L’obscurité était tombée hâtivement, retardée quelque part, elle était maintenant soucieuse d’arriver à l’heure dite. Soirée de charité, il avait été assigné à la sécurité de tout le gratin de la ville. Hélas pour lui, ce n'était pas une orgie façon Eyes wide shut, au moins il aurait pu se rincer l’œil. Comme s'il avait pas mieux à faire, comme résoudre des enquêtes par exemple? Mais c'était le prix à payer quand on avait tendance à brosser sa hiérarchie dans le mauvais sens du poil. Il ne savait pas la fermer. Pas son genre de ramper tandis que tous ses collègues faisaient le dos rond. Nombreux étaient ceux d'accord avec lui. Ils le lui disaient, en messe basse. Mais personne ne le soutenait ouvertement. Double langage. Pure hypocrisie. Il n'en voulait à personne, il connaissait le genre humain. Ça ne l’empêchait pas de considérer la plupart de ses confrères comme des cons sidérants. Il y en avait des bons, mais ils étaient rares. Il avait dû passé son uniforme. Le repasser également. Il n'aimait pas ça. Mais c'était les contraintes du métier. Il s'amusait à observer la faune locale. Il y avait des spécimens de toute sorte. Certains invités avaient du mal à croire que Nolan Carter dirigeait un empire financier aux États-Unis. Devant son épouse, il avait ce comportement à la fois soumis et indolent qui n'étonna guère le flic. Tony savait jaugé les gens au premier coup d’œil. C'était la base de son job.

Il remarqua une belle bourgeoise, le genre à aimer étaler sa richesse. Elle avait un petit cul parfaitement baisable. Comme si elle avait senti sa présence et son regard posé sur elle, la femme se retourna et lui adressa un grand sourire. Sourire qu'il lui rendit. Tony souriait comme sourient ceux qui étaient revenus de tout. Peut-être que cette soirée serait plus intéressante que prévue. Hélas il ne revit pas cette dernière du restant de la nuit. Qu'importe, il était coincé ici de toute façon. Autant mener à bien sa «mission». Ce qu'il fit avec un excès de non-zèle, en soupirant bruyamment à de nombreuses reprises. Sa mission remplie, il ne s'attarda guère.

Libéré de l’atmosphère suffocante de l’intérieur, il rentra chez lui. Il éprouva un soulagement immédiat dès qu’il pénétra dans le parc, laissant derrière lui le bruit du trafic, et la fraîcheur de l’herbe mouillée se substitua aux gaz d’échappement. De façon imperceptible il ralentit le pas et prit un des chemins pavés qui se découpaient dans le décor vert parfait. Il inspira profondément et expira avec une lenteur extrême.

Putain de soirée.

Jura t-il en marmonnant dans sa barbe.

Il rentra dans son appartement luxueux. La fatigue et le manque de sommeil commençaient à troubler ses pensées. Il se dirigea vers le mini-bar et se servit un verre. Il sourit avec satisfaction et apprécia la sensation de chaleur qui lui brûla la gorge. Il faisait attention, l'alcool pouvait vite devenir une arme de destruction passive. Puis il s'affala rapidement sur son lit, encore en uniforme. Ce moment d'oubli. Ce moment lové entre l'éveil et le sommeil. C'était l'un des rares moment où il avait la paix. Une certaine sérénité. Mais ça ne durait pas longtemps. Quand elle était intérieure, la douleur était toujours plus forte, on ne la soulageait pas par la parole. Parfois, il croyait toucher la vérité du doigt, mais celle-ci s'effritait toujours. Il tomba rapidement de sommeil, n'ayant même pas eut le temps de se changer.

Le milieu de la nuit est éclairé par une splendide pleine lune blanche au milieu d'un ciel dégagé scintillant d'étoiles qui semblent si proches et pourtant si lointaines.

J'observe ce ciel, enveloppée dans mes draps, la tête et le dos appuyés contre la tête de lit en chêne blanc. Mon radiateur a sans doute dû s'arrêter, car me voilà frissonnante dans cet environnement. Toujours en observant ce sublime spectacle, je me blottis dans ces draps gris souris. Je n'ose même pas imaginer la tête que je dois avoir à ce moment-là.

N'arrivant pas à trouver de nouveau le sommeil, mes draps se retirent de mon corps et mes pieds frôlent le sol gelé. Je me rends dans ma salle de bains pour boire un peu d'eau au robinet. Mes pensées vont dans tous les sens. Je réfléchis à des choses aussi éloignées les unes des autres, que je peine moi-même à faire le lien entre elles. Mon reflet m'est renvoyé par un grand miroir avec un bel encadrement en bois. Le sommeil me manque, mais je sens que cette nuit va être longue. Mes mains se posent de part et d'autre du comptoir dans lequel se trouve le lavabo. La tête baissée, je ferme les yeux quelques instants en soupirant. Ma tête se relève et affronte mon reflet dans le miroir. Mes cheveux semblent emmêlés mais facilement remaniables. N'ayant nulle autre chose à faire, j'ouvre le tiroir du petit meuble à côté du lavabo et y saisis ma brosse à cheveux. Cette dernière passe à plusieurs reprises dans ma longue chevelure brune, assez lentement aux vues de l'heure. Recoiffée de manière plus convenable pour mon estime, je tire de nouveau le tiroir et range la brosse noire.

En refermant le tiroir, un bruit aigu se fait entendre. Je l'ouvre et y découvre un petit trousseau de clés métallique avec l'étiquette où un nom figure dessus : Tony Cabra. C'est ce moment-là que je me souviens que Tony m'avait donné le double de ses clés afin de me rendre chez lui dès que je le voulais, peu importe l'heure du jour ou de la nuit. N'ayant pas grand-chose d'autre à faire, je décide d'aller enfiler mon pull blanc jeté dans un coin de la chambre, près de ma grande bibliothèque dans laquelle règne en maître Baruch Spinoza et Victor Hugo, les deux derniers auteurs que j'ai lus récemment. Dans ma commode, je prends et enfile un slim noir. Je fais attention à ne pas oublier le trousseau de clés de Tony que je me mets directement dans la poche intérieure gauche de ma veste en cuire brune après m'être vêtue de celle-ci. J'enroule une écharpe autour de mon cou et me voilà en dehors de mon appartement.

Quelques instants plus tard, je tourne les clés dans la serrure puis, je pénètre dans l'appartement silencieux. Je retire mes bottines et les dépose près de la porte que je referme silencieusement en tournant de nouveau la clé dans la serrure. Ma veste rejoint mon écharpe sur le portemanteau de l'entrée. D'un pas lent, je m'approche de ce que je me rappelle être la chambre. Mais mauvaise pioche : il s'agit de la salle de bains ! Je retente de trouver la bonne porte en ouvrant lentement celle à côté qui révèle un lit où un homme est endormi encore habillé. Quel bel homme ce Cabra...

