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Tony regardait sa montre. Il piaffait d'impatience. Il s'était contenté d'envoyer un texto à Karina avec la simple mention: Sois bandante. Encore plus que d'habitude. Il lui laissait porter la tenue qui serait apte, selon elle, à le faire bander rien qu'en la voyant. Il avait sa journée de libre et comptait bien la passer en compagnie de la belle blonde torrid.

La belle blonde incendiaire avait un corps de rêve dont il ne se lassait pas. Et pour cause, cette fille là, c'était une usine à fantasme, une bombe anatomique. Le genre à faire gicler les hommes encore et encore. le flic ne la laissait partir de chez lui que quand elle était dans un sale état, boitillante d'avoir eu droit à un traitement viril et intense. Elle ne s'en plaignait guère. Elle semblait même en redemander. Il ne fallait pas croire cependant qu'elle était une cruche. Elle savait manier les chiffres aussi bien qu'elle usait de sa bouche, sa chatte ou son cul. Elle l'avait aidé à frauder le fisc, lui permettant ainsi de pouvoir engranger de l'argent dans un paradis fiscal qu'il pourrait utiliser quand bon lui semblerait. Celà lui avait sauvé la vie, parce que planquer de l'argent sous son matelas, ça avait ses limites. Surtout qu'il partageait son appartement avec deux autres colocataires. Il leur faisait confiance, mais il n'avait pas envie de leur expliquer d'où venait tout son fric, même s'il ne fallait pas être bien malin pour le deviner. Quand il entendit sonner, il se dirigea vers la porte d'entrée et vint lui ouvrir, un grand sourire aux lèvres. Il portait un simple marcel blanc qui mettait en valeur ses biceps et ses reins d'aciers et un jean. Il aimait s'habiller relax quand il était de repos et puis il savait qu'elle ne le laisserait pas garder ses vêtements bien longtemps.

Karina...bien le bonjour ma belle.

Dit-il en la détaillant de haut en bas, son sourire s'agrandissant au passage.

#Karina & Tony

Ça ne faisait aucun doute que la physique de la comptable était des plus agréables et des plus chauds, elle n'était pas sur le côté stripteaseuse et elle n'offrirait pas son corps aussi facilement à la clientèle si ce n'était pas le cas. Eh bien sûr, elle s'en rendait compte et ne se privait pas pour s'en servir. On pouvait clairement dire que grâce à ce corps elle s'était faite beaucoup d'argent, même plus qu'entant que comptable et pourtant elle savait y faire pour ce qui était des escroqueries. Aujourd'hui, il n'était pas question d'argent, seulement de plaisir et la belle blonde savait parfaitement qu'elle allait en prendre plus qu'il n'en fallait. En bonne insatiable elle ne pouvait refuser une invitation et encore moins lorsqu'elle savait que ça allait en valoir le détour. Aujourd'hui l'heureux élu était Tony Cabra un ripou parmi tant d'autre, mais avec lui c'était différent... Il savait s'y faire avec la belle blonde, qui ne demandait qu'à être dévorée de toute part. Ayant bien reçu son texto, elle décidait de se préparée sans attendre, histoire de ce rendre le plus vite possible chez lui, ne s'étant pas faite coquette, bien du contraire, c'était habillée de manière sexy, presque vulgaire, salope oui, on peut le dire, mais de toute manière, ça se lisait sur le visage de cette italienne. Une fois arrivé devant chez Tony elle sonnait pour que ça prenne le moins de temps possible. Heureux de me voir n'est-ce pas ? Faisant un tour sur elle même pour bien se montrée à l'un de ces nombreux amant, mais il n'était pas censé le savoir en vérité.

tenue:

Quand elle fit un tour sur elle-même pour se mettre en valeur, il ne pouvait que sourire. Il vint la serrer contre lui, lui plantant un baiser sauvage au coin des lèvres. Il aimait sentir sa grosse poitrine venir s'écraser contre son torse musclé. Il porta son majeur aux lèvres de la belle, le lui faisant lécher, avant de glisser sa main sous la robe de Karina, se doutant qu'elle ne portait rien en dessous, cette allumeuse. Il constata qu'il avait deviné juste et commença à la masturber sèchement. Il comptait bien la prendre par tous les trous.

Tu es toujours aussi bandante.

