces devant nos invités. fais moi honneur, je veux une pipe d'anthologie