Je m'avance dans cette pièce et retire petit à petit mon jean et mon pull afin de me retrouver en sous-vêtement près de l'italien. Je me mets à genoux devant lui et touche du bout des doigts son anatomie qui réagit instantanément. J'arrête mon action et écoute quelques instants le silence de la pièce qui est perturbé par une respiration lente, calme et reposée. Je défais lentement la boucle de sa ceinture et la lui retire de son jean. Ensuite, je lui enlève ses chaussures en prenant soin de ne pas le réveiller. Je lui ôte ses chaussettes, fais glisser son pantalon le long de ses jambes et repose ma main sur ses parties génitales. Je dépose mes lèvres lentement dessus et commence à les embrasser lentement aussi afin de le réveiller en douceur tout en caressant ses cuisses parsemées de poils virils. Son caleçon descend rejoindre son jean et je fais glisser ma lèvre inférieure le long de sa verge pour déposer le dessous de ma langue sur le dessus de son prépuce, attendant que l'homme se réveille à cette sensation humide sur son sexe déjà droit.

Même quand il dormait il pensait à sa ville. Ses rares pluies dont on aurait dit des applaudissements, lents et cadencés: Ploc, ploc, ploc, ploc. Son crime et ses armes : Clic clic clic clic. Son spleen et sa luxure...ses coups de reins : Clac, clac clac, clac Une sensation saisissante d’abandon s’empara enfin de son corps et il s'endormit. Il ne dormait pas longtemps, mais ça lui convenait parfaitement. Il n'avait pas de temps à perdre. Son sommeil fut troublé d'une exquise manière. Il ressentit d'abord une légère brise fraîche sur sa trique nue. Puis un souffle chaud contre sa chair qui se tendait, gagnait en centimètre. Sa verge était épaisse et veineuse. De son corps désormais nu, il émanait une odeur musquée et virile. Son bas ventre le démangeait. Sa trique le titillait, déchirant le voile du sommeil profond pour mieux répondre à son environnement. Une odeur féminine était légèrement perceptible. Il se demandait s'il rêvait. Son corps lui, ne se posait pas autant de question et réagissait aux caresses de Selina. Son bas-ventre se raidissait toujours un peu plus. Il se laissait faire, ses jambes musclées s’écartaient toutes seules à mesure qu'il perdait le contrôle de son corps, pour laisse l'intruse se placer plus à son aise.Ses doigts étaient un peu froids contre la queue brûlante. Il accentuait l'appui de son gland contre la langue inquisitrice, par réflexe. Comme si le bout de son sexe désirait aller à la rencontre de sa bouche avec plus de précipitation. Il respirait plus fort, son torse se levant et s'abaissant un peu plus fortement. Machinalement, il laissa sa main descendre vers sa queue qu'il agrippa à la base, se branlant tandis qu'elle lui léchait le gland. L'action conjuguée de la langue féminine et de la main virile, le transportait de plaisir. Elle pouvait sentir son sexe palpiter contre le bout de sa langue, tandis qu'il s'éveillait peu à peu, un sourire vaporeux aux lèvres. Le passage de la lèvre féminine contre la peau soyeuse de sa trique accélérait le pouls de l'homme viril.

Bonjour, toi...hmmmm...

Répondit-il, sa voix était toute enrouée de sommeil et de plaisir.

Son visage arborait un air surpris. Une sorte d’émerveillement satisfait. Son regard bleu-acier se perdit dans la contemplation de la belle brune à la crinière brune, qui se trouvait en sous-vêtements. Jouir des yeux en la regardant aurait peut-être été possible. Définitivement bandante. Il lui avait donné le double de ses clefs pour ce genre de surprise. Et il aimait beaucoup la façon experte avec laquelle Selina manipulait sa trique. Elle était une experte de la fellation et il ne s'en lassait jamais. Il en redemandait toujours. Ses yeux pétillaient de malice et d'envie, à mesure qu'il s'éveillait totalement. Il laissa glisser la pulpe de ses doigts contre la joue féminine, la lui caressant pour l'encourager à poursuivre même s'il savait que c'était ce qu'elle avait décidé de faire en se rendant chez lui. Il glissa une mèche rebelle de ses cheveux derrière l'ourlet de son oreille, qu'il électrisa d'une caresse afin de mieux voir son visage tandis qu'elle le sucerait.

Continue...je ne voudrais pas te déranger...

Ajouta t-il d'un ton taquin.

Il semble se réveiller petit à petit. Avant d'ouvrir ne serait-ce qu'un œil, il pousse son gland contre mes lèvres mais je lui refuse avec malice le passage, laissant ma langue sur son gland humide d'un liquide pré-seminale. Ses jambes légèrement poilues s'écartent comme pour me laisser accès le plus possible à sa queue droite comme un piquet. Sa respiration forte m'exciter davantage, j'avais envie de l'entendre crier mon nom en se déversant en moi. Les pulsations au bout de son sexe s'accélèrent au moment où il commence à se branler. Je caresse ses cuisses en gardant la même position.

Sa voix roque se fait doucement entendre. Ma langue toujours sur l'urètre découverte de son membre viril, un sourire s'affiche sur mes lèvres. Sans rien faire, il me donne déjà envie d'être possédée par son sexe raide. Rien que ses mots me provoquent une sensation agréable au niveau de mon bas ventre. J'ai envie qu'il me possède plus que tout. Mais pour fêla, je sais que je dois me montrer telle la Salomé que je suis et donc avaler le plus possible sa virilité et le laisser se vider dans une gorge la plus profonde possible. Il me scrute de son regard gris que j'aime tant voir me désirer. Sans plus le faire attendre, j'engloutis donc sexe dans ma bouche. Tout en malaxant ses testicules, je roule ma langue autour de son membre épaisseur qui ne tarde pas à venir frapper le fond de ma gorge à plusieurs reprises. Sa main rencontre ma joue et celle-ci devient rouge de désir, d'excitation, de chaleur. Une des mèches rebelles qui tombent devant mes yeux se rabat derrière mon oreille grâce à Tony. Sans plus de formalités, je creuse mes joues afin de lui offrir un bel endroit étroit à pilonner à son grès. J'avais envie de sentir son sexe s'abandonner à des coups violent en moi.

Au bout de quelques instants je relâche son sexe alors qu'il me dit de continuer. "Tu ne me déranges pas... Tu as l'air de bonne humeur pour quelqu'un qu'on réveille à 2h47 du matin" Je lui offre un magnifique sourire alors que ma main accompagne la sienne sur sa virilité chaude. Ma langue parcourt sa plus grosse veine jusqu'au sommet avant de le laper rapidement avec efficacité. Je descend ensuite gober ses testicules tout en le masturbant. J'ai l'impression qu'il prend un pied phénoménale et ça me ravit davantage. "Ce que j'aime te sucer Cabra..." Dis-je en me mordant légèrement la lèvre inférieure en le regardant, des yeux brillants d'envie.