Entre eux il n'y avait pas de manières. Ils parlaient cru ou de la manière dont ils avaient envie. Il adorait la belle salope blonde qui savait comment lui donner une trique d'enfer. Il l'invita à entrer, peu désireux de faire traîner les choses avant de passer aux choses sérieuses. Il ne lui avait pas envoyer de message pour jouer au scrabble mais pour la baiser encore et encore, qu'elle en crie, qu'elle en couine même. Il finit par retirer son doigt d'entre les cuisses de la belle nympho et lécha son doigt couvert de cyprine devant elle. Il la fit reculer jusqu'à ce qu'elle percute un mur derrière elle. Elle ne pouvait fuir nul part et il savait qu'elle n'en avait aucune envie. Il lui mordilla les lèvres, tout en venant lui malaxer ses gros seins avec appétit. Elle avait un corps parfait et il aimait la manipuler comme si elle était un sex-toy avide de le vider encore et encore. Même s'il faisait toujours en sorte qu'elle jouisse également dans le processus.

#Karina & Tony

Heureusement que Tony était là aujourd'hui, sachant qu'hier soir elle avait du supporter un client des moins équipé et talentueux, là elle savait dans quoi elle s'embarquait et nul doute, ça allait encore être des folies de leurs corps inoubliable. Karina n'en attendait pas moins venant du policier, il ne savait pas attendre, alors à peine sur le seuil d'entrée qu'elle venait se prendre un doigt en elle pour un petit moment, assez que pour la rendre humide, ne quittant pas son regard du bel homme. La comptable se mordillait la lèvre en le voyant lécher son doigt plein de cyprine et ce n'était le début, sachant qu'elle allait en lâcher en grande dose avec cet homme et son beau pieu de chair. Une fois rentrée, Karina se retrouvait rapidement bloquée contre un mur, une nouvelle fois dans une position de soumise qui ne lui déplaisait pas du tout, le laissant s'amuser avec ses seins refait et terriblement gros. Alors qu'elle lui retirait son haut pour venir lui lécher le cou et le haut de son torse musclé, mordillant de temps en temps, passant sa main sur le bas de sa robe pour tirer d'un coup sec dessus, laissant sa volumineuse poitrine jaillir comme deux beaux ballons. « Hann... Tony... J'ai envie de toi là, maintenant ! De te sentir ! Fais de moi ce que tu veux. » Avec lui, la belle ne savait jamais attendre, étant déjà terriblement chaude et le montrant.

Tony et elle se retrouvaient rapidement nus l'un retirant les vêtements de l'autre avec une certaine frénésie. Une envie palpable qui devenait un besoin. Les paroles de Karina ne firent que mettre le feu dans ses reins qui n'avaient besoin que de ça pour réveiller l'animal en lui. Il enroula sa crinière blonde autour de son poing et la retourna sèchement de sorte qu'il puisse voir son joli derrière, hésitant quand à l'orifice qu'il allait prendre en premier, car les deux seraient salement besognés. Il laissait son souffle brulant venir la taquiner, provoquant un frisson sur les petits cheveux sur sa nuque. Elle était désireuse de recevoir enfin sa queue et lui voulait lui montrer qu'elle avait bien fait de venir le voir pour ça. Comme toujours quand ils étaient ensemble, les cris de plaisir étaient intenses et nombreux.

Ca tombe bien parce que ma queue n'en peu déjà plus à l'idée de te fourrer.

Lui murmura t-il au creux du cou, lui malaxant ses gros seins siliconés, soyeux et débordant largement de ses mains viriles. Il aimait manipuler la poupée Barbie encore plus bandante en vrai. Il lui plaqua la joue contre le mur, tandis qu'elle se cambrait bien en arrière venant percuter la queue épaisse et veinée de Tony qui ne demandait qu'a la limer en profondeur. Il laissa son gland aller de son anus à sa chatte pendant un petit moment avant d'opter pour ses cuisses. Il enfonça son pieux épais en elle et d'un coup sec, il la laissa sentir chacun de ses long centimètres, la pénétrant jusqu'aux couilles. Il poussa un long grognement satisfait quand il fut entièrement enfoncé en elle, puis il commença à balancer ses reins pour lui faire pousser des couinements qui étaient si plaisant à son oreille.