Difficile de ne pas être ravit du déroulement de la situation. Les lèvres de Selina étaient expertes et sa trique répondait à chacune de ses délicieuses sollicitation. Incapable de prononcer des paroles cohérentes, il formula un son inarticulé qui ressemblait à un grognement de plaisir. Il avait vaguement conscience qu'elle le prenait en bouche, mais toute trace de lucidité avait déserté son esprit embrumé, et il ne protesta pas lorsqu’il sentit la caresse de ses lèvres sur sa chair épaisse. S'il y eut des plaintes de sa part, elles étaient de plaisir. La sensation fut si foudroyante qu’il dut faire appel à toute son expérience pour se retenir de jouir immédiatement. La surprise passée, son endurance parla pour lui et elle pouvait le sucer à sa guise. Il adorait la voir faire, sans le quitter des yeux alors qu'elle faisait aller et venir sa bouche sur sa trique raidie, qui grossissait encore. Il grognait de plaisir un peu plus quand elle s'occupa de ses bourses qu'elle pouvait sentir remplie. Elle lui faisait une pipe magistrale, avec une technique doublée d’un abandon aussi total. Il voyait qu’elle aimait vraiment ce qu’elle faisait, qu’elle n’était pas en train de se livrer à une démonstration. Elle était douée, sachant trouver le rythme qui lui faisait perdre pied et le fixant des yeux pendant qu’elle s’affairait sur lui.

Ça dépend de comment on me réveille. Et puis, tu as réveillé une autre partie de moi en premier, ce qui était la meilleure façon de le faire.

Murmura t-il d'une voix rendue plus rauque par le plaisir qu'elle lui procurait.

Il ne la quittait pas du regard, adorant le spectacle qu'elle lui offrait. Il vint parfois lui agacer les tétons pour la déstabiliser un peu mais elle se montrait disciplinée et déterminée. Ce qui l'excitait d'autant plus car la belle brune était une redoutable suceuse.

Et moi j'aime quand tu le fais...

Lui avoua t-il dans un souffle, avant de lui caresser l'ourlet des lèvres et d'y glisser son majeur.

Ouvre la bouche...

Lui intima t-il, désireux de la lui baiser. Il la fixait avec un regard plus animal, plus autoritaire, plus viril, en plongeant les mains dans la masse veloutée de ses cheveux.

Il posa les mains de part et d’autre de son visage, puis imprima son rythme à la caresse, allant et venant dans sa bouche comme s’il la pénétrait. Son extase fut presque insoutenable et il poussait sur ses reins afin de posséder sa bouche sauvagement. Il lui empoignait les cheveux, tirant dessus jusqu'à ce que ça lui pique délicieusement le crâne.

Ohh fuck...

Lachait-il entre ses lèvres serrées, la mâchoire crispée, gonflant et durcissant toujours plus entre ses lèvres. A ce rythme frénétique, il n'allait plus pouvoir tenir très longtemps et décida de laisser Selina le terminer au rythme et de la façon dont elle avait envie. Après tout, c'était sa surprise à elle et sa pipe.

Je ne peux m’empêcher de glousser à sa remarque. Ma langue reprend son action sur son sexe de manière plus assidue. Tony ne me lâche pas du regard, je le sens rivé sur moi et c’est pour cela que je relève le mien pour qu’ils se croisent. Il descend une main sur mes seins mais je reste concentrée sur mon action, je veux qu’il jouisse dans ma gorge. Je gobe ses testicules tout en le masturbant rapidement. Il semble perdre pied, il m’appartient tant que je le garde en bouche. Et je ne compte pas le lâcher de sitôt !

Je suce le doigt qu’il entre dans ma bouche avec envie. Je vois son regard changer au fur et à mesure. Il devient beaucoup plus sauvage, bestial même ! Et cela se confirme lorsqu’il me demande, ou plutôt m’ordonne, d’ouvrir la bouche. Sa main se glisse dans mes cheveux alors que je m’exécute en lui proposant une belle gorge profonde dans laquelle il vient planter sa grosse verge. Son rythme se fait de plus en plus vite et de plus en plus violemment. Il me lime la bouche et il adore ça, tout comme moi ! Il continue ses mouvements rapide, sa verge ne tarde pas à venir frapper la paroi de ma gorge violemment. Je gémis bruyamment alors qu’il tire sauvagement mes cheveux. Il m’excite de plus en plus et je pose mes mains sur ses fesses, un doigt caressant son anus. Ses testicules rentrent presque dans ma bouche avec sa verge tant il va vite. Ses mouvements perdurent plusieurs minutes. Je me délecte de sa queue qui me pilonne violemment. J’ai bien fait de venir le réveiller !

Au bout d’un moment, il relâche la pression qu’il exerce sur moi. Mécontente, je continue toute seule à le sucer, bien que ce soit moins amusant. Je me retire et me relève pour accéder à ses magnifiques lèvres que j’aime tant embrasser. Nos langues se rejoignent alors que je caresse encore ses fesses. Mes mains repoussent son torse violemment et il tombe sur le lit. Je me positionne sur lui, prenant soin d’appuyer mes hanches sur son sexe tendu et comme des mouvements pour l’exciter davantage jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Mes lèvres ne se détachent pas des siennes. « Elle te plait ma gorge de salope, n’est-ce pas ? »

Il le savait, Selina avait faim de sa sauvagerie, faim de se faire dresser et baiser par l'animal qu'il savait être. Elle ne serait pas déçue. Et tandis qu'il se retrouvait allongé dans le lit, avec la belle brune qui trônait sur lui, il ne la quittait pas du regard. Un regard de défi intense. Elle savait comment l'éveiller encore un peu plus, lui et sa trique. Il prolongeait ses baisers tout en venant parfois lui mordre les lèvres, tirant dessus avec ses dents, dévorant la pulpe de ces dernières sans la quitter du regard. Ses mains venaient s'enfoncer dans les fesses féminines parfaites, savourant leur galbe aguicheur, venant même lui donner une fessée retentissante, adorant voir sa chair rougir à ce contact. Sa trique ne débandait pas, contre la chatte qui se faisait plus humide et avide. Il lui adressa un sourire en coin en entendant ses paroles crues. Il aimait ça. Lui-même ne se priva pas de répondre avec des mots salaces et orduriers.

Oui, ta bouche est faite pour me sucer la bite...

Murmura t-il sur un ton rauque.

Et tout ton corps n'est fait que pour me vider les couilles...

Ajouta t-il, venant la retourner sèchement d'un mouvement de rein afin d'échanger les positions. Le voilà qui se trouvait sur elle, un sourire salace au coin des lèvres qui venait faire naître une fossette sur sa joue barbue.

Il est temps de te donner ce que tu es venue chercher, salope...

Susurra t-il, enroulant ses cheveux dans son poing, tandis qu'il la faisait se mettre à quatre pattes devant lui. Il pouvait ainsi la prendre en levrette, comme la chienne qu'elle était quand ils se retrouvaient au lit. Il ne la prit pas tout de suite, laissant ses mains viriles venir descendre ses cuisses, y dessinant de léger sillons du bout de ses doigts qui se faisaient possessifs. Il vint lui embrasser les fesses, les mordant, laissant ses dents glisser sur sa peau, avant de la fesser de nouveau. Par deux fois sa main large et épaisse vint claquer le derrière avenant. Puis il se glissa en elle, enfonçant sa queue dans la chatte ruisselante sans aucun signe avant coureur. Il la limait avec fougue et force, lui tirant les cheveux dans la bestialité de l'instant, léchant ses lèvres, les mordant, l'embrassant. Il ne prenait aucune pincette, amorçant des va et viens violents, sauvage, profonds. Elle n'était pas en sucre, il la prenait comme une chienne. Et au vu des couinements qu'il lui soutirait, elle ne s'en plaignait guère! A présent tout à fait éveillé, que ce soit son corps ou son esprit salace, il se mit à la défoncer sans aucune retenue, plaquant ses abdos parfaitement dessinés contre le bas de son dos, peau contre peau, resserrant l'étreinte sauvage. Il balançait ses reins avec toujours plus de férocité, bien décidé à lui faire pousser des cris qui monteraient dans les aigus, encore et encore.