C'est ça que tu voulais pas vrai hannn

#Karina & Tony

Joue contre le mur, se plaisant parfaitement dans le rôle de la soumise de service complètement chienne, Karina gémissait une fois qu'elle le sentit finalement en elle, ce que c'était bon bordel ! Un vrai délice pour les sensations de notre sexy comptable qui semblait être faite pour encaisser ce genre d'engin dont la taille n'a de pareil que son épaisseur. Karina se cambrait à la perfection, laissant son dos faire une légère courbe, les jambes fléchies jusqu'au point de non-retour avec cet engin qui lui élargissait et rentrait en elle si facilement grâce à sa mouille déjà fortement présente. Bien sûr, Karina gémissait déjà à vive voix, sachant que ce n'était que le début, mais en ignorant comment, elle sentait qu'elle avait le don de rendre Tony dur comme pas possible, elle arrivait à rendre sa belle tour de chair énorme pour ses beaux yeux et surtout pour son corps que chaque homme à au moins rêver une fois dans sa vie. « Oooh ouais ! Qu'est-ce que ça m'avait manquer... Hann ! » Voulant rendre fou le policier et surtout lui montrer à quel point, elle pouvait être une chienne docile, Karina venait prendre l'une des mains du ripou qui se trouvait sur son silicone pour venir lui sucer deux doigts sensuellement, le visage tourner vers lui, lui lançant le regard parfait d'une bonne soumise pleine d'envie, recouvrant ses doigts de sa salive.

En bonne chienne et en bonne soumise, Karina savait comment faire, quels gestes adopter pour le rendre toujours plus dur. La sentir lui lécher les doigts comme si elle lui suçait la queue ne faisait que le faire frémir de plus belle. Il décida de ne pas gacher cette salive qu'elle lui donnait et vint lui masturber fermement le clitoris avec ces même doigts tandis qu'il la besognait de plus en plus fortement, désireux de la rendre toujours plus gémissante de plaisir. Leurs corps claquaient avec intensité, tout comme le faisait ses bourses qui venaient tambouriner contre les fesses parfaites de la belle italienne.

P'tain...tu vas partir d'ici dans un sale état...

Lui promit-il alors qu'il la lardait de coups de queues toujours plus virulents et plus incisifs. Il lui tenait le menton entre ses doigts afin qu'elle ne le quitte pas du regard pendant qu'il la baisait de plus en plus fort. Puis il glissa son visage entre ses gros seins, venant les lui avaler avec envie, mordillant ses tétons, la faisant se cambrer toujours plus en avant afin de pouvoir la pénétrer bien en longueur et bien en profondeur. Il aimait à voir sa queue épaisse disparaitre entre les cuisses offertes de la belle blonde sulfureuse. Il en vint même à lui donner des fessées bien fermes, adorant ce corps de poupée faite pour le plaisir.

#Karina & Tony

« Qu'est-ce que tu crois ? Je ne comptais pas partir d'ici avant d'être souillée comme jamais. » Répondait difficilement la belle créature blonde tant elle se sentait déjà pleine par la verge énorme de Tony, qui allait et venait bien fort dans sa petite chatte maintenant ouverte et trempée par le plaisir et l'excitation qu'elle ressentait en ce moment même. Surtout avec le travail dans lequel se lançait le policier, plongeant sa verge au fond de son vagin et ses doigts humidifié par sa salive sur son clito bouillant. La position dans laquelle se trouvait son visage et sa mâchoire laissait voir toute l'envie et le plaisir qu'éprouvait la belle poupée blonde à ce faire ramonée de la sorte, passant sa langue sur ses lèvres sensuellement en ne le lâchant pas une seule seconde du regard. Karina le narguait sa langue sur ses lèvres pulpeuses, sa chatte chaude enrobant la queue énorme de son amant, aucun doute, la comptable était une femme libérée et qui aimait le sexe plus que n'importe qui. Surtout avec ce poulet qui clairement étant le mâle dominant.

C'est exactement ce qui vas t'arriver.

Se contenta t-il de lui affirmer comme une sanction à venir. Il la tirait fermement par les cheveux, posant sur elle son regard qui était aussi dur que la queue qui la pilonnait sans répits. Quel plaisir c'était que de saillir cette belle femelle qui ne demandait qu'à être limée par un alpha. Et c'était ce qu'il faisait avec une évidente satisfaction. Contentement qui s'entendait dans le ton de sa voix qui devenait plus rauque à mesure qu'il lui labourait les cuisses. Il la saisit par la taille et la poussa de sorte qu'elle se retrouve sur la table basse, à quatre pattes dessus. Une position de chienne, pour une affamée de queue. Il n'avait pas quitté sa chatte durant la manipulation, restant en elle, lui donnant à sentir toute la chaleur de son épaisseur colossale. Il allait et venait en rythme, ses bourses pleines venant cogner contre les fesses bombées de Barbie. Voilà un jouet qui n'était pas pour les petites filles. Sex-toy pour hommes entreprenants. Même s'il savait qu'elle couchait aussi avec les femmes ce qui ne pouvait que titiller son imagination débordante à son sujet. Il imprimait un rythme de plus en plus effréné, poussant et balançant ses reins de sorte qu'il la ramone avec toujours plus de violence et d'impact. Il n'y avait rien de romantique dans ses coups de queue. C'était même carrément pornographique et il ne se privait pas pour lui hurler des mots crus, des « t'aies ça salope » bien sentis.

#Karina & Tony

« Oh han !! Ce que tu me fais mouillée. » S'exclamait la belle créature, le jouet de cet homme en sentant à quel point il avait des facilités pour ce glisser en elle avec rage et détermination. Karina sentait bien à quel point il était déterminer à la faire hurler et jouir jusqu'à outrance et clairement elle sentait également ce pieu de chair en elle, la transcendant dans son plaisir. La comptable se retrouvait rapidement à faire une autre position, n'ayant pas pour autant quitter la queue exquise de son amant dominateur et si viril, l'ayant toujours bien en elle et même plus profondément qu'avant, ce qui ne lui déplaisait pas, mais lui arrachait des gémissements plus fort et plus brute qu'auparavant, ne savant se retenir sous ce rite bestial auquel elle s'adonnait avec ce charmant policier au comportement dominateur et animal en elle. Dans cette position ses ballons de silicones volaient, virevoltaient sous chaque coups de reins qu'elle ramassait, se doutant bien que la vue était des plus agréables, ses genoux faisait des bonds d'avant en arrière sous cette brutalité rare qui faisait de sa chatte trempée son royaume.

Qu'est ce que t'es bonne ma belle hannn

Tony prenait la belle Barbie sur la table basse. Il se demandait si cette dernière allait tenir le coup au vu du rythme dantesque auquel ils s'adonnaient. Planté en elle jusqu'à la garde. Ses bourses vinrent percuter les cuisses et les fesses de la belle, dans un bruit de claquement surexcitant. Le corps voluptueux de Karina lui donnait envie de la prendre partout à la fois. Nul doute qu'elle devait sûrement s'être déjà adonné à ce genre de parties fines la connaissant. Mais ce n'était pas son affaire. Il glissa sa main entre les cuisses humides de son amante, la masturbant à l'aide de ses doigts habiles. Un premier râle, voilà son objectif. Puis un second. Puis pleine d'autres tandis qu'il plaquait la joue de la belle contre la table basse, la dominant un peu plus encore. Sans aucune douceur, il la fourrait, la limait avec force et fougue. Il poussait des grognements rauques, incapable de prononcer une seule parole pendant un temps autre que des râles rauques et profonds. Un bruit guttural et viril. Il la limait avec de plus en plus d’entêtement, venant parfois saisir la crinière blonde qu'il tirait en arrière sans la quitter du regard. Ses yeux la fixait sans discontinuer. Parfois, il plongeait son visage entre les seins féminins, sa barbe venant provoquer l'arrondi de sa poitrine et de ses tétons.

#Karina & Tony

Karina était prise d'un plaisir, d'un plaisir prenant plus elle le sentait aller et venir dans son trou maintenant bien élargi et tellement écarter, sentant son derrière chauffer et se rougir sous le claquement du bassin de Tony contre ce dernier. Gémissant le prénom de Tony sous la violence de ses coups de reins, ne ressentant que du plaisir et de l'excitation grâce à ce bel homme et à son comportement dominateur envers elle. Stimulée comme elle l'était la belle ne tardait pas à lâcher quelques cris sensuelles, ne manquant pas de lui montrer à quel point elle aimait le traitement que le ripou lui assenait avec plaisir.