Tony ne me quitte plus du regard. L'alchimie entre nous s’approfondit et s'intensifie encore et encore. Nos lèvres ne se séparent plus, je pousse quelques petits soupirs de plaisir lorsqu'il vient me mordiller la lèvre inférieure. Sa main claque ma fesse ce qui laisse s'échapper un gémissement à ce contact. Je souris à l'effet que je lui produis en sentant sa queue toujours aussi dure contre mon intimité. Il sourit à mes mots et réponds d'une voix rauque qui m'excite davantage.

« Je trouve aussi. Les deux s'emboîtent à merveille. » Je pousse de nouveau un gémissement et ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la suite de cela. « Il est vrai que j'aime lorsque tes jets frappent violemment le fin fond de mon corps. » Tony échange nos positions très rapidement. Je l'observe me sourire, son corps chaud sur le mien, prêt à me posséder. « J'aime ta fossette Cabra... » Je me mords la lèvre attendant désespérément la suite puis scelle ma bouche à la sienne, mêlant nos langues ensemble.

« Tu me connais vraiment par cœur... » Il me fait me mettre à quatre pattes devant lui, enroulant autour de sa main, pour mieux les empoigner, mes longs cheveux bruns. Ses mains s’immiscent sur mes cuisses mais c'est sa langue et sa bouche que je sens contre mes fesses. Ses dents viennent les pincer alors que je halète de plus en plus et une nouvelle fessée vient me faire pousser un nouveau gémissement. Sans crier gare, Tony entre en moi, je deviens de plus en plus humide sous l'effet que ce bel italien me procure. Ses coups se font violent et plus rapides, sauvages et sont accompagnés de mes cheveux qui risquent de lâcher à n'importe quel moment sous la force de sa main qui les tire. Nos lèvres jouent ensemble, se mordent, s'embrassent, se déchiquettent. Je gémis de plus en plus sous autant de bestialité. C'est exactement le genre de baise que j'aime. Le rythme s'intensifie davantage, mes cris également. « Encule-moi ! » lâché-je finalement tel une supplication.

Le lit prenait cher, mais Selina, plus encore. Et elle ne semblait ne pas s'en plaindre, à moins que ce ne soit les plaintes de plaisir qu'il pouvait entendre résonner à son oreille. Il venait lui tirer les cheveux avec autorité, plaquant son corps, faisant tressauter ce dernier avec force et vigueur. Avec elle, il s'amusait toujours intensément et la baise était particulièrement salace et sauvage. Limite bestiale. Il colla son front contre le sien, la regardant prendre son pied, lui faisant courber l'échine afin qu'elle se cambre encore plus avant et qu'elle encaisse plus profondément sa trique en elle.

Le plaisir montait en flèche. C'était bestial, sauvage, tellement bon. Ils se laissaient aller jusqu'à devenir emboîtés le plus possible, l'un dans l'autre. Il plaquait son corps puissant et musclé contre celui de la belle brune dont il aimait entendre les couinements de plaisir. Lui-même ne se cachait pas de grogner tout son contentement à son oreille. Il aimait les paroles, voir même le râle plaintif sur lequel elle le supplia de l'enculer. Son coté animal n'en fut que renforcé et il lui adressa un sourire carnassier avant de lui plaquer la joue contre les draps, lui relevant les fesses bien en arrière. Il pencha son visage vers son cul offert et lui titilla la rondelle quelques secondes pour mieux la préparer à sa trique épaisse qui allait la limer. Sans plus attendre il plaqua son large gland contre l'étoile plissée qui offrit de la résistance, avant de la lui percer avec une sourde détermination. Il laissa échapper un cri rauque de jubilation et de plaisir mélangés.

Ohhh putain hann

Gronda t-il à son oreille.

Il passa son avant bras musclé autour des seins de Selina qui gigotaient contre sa peau, venant lui mordiller les lèvres, désireux de la rendre ivre de plaisir. Il la limait avec fougue, forçant le passage étroit qui se serrait autour de sa queue épaisse.

C'est ça que tu veux...c'est ça que t'aimes pas vrai hannn

Aboya t-il de sa voix rauque.

Je ne peux pas m’empêcher de gémir près de son oreille. Il me tire les cheveux d’un coup, plaquant son corps chaud et musclé contre le miens. Pour un homme réveillé à quasiment 3heure du matin, il baise bien. Tony est vigoureux et j’aime ça chez lui. Il change des autres et il est l’un des rares que j’autorise à me prendre comme il le souhaite, dans n’importe quelle position tant qu’il prend un pied comme le mien. Il est bestial, un vrai Tarzan vivant dans la jungle reculée. C’est un animal qui me fait perdre la tête à chacun de nos ébats. Il me contemple de son regard de braise et je me sens dans un autre monde. Un monde où il n’y a que lui, moi et le péché de luxure. Je me cambre selon son bon plaisir et il recommence son pilonnage intensif qui me fait perdre la tête. J’aime venir le réveiller comme ça en pleine nuit. C’est un peu pour ça qu’il m’a donné ses clés en fait.
Sa verge était d’une taille parfaitement impressionnante et ça, je peux le confirmer. A chaque nouveau coup, j’ai l’impression qu’il va m’embrocher dessus tel un cochon à la broche. Il va plus profondément en moi et j’adore cela. Je pousse des gémissements que seul lui sait me faire arracher mais il en fait de même ce qui me fait sourire. Je le supplie de m’enculer ce à quoi il répond d’un sourire. Il appuie ma tête contre les draps du lit et prenant mes fesses au creux de ses mains expertes. Il introduit sa langue ce qui me fait me tortiller sur place sous le plaisir. Je sers les draps dans mes mains sous l’envie de son corps qu’il sait raviver comme personne. Puis il s’introduit en moi avec envie ce qui nous arrache un cri de plaisir à tous les deux.
« Ahh continue ! Vas-y ! » Hurlé-je envieuse de le sentir au fin fond de mes entrailles.
Son avant-bras se saisit de mon corps fébrile au niveau des seins et il le relève, mon dos plaqué à ses abdos si bien dessinés que j’aime tant aller mordiller lors de mes fellations. Je penche ma tête en arrière et l’embrasse en glissant mon bras derrière sa nuque. Il mordille mes lèvres tendrement. J’ai le souffle saccadé en raison de la fougue et la bestialité de ses va et vient qui se montre si tendre à la fois. C’est difficile d’expliquer la puissance sexuelle de cet acte.

« Oui, c’est ça… »

Je l’embrasse de nouveau avant de rejeter ma tête en arrière sur son épaule tout en me saisissant de l’une de ses mains pour lui faire parcourir mon bas ventre et arriver au creux de mon intimité. Ma main reste sur la sienne mais je le laisse faire.

« Mais ce que je veux… c’est surtout… que tu sois fous de moi… »

Je l’embrasse avec une fougue sans précédent tout en continuant mes plaintes de plaisir.

Sa main suivit celle de Selina entre les cuisses de cette dernière et il la caressa, désireux de la faire se sentir complètement remplie des deux cotés. L'entendre gémir et couiner le poussait à y aller plus vite, à enfoncer deux doigts en elle, la masturbant avec vigueur et envie. Il adorait l'entendre pousser des gémissements aïgus. Il ne la quittait pas du regard, lui prenant le menton entre ses doigts pour qu'elle le fixe bien en face. Il voulait la voir jouir. Avant de lui plaquer de nouveau la joue contre les draps afin de pouvoir l'enculer bien plus rudement.

Hannnn putain...t'es tellement bonne Seli

Comme toujours avec Selina, la baise était intense et terriblement bonne. Il ne se lassait jamais de s'envoyer en l'air avec elle, surtout quand elle venait lui offrir ce genre de surprise matinale. Une complicité évidente les liait ce qui rendait le sexe encore meilleur. Aussi quand elle lui avoua vouloir le rendre fou d'elle, il ne pouvait que baisser les armes. Elle savait comment rendre fou le flic avec son corps de rêve et son insatiable envie de se faire défoncer. Il lui embrassa plus tendrement les lèvres entre deux coups de queue particulièrement violents, scellant entre eux un accord tacite, à savoir qu'elle réussissait très bien à le rendre fou d'elle. Puis il la tira sèchement par les cheveux, reprenant le rythme sauvage et effréné qu'il avait adopté un peu plus tôt, la limant avec toujours plus d'acharnement. Selina n'était pas en sucre, elle pouvait encaisser la grosse bite de Tony et ses assauts furieux. Elle adorait ça même, alors il ne se faisait pas prier et la baisait avec férocité. Son petit cul était si serré que les frottements durant la pénétration étaient divins et le menaçait de jouir rapidement à chaque instant. Mais il voulait durer encore un moment afin de profiter de Selina et de son fessier de rêve.

Que j'aime ton cul de petite salope hannn

De nouveau ordurier, il lui mordillait le cou, son souffle lourd et rauque venait mourir contre la peau de sa belle brune. Il ne se lassait jamais de son corps, de son souffle contre le sien, du regard aussi salope et énivrée qu'elle lui lançait toujours. Il ne pouvait jamais se passer longtemps de sa belle brune. Il vint lui malaxer les seins avec autorité.

Ma main reste sur la sienne alors qu’il caresse, ou plutôt chatouille mon entrecuisse. Tout mon corps s’éveille au rythme de ses coups de reins professionnels et de sa main agile. Je gémis fortement pour ne pas lui retirer le doux son de ma voix envahie par le désir de son corps. Il relève mon menton pour que je le regarde. Nos regards sont envahis par l’envie de l’autre, c’est une évidence. Puis Tony cessa notre échange visuel pour me plaquer de nouveau contre les draps devenus un peu humides de sueur tout en me pilonnant avec fougue comme il sait si bien le faire.

« Je n’ai aucun mérite sans ta grosse queue ! Ahhhh... »

Il aime tellement la baise à la fraîche, se faire sucer dès le matin… Certes nous sommes à une heure très tardive du soir mais rien ne change à ça. Il aime se faire réveiller que si c’est pour une raison vraiment valable tel qu’un cul en chaleur qui n’attend qu’une chose : l’accueillir aussi serré que possible pour qu’il prenne son pied. Je sais ce qui l’excite et ce qu’il hait et il sait la même chose pour moi. C’est sans doute pour cette raison que ça fonctionne aussi bien lorsque nos corps ne font qu’un. Il n’est pas trop ce genre d’homme qui ne fait que ce qui lui plaît de la femme. Non, avec moi il se montre attentionné me demandant si ça me plaît et répondant au moindre de mes désirs tant que cela l’excite également ! Je ressens des coups plus brusques que les précédents au fond de moi. J’ai l’impression que son gland va me transpercer la colonne vertébrale. Tony dépose un dépose un baiser doux et tendre sur mes lèvres auquel je réponds volontiers avec le sourire. Il sait si bien mêler bestialité et tendresse que je suis folle de lui. Puis tout à coup, il me prend violemment par la tignasse pour recommencer encore plus fort, encore plus profondément ses coups de reins divins. J’essaie de serrer mon cul autour de sa belle et grosse queue afin de le rendre plus étroit et donc plus agréable pour lui. Il semble apprécier et continue de plus belle sous mes plaintes désireuses de bestialité comme il sait si bien le faire.

« Alors, vas-y pète le moi je n’attends que ça Tony ! Hann… »

Je gémis bruyamment et bouge mes fesses pour me tortiller et le sentir dans chaque recoin possible et inimaginable de mon postérieur. Je sens son corps commencer à défaillir, son souffle chaud frappe ma nuque alors qu’il me mordille le cou. Je gémis de petits cris aigues et tourne la tête pour lui révéler mon regard toujours désireux de plus, de toujours plus. J’ai faim de lui et je doute que cela s’arrête un jour.

« Hann… Tu vas pas me lâcher maintenant… J’ai faim moi… Hann »

Je lui fais une moue triste avant d’attirer son visage contre le mien et de sceller nos langues dans plusieurs baisers passionnés qui étouffent nos gémissement quelques instants. Sa main vient malaxer mon sein et la mienne vient enfoncer ses ongles dans sa fesse droite, près de son anus, un peu trop peut-être…

Il l'enculait rudement, le regard fou, les gestes précis et profonds. Il la tenait par les hanches, ses doigts venant s'y enfoncer pour avoir plus de prise à mesure qu'il la sodomisait avec force. Il venait parfois casser la dureté et la violence de l'instant en venant coller son front contre le sien, lui adressant un sourire complice et de plaisir mêlés. Puis il reprenait sa rude cavalcade, adorant voir sa grosse trique disparaître entre les fesses parfaites de Selina. Elle était tellement bonne et sexy. Il ne se privait jamais de la faire crier bien comme il faut. Lui-même venait grogner de plaisir dans le creux de son cou ou contre ses seins. Seins qui ballottaient contre sa barbe, ainsi taquinait-il ses tétons de ses poils de barbe.

Hannn ma belle je vais te casser les pattes arrières ohhh

Lui murmurait-il au creux de l'oreille avant de lui en mordiller l'ourlet de son lobe, affamé d'elle. Ses couinements aigus l'excitaient au maximum et le faisait accélérer la cadence. Il serrait les dents en la sentant resserer les fesses pour rendre son petit trou encore plus serré. Il grognait plus fortement, la fixant avec animalité. Il poussait sur ses reins toujours plus fort tandis qu'elle poussait sur ses fesses musclées pour qu'il la prenne toujours plus fort, ce qu'il faisait. Il était sur le point de gicler quand il l'entendit lui avouer qu'elle avait encore faim. Et il n'était pas égoïste, il voulait la satisfaire. D'autant que ce n'était pas du tout une corvée. Il retrouvait de l'endurance et de la force, à mesure qu'il lui limait la rondelle avec toujours plus d'acharnement. Il prolongeait ses baisers avec intensité, ne la quittant pas de son regard enflammée. Sa large trique frottait contre les parois de son cul, lui faisant pousser des grognements toujours plus rauques et plus nombreux.