Vu le rythme effrénée adopté par le flic aguiché, il ne tarderait guère à jouir une première fois entre les cuisses ruisselantes de la belle blonde. Il plaquait son torse musclé contre le dos de pouvoir la prendre plus en profondeur et avec plus de hargne. Il lui caressait ses gros seins qui ballotaient en tous sens à mesure qu'il balançait ses reins avec rage en elle. Il lui mordilla le cou, puis le dos, ses bourses pleines venant tambouriner avec fracas contre les cuisses de la belle dont il voulait casser les pattes arrières. Ses lèvres délaissaient par moment les siennes pour aller cueillir ses tétons qu'il avalait plus faisait rouler entre ses dents. Sauvage et déchainé, il lui administrait de fermes fessées. Le claquement de leurs corps devenait de plus en plus entêtant et il se perdait entre les cuisses plus qu'accueillantes de la jolie blonde sulfureuse. Il finit par éjaculer en elle dans un dernier coup de rein, laissant échapper un râle plus rauque à son oreille.

#Karina & Tony

Sur le même rythme que Tony, Karina venait jouir à force de se faire prendre de la sorte, le plaisir avait été bien trop grand et puissant en elle, que pour savoir résister. Elle le sentait se déverser entre ses cuisses, ce qui ne la dérangeait pas, au contraire, elle adorait sentir cette chaleur lui remplir son petit trou, qui ne l'était plus du tout après le passage du beau policier. Se retournant pour pouvoir lui faire face et se couchant sur la table, elle se retira avec tristesse de son si beau manche, le laissant trainer sur le bas de son ventre, le regardant brillant de sa mouille. « J'en avais presque oubliée à quel point tu baisais bien. » Rigolait la jeune femme posant ses doigts sur son gland, qu'elle malaxait lentement au cas où il y aurait encore quelque chose à faire sortir dans un pincement de lèvre de diablesse.

Tony afficha un sourire en coin et la regarda lui tenir la queue pour bien tout en sortir. Ce pincement de lèvre qu'elle avait et ce regard purement provocateur faisait des ravages. Elle le savait et en jouait. Il le savait aussi, mais ça n’empêchait pas que ce soit efficace. Quand elle le regardait de la sorte, il ne pouvait cesser d'avoir envie de la prendre de nouveau.

La prochaine fois que tu as un doute, n'hésite surtout pas à venir le vérifier par toi même.

Lui susurra t-il en se rapprochant d'elle, venant lui malaxer son petit cul bien ferme et galbé. Il laissa ses mains venir lui redessiner le ventre puis les seins tandis qu'elle était allongée et il vint finalement s'allonger contre elle, mêlant de nouveau leur corps. Il l'entourait de ses bras puissants, faisant rouler ses muscles sous sa peau, puis saisit sa queue et chercha l'orifice le plus étroit.

Tu me pardonneras sans doute...mais je veux t'entendre encore crier...

Il lui fit un clin d'oeil et perça doucement l'anus de la belle blonde sulfureuse.

#Karina & Tony

« Je n'y manquerais pas, tu peux compter sur moi. » Répondait la belle en le laissant manipuler son corps divin, soupirant en sentant ses mains sur elle, alors qu'elle passait les siennes sur le dos de son amant, venant griffer ce dernier en le sentant forcer la petite porte de la belle. Petite porte qui s'ouvrait difficilement au vu de la taille de l'engin qui voulait y rentrer. Venant mordiller sensuellement le cou du beau policier sous de long souffle chaud, sa poitrine compressée contre le torse musclé de Tony.

Il frémit du plaisir de la sentir le griffer doucement et se tendre à mesure qu'il lui pénétrait l'orifice le plus étroit. Il afficha un sourire ravit et l'embrassa avec fougue, la queue dure comme le roc, restant un moment simplement au fond d'elle sans bouger.

Hmmm, c'est confortable par ici ohhh

Murmura t-il à son oreille avant de la lui mordiller, puis il descendit son visage contre les gros seins de la jolie blonde, se mettant à les embrasser avec faim. En lui mordillant les tétons, il se mit à balancer ses reins avec lenteur, mais profondément. Chaque centimètre qui s'enfonçait le faisant pousser un grognement plus rauque. Il ne la quittait pas des yeux, venant lui caresser les cheveux, la fixant avec intensité, sa position faisant qu'il la dominait entièrement. Il insista de sorte de la faire couiner sous ses coups de butoir.

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