C'est ça que tu veux, salope hannn...

Il l'embrassa avec encore plus de passion, le lit tanguant dangereusement sous la force de ses coups de reins en elle. Ses couilles de nouveau pleines venant tambouriner toujours plus intensément contre le derrière bombé de sa belle brune. Il la tenait ensuite par les épaules, ses muscles puissants roulant sous sa peau tandis qu'il la tenait en respect afin de pouvoir l'enculer toujours plus durement et profondément. Il lui donnait parfois quelques fessées, fou de désir et de plaisir, adorant entendre le claquement de leur corps, l'un contre l'autre. Il avait bien sentit la tentation de sa belle de lui glisser un doigt ce qui ne lui posait pas de problème, du moment qu'elle n'en enfonce pas plus. Et sûrement pas un gode ceinture. Il lui mordillait les lèvres, rendant la cadence toujours plus intense et plus mouvementée. Parfois il retirait sa trique de son fondement, pour mieux l'enfoncer de nouveau en elle, de façon plus dure et plus intense. Il eut un grand sourire quand il voyait les jambes et tout le corps de Selina trembler bien malgré elle tant elle prenait son pied. Il aimait qu'elle soit si nympho, rendant grâce à ses talents de baiseuses professionnelle.

Ses doigts se resserrent fermement sur mes hanches broyées par ses coups de reins onctueux et rapides. Je me fais plaisir au maximum. De plus, Tony me rend complètement folle, mais jamais je ne le dirais avant que le ne me le dise. Nos fronts se joignent l’un à l’autre. Il me sourit et je me penche au maximum pour frôler ses lèvres si exquises lorsqu’elles susurrent mon nom. Des cris m’échappent sans que je puisse les retenir, et d’un côté, je n’ai nulle envie. Il gémit lui aussi, je crois qu’il apprécie autant que moi nos moments de baises brutales.

« Ahh, continue, t’arrête pas… Je ne veux plus pouvoir m’asseoir demain ailleurs que sur ton pieu confortable… »

Je gémis un bruit très aigu alors qu’il mordille le lobe de mon oreille. Il accélère de plus en plus alors que je sers les fesses pour lui donner un endroit à pilonner le plus étroit possible bien qu’il soit habitué à sa grosse verge depuis le temps… J’ai peur que mon cul ne le satisfasse plus à force d’être de moins en moins petit pour lui. Et je ne supporterais pas de ne plus subir ses coups experts et si tendre à la fois. Je ne me lasserais jamais de sa queue et je ne veux pas qu’il se lasse de moi, peut-être est-ce pour cela que je le laisse faire tout ce qu’il veut de moi sans condition du moment que tous les deux, on y éprouve du plaisir. Je le sens défaillir mais je le supplie de continuer, ne voulant pas que ça s’arrête aussi tôt. Nos baisers se faisaient plus passionnés et longs ce qui me ravit grandement. Nos regards se perdent l’un dans l’autre avec une flemme au fond de la pupille qui ne semble pas vouloir s’éteindre si vite. Mes cris envahissent la pièce.

« Ce que je veux… C’est que tu me baises tous les jours de ma vie… et que tu m’insultes à ton bon plaisir… »

Contrairement à certaines femmes, il est vrai que j’adore être insultée de salope et autres uniquement pendant l’acte. Il faut dire que j’en suis une et que je ne ménage pas mon image lors des ébats, la preuve en est en ce moment : venir sucer un homme en pleine nuit car je peine à dormir. Mes pensées sont chassées par le baiser étrangement passionné de mon partenaire. Ses coups s’accélèrent encore et encore. Je gémis son prénom à plusieurs reprises alors que ses testicules frappent ma peau chaude. Quelques fessées s’ajoutent à nos ébats fougueux. Je caresse l’entré de son anus en souriant exerçant de petites pression sans pour autant entrer en lui. Il répond à cela en mordillant ma lèvre.

« Ce que j’aime quand tu prends soin de moi comme ça… »

Il lui caressait la joue pendant qu'il l'enculait durement, plaquant son ventre et ses abdos dans le bas des reins de Selina, lui adressant un grand sourire complice. Elle l'excitait terriblement et ses paroles ne faisaient rien pour le calmer, bien au contraire. La belle savait onduler, provoquer, serrer, caresser, incendier son être.

Ce que mademoiselle demande, elle obtient...

Murmurait-il avec malice alors qu'il la malmenait de ses coups de reins, qui prenaient un rythme de plus en plus cadencés. Ils s’emboîtaient de plus en plus parfaitement, rendant leurs gestes aussi fluides qu'une danse. Sauf que les gémissements qu'ils poussaient indiquaient clairement que c'était bien plus salace.

Et tu ne seras pas fatiguée à force ? Hmmm hannn

Limer Selina par tous les orifices étaient un délice et il était lui aussi favorable à ce que la manœuvre soit répétée encore et encore. Il était aussi insatiable qu'elle était nympho. Ou alors l'étaient-ils seulement quand ils étaient ensemble. Elle lui avait dit avoir faim et il comptait bien lui remplir le cul, à défaut de lui remplir l'estomac. Tony ne se serait jamais permit de ne pas la faire jouir autant qu'elle le voulait. Il était endurant après tout. Mais elle savait tellement resserré ses fesses que l'orifice le plus étroit qu'elle possédait devenait un étaux des plus soyeux et des plus torride. Si elle se posait des questions à ce sujet, lui la trouvait toujours aussi serrée et secrètement il espérait que c'était parce qu'elle ne laisse pas trop d'amants avoir ce privilège. Sa stimulation à l’orée de son anus l'excitait et le faisait aller plus vite dans le sien, sentant qu'il n'allait vraiment plus pouvoir tenir très longtemps à ce rythme effréné. Il serrait les dents, les muscles de sa mâchoire volontaire et puissantes se contractèrent sous l'effort qu'il faisait pour se retenir encore et encore.

Il lui adressa un large sourire, venant l'embrasser langoureusement, pour lui confirmer qu'il aimait aussi prendre soin d'elle de la sorte avant de redoubler d'effort, laissant échapper des grognements de plus en plus rauque à son oreille. Désireux de la voir en face quand elle jouirait, il la retourna sèchement pour qu'elle se retrouve face à lui et il lui leva les cuisses pour qu'elles se retrouvent sur ses larges épaules. Là, il la pilonna de toute ses forces, l'enfonçant dans le lit sous la virulence de ses coups de trique.

Bien sur que j'aime prendre soin de toi. Sinon tu ne reviendrais pas.

Il lui faisait un clin d’œil son torse puissant se levant et s'abaissant au rythme violent qu'il imprimait en elle.

Hannnnn fuckkkk yeahhhh!

Son regard se brouilla un moment, alors qu'il atteignait l'orgasme pour la seconde fois de la soirée se vidant dans son petit cul et il ne s'arrêta pas avant de la faire jouir à son tour. Quand ce fut le cas, il l'entoura de ses bras, lui prouvant bien qu'elle n'était pas qu'un vide couille, bien que dans le feu de l'action, il la désigne ainsi. Mais c'était le langage durant le sexe et pas en dehors. Il resta un moment contre elle, attendant que sa chatte ne soit plus prise de tremblement. Il bandait toujours. Il avait encore envie d'elle.

J'espère que tu n'es pas déjà fatiguée.

La provoquait-il.

« Tant que tu es satisfait, je le serais… »

Il continue ses mouvements de reins me faisant de plus en plus gémir bien que j’aimerais rester avec lui en moi le plus longtemps possible. Je ne me reconnais presque plus quand je suis avec lui. Il fait de moi une femme assoiffée de son membre épais, symbole d’une virilité plus que flagrante. Je l’ai tellement sucée que j’en connais la moindre veine les yeux fermés. Tony a quelque chose de particulier chez lui qui ne me retient pas chez les autres, un petit truc de plus qui fait que j’aime passer mes nuits avec. Je crois que c’est ce que l’on appelle une alchimie. Nos deux corps fusionnent en harmonie et, alors que je pourrais aller voir n’importe qui d’autres, mon choix ce porte toujours sur ce bel italien. Je ne sais pas vraiment ce que c’est, mais j’aime ça. Je ressers volontairement mon cul contre sa longue queue qui me ramone car j’ai peur que cela s’arrête s’il n’éprouve pas le plaisir qu’il recherche. Ça semble lui convenir à merveilles puisqu’il affiche un grand sourire qui se termine par un long baiser après lui avoir avouer que j’aime la façon dont il prend soin de mon corps. Je caresse l’entrée de son anus, me saisissant de ses lèvres tout en appuyant plus franchement mon doigt contre son trou. Nous gémissons en cœur ce qui m’arrache un léger rire alors qu’il me retourne : nous voilà désormais face à face.

Mes dents prennent possession de ma lèvre inférieure alors qu’il recommence de me labourer avec vigueur. Il m’embrasse de nouveau et je commence à avoir chaud dans tout mon corps. Puis, dans un dernier grand gémissement je laisse aller mon plaisir se déverser alors que les bras de Tony m’entourent et me procurent une douce chaleur. Je sens toujours sa semence au fond de moi.

« Il m’en faut plus mais je veux bien une mi-temps. »

Je lui souris et dépose mes lèvres sur les siennes avant de prolonger plus franchement le baiser en nous faisant rouler. Assise sur lui, je le regarde dans les yeux et fronce légèrement les sourcils.

« Par rapport à ce que tu as dit tout à l’heure, je ne reviens pas vers toi juste parce que tu baises assez bien. J’aime vraiment passer du temps avec toi. Que ce soit avant, pendant ou après comme là, j’aime chaque instant avec toi parce que tu es un flic ripou qui couche pour accepter de se taire et c’est ce qui te rend adorable à tes yeux. »

Je souris et frôle son nez du mien.

« Et puis j’aime quand tu te montres tendre comme quand tu me prends dans tes bras après m’avoir fait jouir. Donc, pour moi en tout cas, ce n’est pas que la baise que je cherche en venant te voir mais aussi pour passer un bon moment avec, sans être hypocrite, sans doute le mec qui me comprend le mieux au monde si on enlève mon père. »

Je dépose un bref baiser sur ses lèvres et repousse une mèche rebelle de son front sans le lâcher des yeux.

La jouissance atteinte, il éprouve l'envie et le besoin de l'enlacer. Ils étaient ainsi après la baise, ils aimaient se montrer de la tendresse. Il la regardait s'asseoir sur lui, trônant comme une reine sur son corps dont elle pouvait disposer à volonté. Il regardait les courbes parfaites de cette déesse brune qui s'abandonnaient totalement à lui et qui ne jouait pas de rôle avec lui. Elle était comme elle était dans la vie, pas de faux semblant et elle pouvait voir le vrai Tony, pas celui qu'il était aux yeux des autres. Il n'était pas contre une pause également. Selina était...très endurante et il savait qu'ils en avait pour un bon moment encore, ce qui ne lui déplaisait guère. Ils avaient tout leur temps. Du moins, encore quelques heures parce qu'après il devrait aller au boulot. Mais...le réveil qu'elle lui avait accordé ne pouvait que le faire râler un peu moins à cette idée. Il aimait la spontanéité de Selina, sa façon de venir le surprendre de la sorte. Il lui caressa les hanches, puis remonta vers ses seins qui saisit en coupe entre ses doigts. Il pourrait passer des heures à la caresser s'il s'écoutait. Quoique plus il la caressait, plus il bandait donc forcément, à un moment ou un autre, ils remettraient le couvert.

Il la regarda et vit qu'elle devenait plus sérieuse. Et quand elle était ainsi, il l'écoutait toujours. Il la laissa poursuivre, souriant en sentant son nez provoquer le sien. Ce à quoi il répondit en venant lui chatouiller les cotes et l'embrasser langoureusement. Lui aussi aimait ces moments de douceur après la passion torride et haletante.

Ouch, être comparé à ton père, dur dur.

Disait-il en riant doucement, même s'il comprenait parfaitement ce qu'elle voulait dire. Il la tira à lui de sorte qu'elle soit aux niveau de ses lèvres, laissant ses grandes mains viriles se poser sur les fesses féminines. Puis il murmura à son oreille.

Merci. Merci pour ce réveil divin déjà. Et merci de me dire tout ça. J'aime aussi ces moments que l'on passe ensemble et à chaque fois j'apprécie quand nous partageons nos corps et passons du temps ensemble. Pas seulement quand on baise.

L'alchimie et la complicité entre eux était vraiment forte et il n'aurait vraiment su expliquer pourquoi. Mais il le reconnaissait lui-même, il adorait passer de bons moments avec elle. Qu'elle se montre cochonne, câline, coquine, gourmande,attentionnée ou blagueuse. Il lui mordilla ensuite le lobe de l'oreille et la garda un moment contre lui, comme ça, sans rien dire. Sentir la chaleur brûlante du corps de Selina eut cependant pour effet de donner un début de trique au flic qu'il décida d'ignorer pour le moment. Elle avait voulu lui dire qu'elle n'était pas là que pour la baise et il voulait lui montrer que lui non plus. Après de longues minutes passées à la caresser doucement sans faire plus, son ventre gargouilla. Il finit par s'écarter doucement d'elle à regret et de s'étirer.

Tu veux que je te fasse le p'tit dej?

Disait-il alors qu'il se dirigeait vers le frigo, la queue complètement à l'air offrant une vision sûrement appréciable à la jeune femme.

Je peux sentir son érection recommencer à s’agrandir sous mes fesses alors que je lui parle. Ses mains caresses mes seins, mes côtes, mes fesses. J’aime tellement la sensation qu’il me procure et je sais qu’il en est conscient. Il sait écouter ce que je dis d’une voix sérieuse et en même temps écouter mon corps qui frémit ou non selon les points qu’il touche du bout des doigts. Puis il m’embrasse langoureusement. Sa langue est chaude et la sentir contre la mienne me fait étrangement du bien. C’est tendre, attentionné, tout ce que j’aime chez lui malgré qu’il me manque sa bestialité. Mais celle-ci est très bien exprimée durant nos ébats à répétitions que cela compense.  

« Ah non crois-moi, ça n’est pas "dur dur" d’être comparé à mon père. Enfin si ça l’est mais dans le sens difficile à atteindre. Mon père est l’homme parfait, c’est le seul homme que je respecte, pour qui je pourrais faire n’importe quoi. Alors si je te dis ça, c’est peut-être parce que petit à petit tu es entrain de te faire cette même place que lui à mes yeux… »

Je le regarde l’air sérieux. Je ne suis pas vraiment du genre à plaisanter au sujet de mon père. Je ne lui demande pas de me voir de la même manière, juste de comprendre qu’il est important pour moi et que je tiens trop à sa présence pour qu’il croit que je suis là pour une queue et deux boules. Je sors de mes pensées lorsqu’il me remercie. Il me remercie pour ce réveil, pour ce que je lui dis. Je me réjouis de voir que pour lui c’est la même chose. Le feeling s’est fait entre nous à l’instant où je suis entrée dans son bureau pour le supplier de ne rien dire au sujet de mon professeur. Je le revois froncer les sourcils et m’ordonner de défaire sa braguette si je voulais vraiment qu’il se taise. C’est un peu étrange mais d’un côté j’étais ravie qu’il me demande ça et depuis nous baisons dès que nous pouvons. Mais baiser ainsi et éprouver beaucoup de plaisir à être ensemble pendant et après l’acte, n’est-ce pas ça qu’on appelle "faire l’amour" au lieu de simplement "baiser" ? Je ne sais pas vraiment et je crois qu’au fond de moi, je n’ai pas envie de le savoir. Je n’ai pas envie de savoir si j’aime Tony car cela impliquerait une certaine douleur comme il ne ressent pas la même chose, et je n’ai pas envie de vivre un moment de honte pareil. Et il y a beaucoup trop à perdre comme cette complicité parfaite à laquelle je tiens tellement.

« Tout dépend de si ta queue m’est offerte pendant que tu bois ton café ou non… »  J’affiche un sourire rieur sur le visage. Je suis plus ou moins sérieuse car je remarque son envie de passer un moment banal avec moi et je ne veux vraiment pas l’en priver.  Et même si je le voulais, je tiens trop à lui pour le faire. Ces moments banals sont importants car on serait de simples étrangers sans eux. Alors que si je partais à chaque fois que je suis contentée jusqu'à la prochaine fois, nous ne serions pas aussi proche qu'à présent et ce serait dommage car je passerais à côté d'un homme gentil et attentionné, prêt à tout pour faire plaisir entre deux rounds. « Après un petit dej à 5h, c’est pas un peu tôt Honey, même pour toi ? »

Je me lève et enfile l’une de ses chemises avant de me blottir au fond de ses bras. « Pourquoi fallait-il que tu me rendes accroc à tes câlins ? Tu pouvais pas te contenter que je sois déjà accroc à ta queue ? » Je ris un peu avant de venir mordiller son cou puis le relâche pour prendre sa main et aller tranquillement jusqu’à la cuisine tous les deux ensembles.

Tony avait comprit ce que voulait dire Selina avant qu'elle ne lui fasse ces précisions. Mais c'était une boutade pour détendre l’atmosphère. Ou du moins un moyen de ne pas trop sentir la pression de telles paroles. En tous les cas, il avait bien conscience de l'importance de son aveu et de la confiance entière qu'elle lui accordait. Redevenant sérieux, il colla son front contre le sien et la regarda droit dans les yeux, lui caressant tendrement la joue.

Ça me touche vraiment. Et je suis fier d'avoir cette place privilégiée dans ton cœur.

Inconsciemment son regard se dirigea vers le sein gauche empli de promesse de sa belle brune. Bon sang c'était difficile de ne pas lui sauter dessus quand elle se retrouvait nue et si près de lui. Il avait envie de lui bouffer ce sein, de le lui lécher et de la faire gémir. Il frissonna doucement en sentant les tétons érigés venir frôler ses pectoraux.

La boutade qu'elle lui adressa comme une plaisanterie, avait vraiment de quoi exciter le flic qui n'aurait pas dit non à ce que sa belle s'occupe de sa queue pendant qu'il buvait son café. Il chassa ces pensées parasites de son esprit. Ils auraient tout le temps de s'envoyer en l'air après avoir mangé un petit bout. Comme ça elle pourrait lui avaler son gros bout autant qu'elle le voulait.

C'est que t'enculer c'est divin mais ça creuse l'appétit, sweetie.

Disait-il sur le même ton qu'elle, l'air goguenard, adorant la complicité qui les liait tous les deux. Elle arrivait toujours à lui rendre le sourire, même quand il avait passé une sale journée. Et ces derniers temps, c'était difficile au travail car ses deux vies ne cessaient de s'entrechoquer. Il pensait parfois qu'il finirait écraser entre les deux faces de la loi. Ses doigts s'enfouissait dans ses cheveux, les seins collés contre son torse. Il jouait sa langue sur ses lèvres, descendait dans son cou, mordillait tout ce qui se trouvait sur son passage. Dans un mouvement souple,il lui grippait les fesses sauvagement en serrant les mâchoires et les malaxait avec désir. Il retrouvait cette virilité explosive qui le caractérisait. Puis il se fit plus tendre dans ses caresses, et lui donna une petite fessée d'amusement.

Sûrement parce que comme ça je te vois dans une de mes chemises et trouve qu'elle te va mieux qu'à moi. Puis j'aime t'avoir sous la main et à proximité de queue le plus souvent possible. Et j'aime quand t'es câline tout en étant salope. Les deux te rendent irrésistibles.

Son corps emmêlé au sien. Sa peau douce et brûlante, sa barbe rugueuse, ses muscles solides, son odeur envoûtante, ses yeux plissés qui la regardaient comme si elle était la femme la plus sexy du monde, sa voix démoniaque et ses mots qui lui en demandaient toujours plus. Il vint lui embrasser le cou, l'admirant dans la chemise qu'elle lui avait empruntée. Même comme ça il avait furieusement envie de la tringler. Il frissonna au contact des lèvres de sa belle brune, puis se rendit à la cuisine en lui tenant la main. Il aimait ces moments de complicité partagée, la tendresse affichée. Il se détacha d'elle à regret et commença à faire couler le café, puis à sortir une poêle dont il se servit pour faire des pancakes.

Désolé, mon tablier est au lavage.

Disait-il avec amusement tandis qu'il cuisinait totalement nu devant elle. Il la fit s'asseoir sur ses genoux, cala bien sa queue entre les fesses de sa belle, puis commença à dévorer un de ses pancake puis servit le second à Selina, le lui faisant avaler tout en laissant sa main libre venir se poser sur la cuisse de celle-ci.